samedi 26 septembre 2015

Les Vergers Boiron, Rhoda-Coop et Lorifruit : Quand transformateurs et producteurs s’associent…

Les vergers Boiron, spécialisés dans les coulis de fruits et légumes surgelés, pourront désormais compter sur 4,5 hectares de pêches blanches pour s’approvisionner.

En effet, l’entreprise vient de signer un partenariat de production avec deux coopératives de vallée du Rhône : Rhoda-Coop et Lorifruit.

Découvrez cette collaboration

vendredi 25 septembre 2015

La responsabilité sociétale des entreprises agroalimentaires

Coop de France a mis en ligne le site rseagro dédié à la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) agroalimentaires et la norme Iso 26000. 

Le site est à la fois une vitrine des démarches RSE des entreprises et une plate forme d’animation du réseau national et régional de Coop de France. Il présente une large gamme d’outils à disposition des entreprises souhaitant s’engager dans la RSE, que ce soit en matière d’achats responsables, de communication, de reporting ou d’évaluation. 

Une rubrique est également consacrée aux bonnes pratiques alors qu'une autre permet de consulter des rapports de développement durable et RSE.

http://www.rseagro.com

jeudi 24 septembre 2015

Formation La licence pro ABCD investit le Tech & Bio

Depuis 2008, la licence professionnelle agriculture biologique conseil et développement (ABCD)a pour but de former des cadres polyvalents spécialistes des questions de l’agriculture biologique dans les domaines de la production, la transformation, la distribution, la commercialisation, l’audit et la certification à chacune de ces étapes.

La licence professionnel le ABCD (agriculture biologique conseil et développement) est une licence unique en France car, si comme toute licence pro, elle est rattachée à une université – en l’occurrence, l’université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand, en cohabilitation avec VetAgro Sup –, elle est conduite dans douze établissements partenaires composant sept grands sites 1. Chaque année, les quelque 80 à 90 étudiants suivent la formation dans l’un des sites, en lien direct avec les professionnels de l’agriculture biologique, avec un stage en entreprise de 16 semaines minimum en alternance. Certains enseignements théoriques de la l icence sont mutualisés, grâce notamment à l’usage d’outils numériques (webconférence et plateforme d’enseignement).

Découvrez la licence ABCD

Champagne-Ardenne : 8 000 emplois à pourvoir d'ici 2025

Selon une étude prospective réalisée par la Chambre régionale d'agriculture de Champagne-Ardenne et l'Institut LaSalle Beauvais, plus de 8 000 emplois seront à pourvoir dans le secteur de la production agricole d'ici 2025 : 5 000 dirigeants, 1 800 salariés et 1 500 aides familiaux.

L'objectif est de remplacer les exploitants et salariés qui vont partir en retraite. "Dans les quinze ans à venir, nous devrons renouveler environ 50 % des salariés agricoles. Et si l'on veut conserver nos productions, notamment d'élevage, il faut développer le salariat" souligne Régis Jacobé, le président de la Chambre régionale d'agriculture.

Consulter l'étude sur les besoins en main d'oeuvre en 2025

mercredi 23 septembre 2015

Biocité Démocratiser la méthanisation

Biocité est une jeune entreprise rhônalpine spécialisée dans la création et la vente d’unités de méthanisation clé en main à destination des exploitations agricoles.

Son objectif : démocratiser la méthanisation et la rendre accessible au plus grand nombre.

Biocité, entreprise spécialisée dans la création et la vente d’unités de méthanisation clé en main, est née de la rencontre en 2011 de David Eveillard et d’un agriculteur vendéen, pionnier de la méthanisation voie sèche. « Denis Brosset, du Gaec du Bois Joly, a créé son unité de
méthanisation voie sèche en 2008, explique David Eveillard. Je lui ai proposé de nous
associer afi n d’améliorer son procédé et de l’industrialiser pour permettre au plus grand
nombre d’avoir accès à cette technologie. Avec mon associé Jean Maïer, un ingénieur
spécialisé dans le BTP, nous formions une structure dotée de compétences vraiment
complémentaires. C’est encore plus le cas aujourd’hui puisque depuis un an, nous avons embauché Gauthier Durand, un jeune ingénieur agro diplômé de l’Isara. » Après une période à l’incubateur de l’Agrapole (voir encadré), l’entreprise est offi ciellement
créée en avril 2013.


Biocité en détail

Tech & Bio 2015 2 jours pour découvrir le meilleur des techniques bio

Les 23 et 24 septembre prochains se déroulera à Bourg-lès-Valence (Drôme) la 5e édition du Salon Tech & bio, rendez-vous des techniques, des savoir-faire et des pratiques agricoles environnementales.

Organisé à l’initiative des chambres d’agriculture, le Salon a choisi cette année pour fil bleu la préservation de l’eau.

Edition Tech&Bio 2015 en détail

Le CDD renouvelable deux fois au lieu d'une

La loi du 17 août 2015 relative au dialogue social et à l'emploi autorise désormais un employeur à renouveler 2 fois au lieu d'une le CDD (Contrat à durée déterminée) d'un salarié. 

Cette disposition s'applique aux CDD à terme précis (dont la date de fin est mentionnée dans le contrat de travail) qui sont en cours et à ceux conclus depuis le 19 août 2015. La durée totale du CDD, renouvellement compris, ne peut excéder 18 mois dans la plupart des cas.

Lorsque le contrat se poursuit après l'échéance du terme, il se transforme automatiquement en CDI (Contrat à durée indéterminée).

Conditions de renouvellement d'un CDD

mardi 22 septembre 2015

Vétérinaire : une palette de métiers très variés

La palette des métiers exercée par les vétérinaires est très large : libéral ou salarié, en milieu rural ou urbain, dans un organisme public ou une entreprise privée. Le choix peut également se porter sur l’enseignement et la recherche.

La formation se fait obligatoirement dans l’une des quatre écoles nationales vétérinaires (Maisons-Alfort, Nantes, Toulouse, Lyon). L'accès à ces écoles se fait par des concours nationaux au niveau minimum Bac +2 (Classe préparatoire, université). Près de 550 étudiants sont recrutés chaque année.

Lire la fiche métier Vétérinaire

lundi 21 septembre 2015

Recherche d'emploi : faut-il parler d'un conflit avec votre ancien chef ?

Vous ne supportez plus votre patron et vous recherchez un autre emploi. Ou vous avez été congédié pendant votre période d'essai. Attention à la façon dont vous allez aborder le sujet en entretien d'embauche. 

« Quoi qu’il soit arrivé, il faut en dire le moins possible », explique Isabelle Wackenheim, auteure du Guide du CV et de la lettre de motivation, sur le site Keljob.

Evitez surtout les critiques négatives et évacuez le sujet par une formule qui montre que vous avez pris de la distance et que ce conflit est derrière vous.

Comment parler de son ancien chef quand on le déteste ?

Sophie Charmont : Chef du centre CTIFL de Balandran

Dans le Sud-Est, le centre CTIFL de Balandran est un pôle stratégique de la filière fruits et légumes. Et pour que la plateforme fonctionne « en bonne intelligence », la chef du centre, Sophie Charmont, endosse tour à tour les rôles de chef d’orchestre, responsable des ressources humaines, maître d’ouvrage, animatrice d’événements et bien d’autres encore. 

Avec une équipe de 78 personnes et une exploitation de 75 hectares, le site de Balandran situé près de Nîmes constitue la plus grande implantation du Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes (CTIFL), en France. Depuis 2008, c’est à Sophie Charmont, chef du centre, que revient la responsabilité du bon fonctionnement
de cette plateforme d’expérimentation.

Quel est le parcours de Sophie Charmont ?

dimanche 20 septembre 2015

BIO3G : Des métiers complémentaires au service du client

Dans un contexte où le marché de l’emploi et celui de l’agriculture sont en mutation, BIO3G trouve de nouvelles solutions pour s’adapter en permanence.

Afin d’apporter à ses clients un suivi technique de qualité à la hauteur des solutions biotechnologiques qu’elle propose, la société n’a pas hésité à créer une diversité de métiers.

Bio3G en détail

Florian Vigneron La génétique est son moteur

À 33 ans, Florian Vigneron traverse régulièrement l’Atlantique pour assouvir sa passion : faire des vaches de concours. Mais au quotidien, au coeur de ses Mauges natales, il garde les pieds sur terre quant à l’avenir de son métier de producteur laitier. 

« J’ai eu de la chance : ma génisse a fini 3e de section, donc mon nom a été affiché » : sur la photo, prise il y a dix ans, Florian mène sa génisse sur le ring. Pas n’importe quel ring : celui de la Royal winter fair à Toronto, où se retrouvent chaque année 400 jeunes venus de tout le Canada, tous passionnés par la race prim’holstein.

« J’ai passé six mois sur la ferme Milibro au Québec et j’ai participé à quatre concours de jeunes ruraux là-bas. Ce fut une très belle expérience. J’y retourne tous les deux ans pour revoir les amis et pour les expos d’automne : la Royal winter fair et le Suprême laitier. »

Le parcours de Florian Vigneron

samedi 19 septembre 2015

Témoignage de Simon Tanné - Sanders Bretagne (Groupe Avril) : Sanders, des compétences au service des éleveurs

Le groupe Avril, fort de ses 7 200 collaborateurs, offre de réelles perspectives d’évolution pour de jeunes ingénieurs agri/agro.

Parmi eux, Simon Tanné, qui a intégré SANDERS Bretagne, l’une des sociétés du groupe, nous présente son métier de Responsable de l’Approche Globale de l’Exploitation Agricole.

Découvrez le groupe Sanders

Agroéquipement, un secteur rémunérateur en mal de candidats

Dynamiques, innovantes… Les entreprises d’agroéquipement pêchent à trouver des candidats motivés. Le potentiel de recrutement est pourtant bien là.

Pour Guillaume Troudet, responsable du pôle formation-emploi d’Axema, syndicat professionnel regroupant l’ensemble des industriels de l’agroéquipement, « la filière souffre d’un déficit d’image. Pourtant il s’agit d’emplois valorisants et bien rémunérés.

À nous de le faire savoir. » Guillaume Troudet, responsable du pôle formation emploi d’Axema

Les semences bio ont leur site

Afin de concilier l’offre et la demande en semences et plants biologiques, le Gnis (Groupement national interprofessionnel des semences et des plants) gère une banque de données des semences et plants bio sur le site Internet : www.semences-biologiques.org

Celui-ci permet aux fournisseurs de semences d’enregistrer, dans une base de données nationale, les espèces et variétés en bio qu’ils détiennent. Les agriculteurs produisant selon les règles de l’agriculture biologique peuvent ainsi plus facilement les choisir. 

Par ailleurs, ce site Internet permet également aux agriculteurs qui ne trouveraient pas les semences biologiques des variétés adaptées à leurs besoins de demander une dérogation pour l’usage de semences non biologiques à leur organisme certificateur.

Ker Ronan De l’exploitation à la petite entreprise

Producteur laitier dans le Morbihan, Hervé Harnois s’est lancé dans la fabrication artisanale de yaourts en créant sa propre laiterie. Aujourd’hui à la tête d’une TPE de douze salariés, il transforme et valorise 600 000 litres de lait, soit la quasi-totalité de sa production.

« Plutôt que de continuer à livrer mon lait à un industriel, je voulais prendre un chemin de traverse, trouver un débouché qui valorise mieux la production laitière », souligne d’emblée Hervé Harnois.

Voilà sept ans que l’éleveur laitier installé en individuel à Rohan, dans le Morbihan, a créé Ker Ronan, une unité artisanale de fabrication de yaourts. Six millions de pots en sortent chaque année. Adossé à l’exploitation agricole, l’atelier de transformation fonctionne cinq jours par semaine. « Ma réflexion a démarré en 2005, lorsque je me suis installé à temps plein sur la ferme familiale, explique l’ancien consultant en informatique. 

À l’époque, la taille de la structure – qui comptait 25 vaches laitières pour un quota de 169 000 litres – était beaucoup trop faible pour dégager un revenu et assurer la pérennité de l’exploitation. Le quota ne pouvait pas évoluer. » Pour le choix du produit à fabriquer, Hervé Harnois n’a pas hésité une seconde. « Le yaourt est un produit gourmand, qu’on peut varier à l’infini et pour lequel il existe un marché : il suffit de regarder la taille du linéaire en GMS pour s’en rendre compte », indique-t-il.

Découvrez Ker Ronan

vendredi 18 septembre 2015

David Colin, chargé de recrutement au Crédit Mutuel de Bretagne "La patience et la mobilité démultiplient les opportunités"

Au Crédit mutuel de Bretagne, quels sont les postes accessibles aux diplômés de l’enseignement supérieur agricole ?
David Colin : Il s’agit essentiellement du poste de chargé de clientèle agricole. Nous en recrutons une dizaine par an : soit en mobilité interne (nos propres salariés travaillant sur le réseau des particuliers et souhaitant évoluer vers ce secteur) ou par recrutement externe. Dans ce cas, nous étudions les candidatures provenant de chargés de clientèle agricole en poste et désireux de changer d’employeur.

Découvrez les postes du Crédit Mutuel

La mobilité : facteur essentiel de réussite dans le secteur bancaire

Quels sont les principaux débouchés qu’offre la filière bancaire ?
Thierry Combet : Il existe de nombreux métiers 1 dans la filière, dont les dénominations peuvent être un peu différentes selon l’entreprise même si les missions restent identiques. En ce qui concerne l’Apecita et le champ de l’agriculture, les postes les plus fréquemment diffusés sont ceux de conseiller clientèle marché agricole et de chargé d’affaires agriculture.

Plus rarement, des postes concernant des profils plus expérimentés d’analyste financier ou de responsable marché peuvent aussi être proposés à des candidatures externes...

Découvrez le marché de l'emploi dans le secteur bancaire

Pôle emploi lance sa plate-forme de services : l'Emploi Store

Pôle emploi a mis en ligne le 2 juillet l’Emploi Store, une plate-forme de services numériques et d'applications liés à l’emploi et la formation. Il propose plus de 100 services organisés autour de quatre centres d'intérêt : choisir un métier, se former, préparer sa candidature, trouver un emploi. 

En 2016, une rubrique "création d'entreprise" et un espace dédié aux employeurs viendront s'y ajouter. Pour regrouper l'ensemble de ces services, Pôle emploi a fait appel à une cinquantaine de partenaires dont l'Apecita qui renvoie vers son quizz d'accompagnement personnalisé.

http://www.emploi-store.fr/portail/accueil

jeudi 17 septembre 2015

Pauline Vanel, chargée de marketing : Promouvoir la marque Sanders

Après une première expérience professionnelle au sein de l’association Bleu-Blanc-Coeur, Pauline Vanel a intégré le groupe Avril.

Cette ingénieur en agriculture, également diplômée d’un DUT génie biologique, s’occupe du marketing de la marque Sanders. Son dernier projet est la mise en place de la nouvelle communication de la marque.

Découvrez le parcours de Pauline Vanel

Ter’élevage : Du nouveau sur les fronts mayennais et irlandais

Pour l’union Ter’élevage, l’année 2015 est un tournant à deux titres : l’intégration des producteurs bovins de la Cam en Mayenne et la prise de participation de l’Irlandais Dawn Meats dans Elivia, premier client de Ter’élevage.

Ter’élevage, union de groupements d’éleveurs bovins, ovins et caprins en Pays de la Loire, ouvre en 2015 un nouveau chapitre de son histoire avec l’intégration, depuis le 1er janvier, du groupement des producteurs bovins de la Cam. Cela représente 35 000 bovins commercialisés supplémentaires issus des élevages de Mayenne, et devrait permettre entre autres une optimisation du transport des animaux sur cette zone. « C’est un projet très structurant et qui a du sens au niveau du territoire », estime le directeur de Ter’élevage Jacques Chauviré.

Ter'Elevage en détail

L'élevage en France : 703 000 emplois à temps plein

En France les filières d'élevage emploient 882 000 personnes représentant 703 000 emplois à temps plein (ETP). C'est la conclusion de l'étude réalisée par le groupement d'intérêt scientifique "Elevages demain". 

Ce chiffre se répartit entre 312 000 ETP dans les exploitations et 391 000 ETP en dehors des élevages (Fournisseurs, collecte, transformation, commerce, alimentation animale, etc.). "Autrement dit, pour chaque ETP présent sur un élevage, il y a 1,25 ETP supplémentaire dans les autres secteurs économiques" soulignent les auteurs de l'étude. Le premier employeur est le secteur laitier avec 238 000 ETP.

Consulter l'étude sur les emplois liés à l'élevage français

mercredi 16 septembre 2015

Dairy Spares : Le spécialiste de l’élevage laitier

La filiale française de la société Dairy Spares a vu le jour en 2007. Depuis, ce fournisseur en pièces et composants pour machines à traire et consommables pour l’élevage laitier connaît une croissance très rapide.

Pour preuve, d’un seul salarié à la création, l’équipe se compose actuellement de dix personnes. Et des places sont encore à prendre !

Dairy Spares en détail

Étude du GIS Élevages demain : L’élevage génère près de 900 000 emplois

Pour la première fois, une étude estime de façon fiable et précise les emplois directs et indirects liés à l’activité d’élevage en France.

D’après les auteurs, la méthodologie développée pourrait s’appliquer aux autres filières agricoles et même aux autres secteurs économiques.

Découvrez l'étude du Gnis et le marché de l'emploi dans le secteur de l'élevage

Petit-déjeuner métier : Café, croissants et conseils de pro

L’occasion de rencontrer un professionnel en poste, hors entretien d’embauche, pour échanger sur son métier est plutôt rare. 

L’Apecita Nord - Pas-de-Calais - Picardie a donc décidé d’organiser une rencontre informelle entre curieux et pros. Fabrice Riquier, responsable du département économie des entreprises et des filières à la chambre d’agriculture du Nord - Pas de Calais, a accepté de jouer le jeu et de répondre aux questions sur le métier de conseiller agricole.

Découvrez les petits déj de l'Apecita en Picardie

Une aide de 4 000 euros pour l'embauche d'un premier salarié

Les très petites entreprises qui n'ont pas eu de salarié dans les douze derniers mois peuvent bénéficier d'une aide de 500 € par trimestre si elles embauchent un salarié en CDI ou en CDD de plus de douze mois. 

Le contrat de travail doit prendre effet entre le 9 juin 2015 et le 8 juin 2016. L'aide est limitée à deux ans, soit 4 000 euros au total. Le versement trimestriel est subordonné à la justification par l’employeur de la présence effective de son salarié. Cette justification est effectuée de façon dématérialisée. 

Un formulaire de demande de cette aide est disponible à l'adresse ci-dessous :
Aide à l'embauche d'un premier salarié

mardi 15 septembre 2015

Plateforme R&D : Élevage de précision : La double vie des données

La plateforme R&D du Space portera sur l’élevage connecté. S’ils sont sous le feu des projecteurs cette année, les capteurs n’ont pas attendu pour envahir les élevages et produire énormément de données. Des données mises à profit pour créer les outils numériques de demain.

Comment fonctionne la plateforme R&D ?

Le Space en vedette malgré la morosité du secteur

La 29e édition du Space, qui se tiendra du 15 au 18 septembre au Parc Expo de Rennes, confirmera son ancrage comme Salon leader au niveau mondial pour les professionnels des productions animales.

La situation des productions animales reste pourtant difficile, voire tendue pour certaines d’entre elles. Mais les éleveurs et leurs partenaires de filières ne manquent pas de dynamisme. Nombre d’entre eux continuent à investir et les installations de jeunes se maintiennent à un bon niveau dans l’Ouest, en particulier en production laitière.

Ces trois dernières années, le Space a connu une progression régulière, battant chaque année ses records de l’année précédente, en nombre total d’exposants, en nombre d’exposants étrangers, en surfaces louées, en nombre total de visiteurs et en nombre de visiteurs étrangers. Il est donc plus que probable que les derniers records de 2014 soient à nouveau dépassés cette année.

Découvrez le Space 2015

La distribution agricole, des entreprises d’avenir

Coopératives, négoces, agrofournisseurs… Dans la distribution agricole, les entreprises doivent suivre l’évolution de l’agriculture et les nouvelles attentes des agriculteurs. 

Olivier Claux, expert en recrutement dans ce secteur, évoque les changements possibles pour ces entreprises.

Agent de remplacement : un technicien organisé et autonome

L'agent de remplacement pallie aux absences des agriculteurs dues à la formation, aux vacances, à la maladie, etc. Il est employé par un service local de remplacement auquel adhèrent les exploitants agricoles de sa région. Il peut réaliser des missions de quelques heures à plusieurs semaines. 

Ce métier nécessite de bonnes capacités d'autonomie et d'adaptation. Il faut savoir s'organiser et s'intégrer rapidement dans des systèmes de production différents. 

La formation demandée est au minimum le Bac Pro. Après trois ans de pratique, la validation des acquis de l'expérience (VAE) permet d'obtenir un certificat de qualification professionnelle.

Consulter la fiche métier agent de remplacement

lundi 14 septembre 2015

Une page Facebook pour Jobagroalimentaire

Le site Jobagroalimentaire, dédié à l'emploi dans la filière agroalimentaire, a désormais sa page Facebook. Vous pouvez y retrouver des informations sur les métiers et les formations, l'actualité des entreprises et bien sûr des offres d'emploi. 

Rappelons que jobagroalimentaire.com recense près de 200 offres classées en 14 catégories : achats/aprovisionnements, analyses/laboratoire, production/conditionnement, audit/conseil, marketing/commercial, logistique, etc. 

Après inscription, les candidats peuvent consulter les offres et gérer leurs candidatures dans un espace personnalisé. De leur côté, les recruteurs peuvent déposer leurs annonces et consulter les CV.

La page Facebook de jobagroalimentaire

dimanche 13 septembre 2015

Recrutement : 13 mesures contre les discriminations

Les Ministres du travail, de la ville et de la justice ont annoncé en mai dernier une série de mesures qui seront mises en place d'ici la fin de l'année pour combattre les discriminations à l'embauche et en cours de carrière. 

Le gouvernement prévoit notamment de lancer dès cet automne une grande campagne de testing auprès des entreprises. L’objectif est de leur permettre de prendre conscience de leurs pratiques et d'apporter les corrections nécessaires. 

Par ailleurs, le CV anonyme devient facultatif. Il était obligatoire dans les entreprises de plus de 50 salariés depuis une loi de 2006, mais n'a jamais été mis en œuvre faute de décret d'application.

Plan de lutte contre les discriminations à l'embauche et dans l'emploi

Orientation : 29 % des étudiants regrettent leur choix

Près de 3 étudiants sur 10 regrettent leur choix d'études supérieures et 1 sur 5 envisage même de changer de filière. C'est la conclusion d'une enquête OpinionWay réalisée pour le réseau social LinkedIn. 

Ce choix d'orientation vers l'enseignement supérieur reste tardif : 76 % des étudiants déclarent avoir commencé à y réfléchir après avoir franchi le seuil du lycée, et 41 % ont même attendu d’être en terminale. 

Les deux tiers auraient souhaité davantage d'accompagnement dans leur démarche, en particulier ceux qui ont choisi l'université (71 %), contre 58 % pour ceux ayant intégré une école.

Consulter l'étude OpinionWay-Linkedin

samedi 12 septembre 2015

Emploi des personnes handicapées : les IAA témoignent

Les observatoires des métiers du secteur alimentaire ont réalisé en 2012 une étude sur l’emploi des travailleurs handicapés. 
Cette étude débouche sur un guide des bonnes pratiques intitulé "des idées pour y arriver". Il repose sur les témoignages d'une dizaine d'entreprises et répertorie les dispositifs qui existent pour favoriser l'intégration des personnes handicapées. 

Rappelons que depuis 1987, toute entreprise de 20 salariés ou plus doit employer au moins 6 % de travailleurs handicapés. En réalité, ce pourcentage n'atteint que 3,1 % dans les entreprises privées en France.

Consulter le guide sur l'emploi des personnes handicapées

vendredi 11 septembre 2015

Évènement : Les Terres de Jim débarquent en Moselle

Du 11 au 13 septembre, les Jeunes agriculteurs de Moselle accueilleront sur le plateau de Frescaty – Metz Métropole (ancienne base aérienne 128 de Marly-Frescaty) les « Terres de Jim », la nouvelle marque qui identifie, depuis 2014, les Finales nationales de labour. 

Les organisateurs de cette seconde édition attendent près de 150 000 visiteurs, petits et grands, sur quelque 150 hectares pour leur faire découvrir un univers qui se veut pédagogique, interactif et convivial. Plus d’une centaine d’animations sont prévues au programme : démonstrations de tonte de moutons, découverte des filières d’élevage (bovine, équine, porcine, ovine…) avec la présence de plus de 600 animaux et expositions de races, découverte de la filière végétale, un pôle métiers d’antan avec batteuses, lieuses et labour à l’ancienne, des ruches sous verre pour voir les abeilles travailler et une ruche école pour apprendre le métier d’apiculteur, ou encore des ateliers ludiques et pédagogiques autour des principales productions animales et végétales, à destination des scolaires. Il sera même possible d’acheter des produits du terroir aux « Halles de Jim ».

C’est un espace de vente où l’on trouvera des produits lorrains labellisés (Mangeons mosellan, Meuse et merveilles, Vosges terroir, Saveurs paysannes, La Lorraine notre signature) vendus par les producteurs ainsi que des produits d’autres régions de France proposés par les Jeunes agriculteurs venus de tout le pays.

Mais les Terres de Jim seront également l’occasion de découvrir un véritable « sport » des campagnes : les compétitions de labour, et plus spécialement la 62e finale nationale de la discipline, où les concurrents issus de toutes les régions françaises s’affronteront dans deux catégories, le labour en planches avec des charrues simples ou le labour à plat avec des charrues réversibles.

Rentrée 2015 : rénovation du CAP agricole

A partir de cette rentrée 2015, un nouveau programme est mis en œuvre pour le CAP agricole (Certificat d'aptitude professionnelle). 

Cette formation se prépare par la voie scolaire (2 ans), l'apprentissage ou la formation professionnelle continue. S'il vise en priorité l'insertion professionnelle, ce CAP peut constituer une étape vers le baccalauréat professionnel ou d'autres diplômes. 

Le site Chlorofil présente à l'adresse ci-dessous les textes officiels et les référentiels pour chacune des huit spécialités concernées par cette formation.

Rénovation du CAP agricole

jeudi 10 septembre 2015

Recherche d'emploi : rédiger son CV en anglais

Le CV à l'anglo-saxonne n'a rien à voir avec le CV français. "La présentation générale n’est pas identique, les informations demandées ne sont pas les mêmes, et la bonne manière de présenter vos expériences passées change également" explique sur son site web l'organisme de cours Kaplan.

Pour vous aider, celui-ci a mis en ligne une infographie qui rappelle les différentes rubriques. Il donne également quelques conseils pour éviter les pièges ainsi qu'une liste de verbes à utiliser pour mettre en valeur votre expérience.

Rédiger votre CV en anglais

Étudier à l’étranger : Passeport pour le Royaume-Uni

Le Royaume-Uni comporte la Grande-Bretagne (Angleterre, pays de Galles et Écosse), l’Irlande du Nord et les îles britanniques, plus petites. 

Il est la destination privilégiée des étudiants français : chaque année, plus de 10 000 d’entre eux choisissent cette destination, attirés par le goût de l’aventure, le souhait de devenir parfaitement bilingue, l’image des universités traditionnelles ou simplement pour enrichir leur CV.

Partir étudier en Angleterre, mode d'emploi

mercredi 9 septembre 2015

Nelly Guibbert : Pas à pas dans la distribution alimentaire

Diplômée d’une école d’ingénieurs en agriculture, Nelly Guibbert, 30 ans, a commencé sa carrière professionnelle dans la grande distribution. 
Au fil des rencontres et de l’expérience accumulée, la jeune femme a vu ses missions s’élargir, prendre de la hauteur et la voilà, depuis octobre 2014, responsable du premier magasin Frais d’ici, à Portet-sur-Garonne.

Nelly Guibbert, 30 ans, travaille dans la distribution alimentaire depuis l’obtention de son diplôme d’ingénieur en agriculture. « J’ai suivi le cursus de l’école de Purpan, à Toulouse, explique-t-elle. J’ai grandi à Roques, en Haute-Garonne, mais beaucoup de personnes de ma famille travaillent dans l’agriculture et ce secteur professionnel m’a toujours attirée. » Après un stage de fin d’études dans une coopérative, Fermes de Figeac, elle décroche son premier travail, à Auchan, en tant que chef de rayon poissonnerie à Castres. « Je me suis régalée. Cette première expérience professionnelle m’offrait une latitude très large. J’avais sous ma responsabilité l’ensemble de mon secteur comme si c’était mon propre magasin. »...


Découvrez le parcours de  Nelly Guibbert

La Ferme des Glaces : Une diversification glacée

Depuis 2009, Patrick Rébillard et son épouse fabriquent et commercialisent des crèmes et desserts glacés à partir du lait de l’exploitation.

Une diversification qui leur permet de consolider leur revenu, tout en rencontrant les consommateurs.

La Ferme des glaces en détail

mardi 8 septembre 2015

Les offres d’apprentissage ne manquent pas

Si l’apprentissage se développe dans le secteur de l’agroalimentaire, 2e employeur de la région Midi-Pyrénées, les jeunes manquent encore à l’appel sur certains types de postes. Pour Lydie Moreau, conseillère formation à l’Ifria Midi-Pyrénées, « le potentiel est là, il est nécessaire d’en informer les jeunes ».

Lydie Moreau - Conseillère formation à l’Ifria Midi-Pyrénées présente l'apprentissage dans l'agroalimentaire

Maraîchage : Solarenn veut devenir un acteur qui compte

Gagner en visibilité vis-à-vis de sa clientèle et capter de la valeur ajoutée pour atteindre les 50 millions d’euros de chiffre d’affaires d’ici 2020 : telle est l’ambition affichée par Solarenn. 

Pour y parvenir, la coopérative bretonne spécialisée dans la production de tomates veut améliorer les performances des exploitations, réduire les coûts de fonctionnement en station et communiquer.

Créée en 1950 en Ille-et-Vilaine, la coopérative maraîchère Solarenn est spécialisée dans la production de tomates depuis une trentaine d’années. Elle compte aujourd’hui 35 producteurs sur 50 hectares de serres, situés majoritairement  dans le bassin rennais, et emploie environ 500 personnes (plus 50 en pleine saison) au centre de conditionnement de  Saint-Armel, où sont regroupés les services administratifs, commerciaux et techniques.


Découvrez Solarenn

lundi 7 septembre 2015

Faire progresser le salarié… et le chef d’exploitation

L’entretien annuel est la base du management. Il est essentiel dès le premier salarié, voire encore plus important.

À condition de bien le préparer et le mener, il est l’outil de base pour faire progresser le salarié et entretenir sa motivation. Il oblige aussi à se poser pour réfléchir à son management, et donc à progresser soi-même… 

D’ailleurs, pourquoi se contenter d’un seul entretien par an ?

Comment réussir son entretien annuel ?

L’agence d’intérim, support privilégié des IAA

Lors de la première commission de l’Apecita Lorraine Champagne-Ardenne, l’équipe régionale a présenté les résultats d’une enquête sur les moyens de recrutement dans les industries agroalimentaires.
Résultat : un tiers des entreprises sondées ont recours à des agences d’intérim, notamment pour des postes en production.

Début juin se tenaient les premières rencontres régionales de l’Apecita Lorraine Champagne-Ardenne à Châlons-en-Champagne (51), en présence de Gilbert Keromnès, le président de l’Apecita, Philippe Pelvet, son directeur et Régis Jacobé, le président de la chambre régionale d’agriculture de Champagne-Ardenne. 
Pour l’occasion, Thierry Jamet, d’OPCALIM, a présenté les enjeux et les conséquences de la réforme sur la formation professionnelle et Évelyne Romain, conseillère emploi formation à l’Apecita Lorraine, a détaillé les résultats d’une enquête portant sur les moyens de recrutement des entreprises de la filière des industries agroalimentaires (IAA).

Comment recrutent les entreprises agroalimentaires ?

dimanche 6 septembre 2015

Agro-industrie Recherches et Développements : Davantage de place à une activité en croissance

Nul besoin pour les salariés d’ARD, filiale de Vivescia industries, d’utiliser leur système de navigation pour se rendre dans les nouveaux locaux de l’entreprise. Au coeur de la bioraffinerie territoriale de Pomacle-Bazancourt (Marne) depuis sa création, ARD y reste.

À peine quelques centaines de mètres séparent l’ancien bâtiment du nouveau. Deux raisons principales citées par Yvon Le Henaff, directeur général d’ARD, ont motivé ce déménagement : « C’est l’occasion d’offrir un environnement plus spacieux à nos activités de recherche. Désormais, nous disposons de 2 700 m2 dans lesquels des bureaux et des laboratoires ont pris place. Aussi, 1 800 m2 sont réservés au pilote qui permet de tester les différents process à une échelle plus importante qu’en laboratoire. Ce besoin d’espace supplémentaire est intimement lié au développement important de notre activité. Nous recevons près d’une vingtaine de sollicitations de prestation de services de recherche et développement chaque année. »


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Stéphane Certain, Attaché technico-commercial : De la vente à l’accompagnement : un métier formateur

Il y a 15 ans, Stéphane Certain est engagé pour développer la vente de produits Timac Agro sur la région de la Meuse.

Aujourd’hui, grâce à son savoir-faire, il est devenu référent dans sa zone, tout en continuant son travail d’attaché technico-commercial.

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samedi 5 septembre 2015

Arnaud Chanclou, céréalier : S’installer après dix ans loin des champs

Après dix ans passés comme commercial informatique puis conseiller clientèle en banque, Arnaud Chanclou, 34 ans, a fait le choix de reprendre l’exploitation familiale céréalière de 140 hectares,au nord du Mans.

Lorsqu’il passe son bac ES puis ses BTS commerce et informatique/gestion il y a dix ans, Arnaud Chanclou n’envisage pas de reprendre l’exploitation familiale sur la commune de Saint-Longis, jouxtant Mamers, au nord du Mans. Pourtant, le voilà aujourd’hui dans la dernière phase de son projet d’installation, afin de prendre la suite de son père Jean-Claude à quelques mois de la retraite. Il sera à terme à la tête d’une exploitation de 140 hectares de céréales, avec cette ambition de « devenir indépendant et de vivre de mon métier de céréalier. »

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vendredi 4 septembre 2015

"Un conducteur doit aussi savoir programmer"

De jour en jour, les constructeurs en agromachinisme perfectionnent leurs produits. Un défi à relever pour les entrepreneurs en travaux agricoles, ruraux et forestiers et leurs salariés, selon Patrice Gauquelin, délégué à la communication de la FNEDT

Patrice Gauquelin - Délégué à la communication de la Fédération nationale entrepreneurs des territoires explique l'évolution des métiers dans le machinisme

Groupe Seenergi : 5 entreprises de conseil en élevage se regroupent

En unissant leurs moyens, les cinq « conseils élevage » du Grand Ouest prévoient notamment de mener des projets d’envergure en recherche et développement.

Cinq entreprises de conseil en élevage du Grand Ouest forment le groupe Seenergi depuis le 1er janvier 2015. Il s’agit de Littoral normand, Eilyps, Clasel, Élevage conseil Loire Anjou et Atlantic conseil élevage. Les dirigeants ont souligné qu’il s’agissait d’une union de moyens, mais que les cinq entreprises continuent à exister en leur nom afin de maintenir la proximité avec leurs adhérents. La nouvelle SAS, basée à Pacé (Ille-et-Vilaine), est pilotée par un conseil d’administration de quinze personnes et un directoire composé des cinq directeurs.

Le Groupe Seenergi en détail

jeudi 3 septembre 2015

PAYS D’OC La responsabilité sociétale entre dans le vignoble

Le syndicat et l’interprofession de l’IGP Pays d’Oc ont décidé d’impliquer leurs adhérents dans la responsabilité sociétale des entreprises (RSE).

Avec ce mode de gouvernance, le respect de l’environnement, de la société civile mais aussi des salariés est pris en compte avant chaque décision.

Comment fonctionne la responsabilité sociétale ?

Un exemple de recrutement de la délégation Aquitaine : L’Apecita, spécialiste des processus d’embauche

Côté employeur comme côté candidat, il n’y a pas le droit à l’erreur lors d’un recrutement. 

L’Apecita propose ainsi une prestation de service, à la carte, pour accompagner l’embauche. Un moyen de gagner du temps pour les entreprises et de tester une méthode d’entretien originale pour les candidats.

Connu pour sa mission d’appui à la recherche d’emploi, c’est aussi en tant que spécialiste du recrutement que l’Apecita a établi un lien de confiance avec les professionnels de l’agriculture et de l’agroalimentaire. 


En Aquitaine, Thierry Combet, le responsable de la délégation régionale, gère de nombreux recrutements. Celui de janvier 2015, pour un poste de chargé de mission « apprentissage » à la chambre d’agriculture d’Aquitaine, est un bon exemple du travail effectué par l’Apecita. Anne-Marie Moreno, chargée de mission « métiers emploi-formation » à la chambre d’agriculture, a supervisé l’embauche : « Le poste a été créé en 2014 dans le cadre d’une subvention FSE. À l’époque, au-delà de la procédure de recrutement, nous avions fait appel à l’Apecita pour définir les contours du poste : compétences recherchées, profil, libellé de l’annonce, etc. La personne recrutée en 2014 ayant décidé de démissionner, nous avons entamé une nouvelle procédure de recrutement pour janvier 2015.

Il y avait donc une réelle continuité à travailler de nouveau avec l’Apecita ». Car avant d’arriver à la conclusion qu’Elsa Richou était la personne idéale pour le poste, plusieurs étapes ont été nécessaires.


Connaissez-vous nos services d'accompagnement pour les employeurs ?

mercredi 2 septembre 2015

Observatoire de l'emploi salarié en production agricole, Pays de la loire : L’élevage recrute en Pays de la Loire

Depuis trois ans, les besoins en main-d’oeuvre dans les secteurs de l’élevage laitier, l’élevage porcin et la polyculture-élevage se renforcent en Pays de la Loire. Le secteur des cultures spécialisées reste un autre gros pourvoyeur d’emplois.

En 2013 dans les Pays de la Loire, on comptait 10 518 employeurs en production agricole et 82 800 salariés. Ces salariés représentent en réalité 26 229 équivalents temps plein (ETP), puisque 17 987 sont des salariés permanents, 10 993 sont des salariés en CDD supérieur à 4 mois, et 44 115 sont des saisonniers. 

En ajoutant les entreprises de services, tels que les travaux agricoles et paysagers, l’emploi régional s’élève à 12 153 employeurs pour 93 724 salariés représentant 33 840 ETP.

Pour en savoir plus sur le marché de l'emploi e Pays de la Loire

Arnaud Baratte, concepteur designer Contempler, imaginer et action !

Entre communication visuelle, compétences commerciales et formation d’oenologue, Arnaud
Baratte a mené sa carrière professionnelle dans le domaine des arts de la table. 

En 2010, il décide de se lancer dans une nouvelle aventure : l’entreprenariat, en créant une gamme de verre originale.

Un challenge.

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mardi 1 septembre 2015

« 100 % citoyen » L’enseignement agricole dévoile son plan d’action national

Se remettre en question puis aller de l’avant, telle a été la démarche du ministère de l’Agriculture après les attentats de janvier. Trois débats et une multitude de rencontres ont ainsi abouti à un plan d’action national, dévoilé lors d’une restitution le 7 avril dernier.

À la suite des attentats dejanvier 2015,  Stéphane Le Foll a rassemblé la communauté éducative de l’enseignement agricole, à l’occasion de plusieurs débats dans le cadre du « dialogue national autour des valeurs de la République ». Ce cycle de rencontres s’est clôturé le mardi 7 avril 2015 à Paris avec des propositions d’actions. Trois grands objectifs à ce plan d’action « 100 % citoyen » : défendre la laïcité et lutter contre les discriminations, favoriser la citoyenneté et l’engagement personnel, lutter contre les inégalités et promouvoir la mixité sociale.


Le plan d'action de l'enseignement agricole

Enseignement agricole : Un taux de réussite en progression en 2015

Le ministère de l’Agriculture vient de présenter les résultats de la session 2015 des examens de l’enseignement agricole et ces derniers se sont encore améliorés depuis l’an passé. 

Parmi les 79 595 candidats qui se sont présentés aux examens de l’enseignement agricole, 67 629 ont été admis. 
Le taux de réussite général des candidats connaît une progression par rapport à la session 2014 et s’établit à 85 % (+ 0,8 point). Il est à noter que le taux de réussite au baccalauréat est en progression tant dans la voie professionnelle (+ 0,9 point) que dans la voie technologique, (+ 5,2 points). 

La filière BTSA connaît également une progression du taux de réussite (+ 1,7 point). Si on y ajoute le bac S de l’enseignement agricole, le taux de réussite s’élève à 85,2 % (+ 1 point).

Tech & Bio : l’eau au coeur des enjeux

Organisé tous les deux ans par les chambres d’agriculture, le prochain Salon Tech & Bio aura lieu les 23 et 24 septembre 2015 à Bourg-lès-Valence dans la Drôme.

Cette 5e édition 2015 mettra l’accent sur les initiatives réussies pour la préservation de l’eau en quantité et en qualité.  

14 000 visiteurs sont attendus pour cette édition, pas moins de 100 démonstrations en plein champ et 120 conférences et ateliers sont au programme. Le Salon mettra notamment à l’honneur des agriculteurs qui se démarquent par leur savoir-faire, leurs résultats technico-économiques et socio-environnementaux en leur remettant les Trophées des Talents Tech&Bio de la performance durable. 

Les nouveautés annoncées pour cette année : un espace méthanisation pour accompagner les projets de production de biogaz, la journée consacrée à la gestion écologique des espaces verts pour les collectivités locales et le parcours dédié à la préservation de l’eau.