mardi 30 avril 2013

"Ma seconde chance" : un site Internet pour les "jeunes décrocheurs"

L'Onisep a mis en ligne un site baptisé "ma seconde chance" dédié aux jeunes qui ont quitté le système scolaire sans diplôme, ni qualification. 
 Il s'adresse aussi à leurs parents et aux personnes chargées de les accompagner. 

A partir du code postal, le site propose une liste de lieux d'information. Une rubrique est consacrée au service civique et un annuaire des établissements est disponible pour ceux qui souhaitent reprendre une formation. Il est également possible de visionner des témoignages vidéo et d’échanger par tchat avec un conseiller du lundi au vendredi de 10h à 20h.

http://masecondechance.onisep.fr

lundi 29 avril 2013

Le référentiel des métiers des parcs naturels régionaux

La fédération des parcs naturels régionaux de France et l'Atelier technique des espaces naturels viennent de publier une nouvelle version de leur référentiel des métiers

Les 48 parcs naturels régionaux ont identifié 64 métiers auxquels s'ajoutent 25 métiers à caractère occasionnel. Certains peuvent intéresser les candidats qui veulent s'orienter vers le développement territorial, l'aménagement, l'environnement, ou l'information et la communication. 

Chaque métier fait l'objet d'une fiche avec ses missions, les compétences requises, les moyens d'exercice et les conditions d'accès. 
Ce guide peut donc intéresser également les professionnels de l'orientation et du recrutement.

Le référentiel des métiers des parcs naturels régionaux

dimanche 28 avril 2013

Un site Internet pour le contrat de génération

Le Ministère du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social a mis en ligne un site Internet dédié au contrat de génération. Il s'adresse aux entreprises, aux jeunes et aux seniors. 

Rappelons que l'objectif est de favoriser l'embauche des jeunes de moins de 26 ans en CDI, de maintenir l'emploi des seniors salariés, et d'assurer la transmission des savoirs et des compétences.

L'aide financière prévue est de 4 000 euros/an pendant trois ans mais son attribution dépend de la taille de l'entreprise : moins de 50 salariés (aide sans accord de branche), 50 à 299 salariés (aide avec accord collectif ou de branche) ou 300 salariés et plus (pas d'aide-accord collectif nécessaire).

http://travail-emploi.gouv.fr/contrat-de-generation,2232/

samedi 27 avril 2013

Comment expliquer un échec en entretien ?

Pourquoi avez-vous démissionné de cette entreprise ? Pourquoi n'avez-vous pas été reconduit dans votre poste ?

Ces questions vous seront certainement posées lors d'un entretien de recrutement. Dans ce cas, évitez de reporter la responsabilité d'un échec sur d'autres personnes. Mais ne vous présentez pas non plus comme un accusé à qui l'on demande des explications. "La bonne réponse est bien sûr entre ces deux pôles.


Expliquer que toutes les conditions n'ont pas été réunies pour réussir une mission n’est pas inconciliable avec le fait de prendre sa part de responsabilité" affirme Thomas Baligand sur le blog des consultants Apec.

Consulter le blog des consultants Apec

vendredi 26 avril 2013

Visiter une entreprise pour mieux connaître ses métiers

Seul ou en groupe, pourquoi ne pas visiter une entreprise pour mieux connaître ses métiers et y déposer une demande d'emploi ? 

"Entreprise et découverte" est le premier portail de la visite d'entreprise en France. Il recense près de 5 000 sites à découvrir parmi lesquels de nombreuses entreprises agricoles et agroalimentaires. 

"Chaque jour le portail s’enrichit de nouvelles fiches entreprises pour atteindre son objectif d’exhaustivité en 2013" affirme le site. Un moteur de recherche permet de retrouver facilement un point de visite par région, département ou secteur d'activité.

http://www.entrepriseetdecouverte.fr/

mardi 23 avril 2013

Communiquer sur les métiers des semences

Le Gnis (Groupement national interprofessionnel des semences et des plants) vient de lancer une campagne de communication « Demain, je bosse dans les semences ».

Son objectif : faire connaître la diversité des métiers de la filière semences, qui recrute.

Pourquoi mettre en place cette campagne ?

Salon Vinitech-Sifel : 45 entretiens conseils sur deux jours et demi

L’Apecita Aquitaine a rencontré un véritable succès sur le Salon Vinitech-Sifel avec la mise en place d’un nouveau concept d’entretiens conseils. 

Épaulée par les conseillers de Champagne, de Poitou-Charentes et du Languedoc-Roussillon, la délégation Aquitaine a reçu 45 candidats sur le Salon
Expérience très positive qui sera reconduite à Bordeaux dans le cadre du forum des métiers organisé par l’ENSCPB.

Déroulement de ces entretiens

dimanche 21 avril 2013

Baromètre des Vignerons Indépendants : L'export joue sur le moral

Le moral des Vignerons Indépendants est au beau fixe pour 60 % d’entre eux. C’est en tout cas ce que révèle le baromètre 20131 des Vignerons Indépendants de France. Et ce malgré un contexte viticole et économique difficile. 

C’est en fait le grand export qui apparaît comme un boosteur du moral. « Sur le baromètre 2013, être présent à l’export, et notamment au grand export, est le facteur le plus différenciant du niveau de moral des vignerons, expliquent les Vignerons Indépendants de France dans un récent communiqué. 

62,2 % des vignerons qui exportent sont sereins, voire très sereins en l’avenir de leur exploitation contre 54,2% pour ceux qui n’exportent pas. 
Être présent en grand export accroît encore ce différentiel : 64,9 % contre 53,9 % pour ceux qui exportent uniquement en Union européenne. 

Cette activité export, qui concerne 66 % des adhérents Vignerons Indépendants de France, participe ainsi largement aux bons résultats des vins français sur le marché mondial, et démontre, si cela était encore nécessaire, que les Vignerons Indépendants contribuent activement à l’image et à la notoriété des vins français sur le plan international. »

(1) Enquête réalisée auprès de 1 187 vignerons adhérant au réseau Vignerons Indépendants de France en janvier 2013

samedi 20 avril 2013

La concertation pour l’avenir de l’enseignement agricole est lancée

La concertation pour l’avenir de l’enseignement agricole a été officiellement lancée par les ministres de l’Agriculture et de l’Éducation nationale, Stéphane Le Foll et Vincent Peillon. 

Sous la présidence d’Henri Nallet, président de l’Observatoire national de l’enseignement agricole (Onea), et ancien ministre de l’Agriculture, cette concertation, qui réunira l’ensemble des acteurs des filières concernées, devra permettre d’envisager les enjeux de l’enseignement agricole, sa place dans les perspectives de la loi d’avenir pour l’agriculture, et son rôle pour l’avenir de l’agroécologie.

La concertation porte sur quatre grandes thématiques : 
- la promotion sociale et la réussite scolaire ;
- la capacité d’enseigner à produire autrement ;
- la mobilité des jeunes et l’ouverture internationale ;
- et la formation des enseignants. 
« L’enseignement agricole a montré qu’il permet à de nombreux jeunes de se former et de s’insérer avec succès dans le monde professionnel », a affirmé Stéphane Le Foll. 
« L’enseignement agricole doit être demain le vecteur de la nouvelle politique agricole, qui combinera performance économique et performance environnementale », a-t-il ajouté. 

Un site est mis à la disposition du public, pour participer aux travaux et contribuer aux réflexions : http://concertation-avenir.educagri.fr/

Les conclusions de la mission de concertation sont attendues pour mi-mai.

vendredi 19 avril 2013

Modèle coopératif français : Une délégation chinoise à la Coop de Creully

La coopérative de Creully (Basse-Normandie) s’est mise à l’heure chinoise en accueillant une délégation de l’Empire du Milieu.

À l’initiative du Centre économique et culturel franco-chinois, une vingtaine d’édiles de la ville de Dalian (province du Liaoning) s’est intéressée au modèle coopératif français…

"Nous avons accueilli cette délégation dans un état d’esprit d’ouverture, de curiosité et de partage", résume Stéphane Carel, directeur de la coopérative de Creully, à l’issue de la réception d’une délégation chinoise à Creully en Basse-Normandie. 

Les Chinois en Normandie, rien d’exceptionnel, d’habitude concentrés au Mont-Saint-Michel, voire sur les plages du débarquement, mais plus anecdotique, c’est à Creully, à quelques kilomètres de Caen, qu’ils ont débarqué pour visiter une coopérative agricole ! Cette visite a été organisée par le Centre économique et culturel franco-chinois.

La Coop de Creully

Lup’ingredients (Terrena) : Le lupin blanc dans tous ses états

Spécialisée dans la fabrication et la commercialisation d'une gamme de produits issus du lupin blanc doux, Lup’ingredients transforme 2 500 tonnes de graines pour l’industrie agroalimentaire

Unique opérateur de lupin blanc en Europe sur un marché essentiellement pourvu par des transformateurs de lupin bleu, la société vise la place de leader sur le marché des ingrédients à base de lupin à l’horizon 2013.

La transformation du lupin en détail

jeudi 18 avril 2013

Sébastien Dekeister : Au service de la production agricole

Après l'expérience acquise en production agricole à Madagascar, Sébastien Dekeister occupe désormais le poste de chef de culture maraîchère dans une exploitation située dans les polders du Mont-Saint-Michel. 

Il y organise en totale autonomie tous les travaux liés à la production de légumes de plein-champ.

Quel est son parcours ?

Nouvelles lois 2013, quel augure pour les employeurs ?

La loi de finances 2013 et la loi de financement de la Sécurité sociale sont synonymes de nouvelles mesures pour les agriculteurs employeurs de main-d’oeuvre. La grande nouveauté est le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi, le CICE.

Pour alléger le coût du travail, la loi de finances instaure le CICE calculé sur les rémunérations versées aux salariés à compter du 1er janvier 2013. « Le taux est de 4 %. Il passera à 6 % dès 2014 », relate Magalie Bouré, conseillère en droit social au Cerfrance Nord - Pas-de-Calais. 

La déclaration des revenus 2013 prendra en compte la nouveauté : selon l’imposition du contribuable, la somme calculée sera imputée à l’impôt ou remboursée. Les critères d’éligibilité sont les suivants : avoir au moins un salarié en CDD ou CDI, être au bénéfice réel et être assujetti à l’impôt sur le revenu ou sur les sociétés. Le financement du dispositif se fera par la hausse des taux de TVA. Afin de mettre en place le crédit d’impôt, « la TVA évoluera en 2014, et serait, selon les informations actuelles, refondue sur la base de trois taux : 5,5 %, 10 % et 20 % », précise Magalie Bouré.

Pour en savoir plus sur le CPIE

mercredi 17 avril 2013

Baromètre Fnsea / Ifop : Des embauches malgré la crise

La FNSEA vient de dévoiler, pour le printemps 2013, son baromètre de conjoncture agricole (1), réalisé par l’institut Ifop.

Le premier fait marquant qui en ressort est la dégradation de la situation économique : la part des exploitants jugeant leur situation économique mauvaise dépasse celle de ceux estimant qu’elle est bonne (26 % contre 25 %). Près de la moitié des personnes interrogées la jugent acceptable. « D’autre part, près de 30 % des exploitants interrogés ont constaté une détérioration de leurs finances au cours de cet hiver (+ 5 points), constate l’Ifop. Cet indicateur est en hausse constante depuis juin 2012 (+ 8 points). Les pics de "détérioration" sont notamment marqués en bovins lait (42 %), en horticulture (43 %), en porcins, volailles (40 %), et se concentrent essentiellement dans la région Bretagne (52 %) et en Auvergne, Limousin (33 %). Les résultats les plus encourageants se concentrent en grandes cultures, sur les exploitations de plus de 100 ha et en Bourgogne, Franche-Comté, Centre, Pays de la Loire et en Rhône-Alpes. »

De plus, plus d’un tiers des exploitants interrogés affirment avoir récemment connu des difficultés importantes, notamment dues à des charges d’exploitation trop élevées, à une réglementation environnementale trop contraignante, au climat et à la baisse des cours. 

Cependant, malgré une conjoncture économique jugée difficile, le taux d’exploitants ayant recruté au cours des 3 derniers mois se stabilise à un niveau positif que ce soit pour les recrutements de CDI ou de CDD. Concernant les 3 prochains mois, les intentions d’embauches en CDI concernent 3 % des exploitants et plus particulièrement 5 % des viticulteurs, 4 % des maraîchers et 4 % des arboriculteurs. 12 % des exploitations agricoles envisagent de recruter des salariés en CDD durant le printemps. 

À noter que depuis mars 2009, ce taux d’intention ne cesse de grimper : + 5 points par rapport à mars 2009. « Les recrutements en CDD se font essentiellement en viticulture et en cultures spécialisées : près d’un tiers de ces exploitants a l’intention d’embaucher des saisonniers », souligne l’Ifop.

(1) L’enquête est réalisée auprès d’un échantillon de 1 505 exploitations agricoles représentatif des exploitations agricoles professionnelles françaises en termes de régions, de taille, de secteur d’activité et d’âge de l’exploitant.

mardi 16 avril 2013

Devenir ingénieur : Une stratégie à long terme

Si la formation professionnelle offre la possibilité de mettre à niveau les compétences nécessaires à son poste ou à la recherche d’un emploi, elle ne devrait pas être réfléchie au coup par coup. Une stratégie à long terme est plus propice et plus souple.

Devenir ingénieur suite à une formation professionnelle est une démarche qui mérite d’être mûrement réfléchie, introduit José Raynal, responsable de la formation continue à l’école nationale supérieure agronomique de Toulouse (Ensat).
La personne intéressée doit bien prendre conscience que suivre une telle formation va lui demander du temps et exiger qu’elle se replonge dans le rythme étudiant. Il est donc nécessaire et indispensable d’être accompagné.
Nous préférons sélectionner uniquement les profils qui ont de grandes chances de réussir afin d’éviter toute situation d’échec en fin de cursus. La réussite est évidemment notre leitmotiv. » Olivier Delahaye, directeur de la formation continue à l’Institut national polytechnique de Toulouse (INP) de confier : « L’obtention du diplôme d’ingénieur pour des personnes en formation professionnelle change leur vie. Les profils intégrant la formation par la voie professionnelle sont souvent des techniciens qui, après une dizaine d’années d’expérience professionnelle, ne voient aucune évolution possible au sein de leur entreprise et ailleurs. Ils se relancent donc dans leur vie professionnelle par le biais d’une telle formation. »

Comment devenir ingénieur ?

lundi 15 avril 2013

Mobiliser son Dif après la cessation de son contrat de travail

Utiliser les heures de formation acquises en entreprise après son départ ? C’est possible grâce au « Dif portable ». Julie Dubois a bénéficié du report de ses heures de formation. 

Vingt heures. C’est le crédit annuel dont bénéficie chaque salarié au titre du droit individuel à la formation. Soit à utiliser dans l’année, soit à cumuler, dans la limite de 120 heures, soit six ans maximum.

Tout salarié peut prétendre au Dif, hormis les apprentis et les salariés en contrat de professionnalisation.

Le Dif en détail

Coopérative : La formation, soutien de la stratégie de Terrena

Groupe coopératif agroalimentaire de 22 000 adhérents et près de 12 000 salariés, Terrena s’investit largement dans la formation professionnelle.
Parmi ses actions les plus récentes, figurent la création d’une école de management opérationnel et la signature, avec Agrocampus Ouest, d’un accord de partenariat.

Philippe Grié : « Depuis toujours, la formation professionnelle vient en soutien de la stratégie du groupe Terrena, qui est de construire l’agriculture de demain. »

Le point avec Philippe Grié, DRH du groupe

Formation ouverte et à distance : Étudier où je veux, quand je veux !

Le propre de la formation à distance est bien la liberté dans son organisation de travail. La FOAD, selon Eduter-CNPR, offre toujours cet avantage tout en accompagnant les personnes qui le souhaitent dans leur parcours du début à la fin.

Soixante-quinze pour cent des personnes en formation par la voie de la FOAD (formation ouverte et à distance) à Eduter-CNPR sont des salariés, introduit Alain Perraud, chef du service SGUP (gestion des usagers et des partenaires) et chargé de communication à Eduter-CNPR. Et la majorité d’entre eux l’est à titre personnel dans le but de se reconvertir. Donc, ils n’en parlent pas à leur hiérarchie.
Mais il faut savoir que la FOAD n’est pas destinée qu’à ce public. Les demandeurs d’emplois, les retraités, les étudiants et les mineurs qui n’ont pas la possibilité d’être formés par le biais de la formation initiale peuvent prétendre à se former à distance », confirme le chargé de communication.

Comment fonctionne la FOAD ?

dimanche 14 avril 2013

Bilan de compétences : Valoriser pour évoluer

Le bilan de compétences est présenté comme un outil permettant de valoriser ses compétences et d’apporter des réponses lorsque des questions sur son orientation professionnelle émergent.

Sylvain Fontirroig et Marie-Claude Guerrier témoignent de leur expérience.

Les dispositifs d’accès à la formation : Des choix adaptés à toutes situations

L’évolution des besoins des entreprises, une nouvelle orientation de carrière, la volonté d’évoluer au sein de sa société… Autant de raisons qui justifient une formation à un certain moment de la vie. Aussi existe-t-il de nombreux moyens de se former tout au long de sa carrière. À chacun de s’orienter vers celui qui correspond à sa situation.

Les demandeurs d’emploi favorables à la formation professionnelle agricole

En janvier 2013, OpinionWay a réalisé un sondage —— pour le compte du Fafsea. 

L’objectif : sonder les demandeurs d’emploi afin de définir l’importance de la formation professionnelle continue pour eux. 400 d’entre eux ont été ciblés. Les résultats sont plutôt intéressants. Si 82 % des sondés estiment que la formation professionnelle continue est un moyen de trouver plus facilement un emploi, près de 51 % se disent prêts à se reconvertir dans le milieu agricole. Ce chiffre passe à 63 % si l’on isole les sondés habitant en zone rurale ou périurbaine. Ces mêmes 63 % seraient d’accord pour une formation agricole en vue de cumuler plusieurs emplois au cours d’une année civile dont au moins un dans le secteur agricole.
 
Les demandeurs d’emploi favorables à la formation professionnelle agricole

samedi 13 avril 2013

Les Laboratoires Abia labellisés « E ntreprise du patrimoine vivant »

Les Laboratoires Abia, spécialisés dans la production de présures ont reçu fin 2012 le label « Entreprise du patrimoine vivant » du ministère de l’Artisanat.

La société bourguignonne rejoint ainsi le millier d’entreprises déjà distingué par l’État pour ses savoir-faire artisanaux et industriels.

Les laboratoires Abia en détail

vendredi 12 avril 2013

Un projet de coopération Sud – Nord : la technique culturale des Bois Raméaux Fragmentés expliquée par des formateurs béninois à des publics de Midi-Pyrénées



L'Ecole Nationale de Formation Agronomique accueillera une délégation de centre de Songhaï situé au Bénin, du 15 au 19 avril, dans le cadre d'un projet original de coopération Sud -Nord : la technique culturale des Bois Rameaux Fragmentés expliquée par des formateurs béninois à des publics de Midi-Pyrénées (professeurs, formateurs, élèves des établissements d'enseignement technique agricole, professionnels,  associations ...).
Au cours de la semaine, ils présenteront à des agriculteurs de la région Midi-Pyrénées mais également à des professeurs et des formateurs d'établissements d'enseignement agricole, différentes techniques culturales (notamment autour de l'utilisant des bois rameaux fragmentés) qu'ils mettent en oeuvre dans leur Centre.
Quelques temps forts au programme  :
- rencontres avec des élèves et des étudiants d'établissements d'enseignement agricole autour d'activités d'éducation au développement
- table ronde "de nouvelles coopérations pour de nouvelles pratiques culturales" organisé à Vénerque mardi 16 avril à 21h
- visite de Tryfil (plateforme de compostage) à Blaye les Mines jeudi 18 avril vers 16h30 , en présence des associations Cégaïa et Sol et eau. Site du colloque : http://colloquebrf.enfa.fr

Licence professionnelle Agriculture biologique : Des métiers d’avenir ?

La licence professionnelle Agriculture biologique conseil et développement (ABCD) est une licence multi-sites unique en France. Quel en est le fonctionnement et sur quels métiers débouche-t-elle ?

La licence professionnelle Agriculture biologique conseil et développement (ABCD) propose un enseignement commun dans 14 établissements répartis sur sept sites en France : Grand-Est, Auvergne-Limousin, Rhône-Alpes, Sud-Méditerranée, Midi-Pyrénées, Bretagne et Martinique. Le diplôme délivré est commun à tous les sites.

Les enseignements théoriques de la licence sont mutualisés, grâce notamment à la Web-conférence.

Licence professionnelle Agriculture biologique en détail

Convention Apecita - Aria Bourgogne : Un cycle de formation sur la performance des RH

L’Aria Bourgogne et l’Apecita ont signé fin 2012 une convention de partenariat. Elle porte notamment sur la mise en place d’actions visant à améliorer la gestion des ressources humaines dans les entreprises alimentaires bourguignonnes.

L’agroalimentaire est un secteur de poids en Bourgogne. Dans cette région, les offres du secteur agroalimentaire représentent un quart des offres traitées annuellement par la délégation Apecita régionale.

Quelles sont les actions mises en place ?

jeudi 11 avril 2013

Méditerranée – Réseau Agrosud : Plus d’agronomie grâce à la formation

Le réseau de négoces méditerranéens Agrosud s’est fixé l’objectif de remettre de l’agronomie dans les métiers de l’agrofourniture et ce par le biais de la formation interne mais aussi externe. 

Un peu provocant, non ? « Ce n’est pas une provocation, bien au contraire ! C’est une réalité, annonce Jean-Paul Palancade, directeur d’Agrosud. Il en va de la pérennité et de la viabilité de nos entreprises. Il nous faut en permanence actualiser et élargir nos connaissances et nos compétences au service du client et de ses futurs cahiers des charges. De plus, si nous voulons atteindre les objectifs fixés par le Grenelle de l’environnement, il nous faut raisonner et optimiser au mieux les traitements et donc adapter nos préconisations dans ce sens. Sans connaissances agronomiques précises, le défi sera impossible à relever ! »

Les missions d'Agrosud

Chef de culture horticole : un pédagogue passionné par les plantes

Le chef de culture horticole exerce son métier dans une exploitation ou une collectivité territoriale. 

Il supervise la production des végétaux dans le cadre des objectifs fixés par l'entreprise. Il établit le planning d'activité, donne les consignes au personnel et participe lui-même aux travaux.

Ce métier nécessite de solides connaissances techniques sur les végétaux, un grand sens de l'observation, mais aussi des qualités de pédagogue pour former et encadrer le personnel. 

La formation demandée est au minimum le Bac.

Consulter la fiche métier chef de culture horticole

Consulter les formations préparant à ce métier

mercredi 10 avril 2013

En région centre : analyse des jeunes issus de l'enseignement agricole

La région Centre (Draaf et missions locales) publie une étude sur le parcours des jeunes issus de l'enseignement agricole qui ont fait appel aux missions locales pour trouver un emploi.  Cette étude porte sur 2009-2010 et 3 231 jeunes, en majorité de niveau CAP-BEP à Bac.
Il s'agit d'une population fortement féminisée (68%) vivant en zone rurale, célibataire et mobile. 
Sur les deux années, 85 % ont occupé un emploi précaire (CDD) et 14 % ont trouvé un emploi aidé. L'élévation du niveau de formation est gage d'une meilleure insertion, mais celle-ci reste difficile pour les CAP-BEP dans les filières "services" et "cheval".

Consulter l'étude de la Draaf Centre et du réseau régional des missions locales

mardi 9 avril 2013

Plantes à parfum, aromatiques et médicinales : Des signaux favorables à la production

Après un ralentissement ces dernières années, certains segments du marché des plantes à parfum, aromatiques et médicinales (PPAM) en France ont renoué avec la croissance et semblent promis à un développement.

Mais l’offre française de plantes reste déficitaire et ne peut répondre aux demandes actuelles du marché.
Des opportunités s’offrent donc aux producteurs, à condition qu'ils soient en capacité d'assurer des approvisionnements réguliers.

Les plantes à parfum, aromatiques et médicinales (PPAM), produites en France sur 38 000 hectares par un peu moins de 4 800 exploitations, connaissent une dynamique de développement depuis une décennie environ.


La filière des plantes aromatiques en détail

Fin de CDD : comment est calculée la prime de précarité?

Les salariés qui arrivent au terme d'un contrat à durée déterminée (CDD) perçoivent une indemnité de fin de contrat baptisée prime de précarité. Son montant équivaut à 10 % de la rémunération brute. 
Pour un salarié ayant perçu 2 000 euros bruts/mois pendant trois mois, la prime de précarité sera donc de 600 euros. 

Attention : cette prime se calcule toujours avant l'indemnité compensatrice de congés payés. De plus, elle n'est pas due dans certains cas, notamment pour les contrats saisonniers, les jobs d'étudiants, ou lorsque le CDD se transforme en CDI (Contrat à durée indéterminée). 

Pour en savoir plus : Cadremploi : la prime de précarité de fin de CDD

lundi 8 avril 2013

L'Apecita Méditerranée pésente au Forum de Bollène

L'Apecita Méditerannée sera présente au FORUM de l'EMPLOI, de la FORMATION et de la Création d'Activités au Lycée Lucie Aubrac à Bollène le mardi 16 avril 2013 de 9 h à 13 h.

Retrouvez nous sur ce Forum !

Tribune Verte: Celesta-lab : Les matières organiques se dévoilent...

Tribune Verte: Celesta-lab : Les matières organiques se dévoilent...: Alors que la plupart des laboratoires d’analyses se focalisent sur les indicateurs physicochimiques, Celesta-lab fait de la caractérisatio...

Recherche d'emploi : comment répondre à un chasseur de têtes ?

Vous avez déposé votre CV sur un site Internet, sur les réseaux sociaux, auprès d'une association d'anciens élèves,...et un cabinet de recrutement vous contacte par téléphone afin d'en savoir plus. 

Expliquez simplement votre situation, votre expérience, vos compétences et vos aspirations. Si vous correspondez au profil recherché, vous serez invité à un (ou plusieurs) entretien puis mis en relation avec l'entreprise qui recrute. 
Mais si le poste ne vous intéresse pas, faites-le savoir le plus tôt possible. Éventuellement, orientez le chasseur de têtes vers quelqu'un de votre entourage. Il appréciera et gardera une image positive de vous.

Journal du Net : comment se comporter face à un chasseur de têtes ?

samedi 6 avril 2013

UniAgro : le site des ingénieurs du vivant

UniAgro est la fédération regroupant les associations de diplômés de sept grandes écoles et établissements publics de l’enseignement national supérieur agronomique et agro-alimentaire

Son site Internet permet de suivre l'actualité de ces associations et des groupes régionaux constitués par les "agros". 
La rubrique UniAgro Carrières consacrée à l'emploi a fait peau neuve fin 2012 avec de nouvelles fonctionnalités. 
Elle permet de mettre en relation candidats et recruteurs. 
Enfin, grâce à un annuaire en ligne, il est possible de retrouver les coordonnées d'un diplômé.
 
http://www.uniagro.fr

vendredi 5 avril 2013

Premiers contrats d'avenir dans le secteur agricole

Les organisations agricoles peuvent mettre en place des contrats d'avenir. 

La fédération nationale de l'agriculture biologique et les ministres de l’agriculture et de la consommation ont signé une convention pour la création de 60 contrats en 2013

Cette convention prévoit également 140 contrats en 2014 dans la filière bio. Les emplois d’avenir s'adressent aux jeunes de 16 à 25 ans peu ou pas diplômés et à la recherche d’un emploi.
Rappelons qu'existent également des "emplois d'avenir professeur", y compris pour l'enseignement agricole. Ils concernent les étudiants boursiers en deuxième ou troisième année de licence ou en première année de master.

Le monde agricole se met aux emplois d'avenir

En savoir plus sur les contrats d'avenir professeur

Celesta-lab : Les matières organiques se dévoilent

Alors que la plupart des laboratoires d’analyses se focalisent sur les indicateurs physicochimiques, Celesta-lab fait de la caractérisation biologique des sols et des matières organiques sa spécialité. 

Thibaut Déplanche, jeune ingénieur agro, a été recruté dans l’entreprise basée près de Montpellier.
Sa mission : enrichir le conseil par une approche agronomique et automatiser les interprétations des analyses biologiques.

Celesta-lab en détail

Ingénieurs et titulaires du DNO : Être reconnu par ses pairs

Jouir d’une double compétence fait parfois rêver les accros aux diplômes… C’est pourtant une réalité qui se développe dans les entreprises.

L’ouverture d’esprit de l’ingénieur et les connaissances nécessaires de l’oenologue sont de plus en plus recherchées ensemble.
Le second diplôme étant souvent une plus value du premier.

Le parcours de Yann Vasserot

jeudi 4 avril 2013

"La formation au service de l’emploi"

La formation professionnelle permet à n’importe quel salarié d’acquérir non seulement les compétences nécessaires à l’exercice de son métier, mais elle participe aussi à sa mobilité, voire à son employabilité.

Les OPCA, organismes paritaires collecteurs agréés (par l’État) oeuvrent à la collecte des fonds des entreprises et à la mise en place de dispositifs de formation professionnelle continue au sein des entreprises.

Pour Gilbert Keromnès, président de l’Opcalim (coopération agricole, industries agroalimentaires et alimentation de détail), « nous sommes préoccupés par les difficultés de recrutement du secteur, il faut travailler sur l’attractivité de nos métiers et l’employabilité de salariés venant d’autres secteurs ».

Opcalim, c'est quoi ?

De la matière grise au service des entreprises

Organisation d’événementiels, lancement de nouveaux produits, déploiement de stratégies marketing, adoption de démarches innovantes, mises aux normes… La vie des entreprises est parcourue de temps forts pas toujours faciles à appréhender ! 

C’est pour accompagner les structures dans ces étapes clefs que le pôle de compétence Multiplicité s’est créé, offrant des services à la carte ou même un suivi à l’année.

Multiplicité en détail

mercredi 3 avril 2013

Favoriser l'accès des BTS agricoles à la formation d'ingénieur

Lors du dernier salon international de l'agriculture, l’Esitpa (Ecole d’ingénieurs en agriculture) de Rouen et le Cneap (Conseil national de l’enseignement agricole privé) ont signé une convention de partenariat afin de favoriser la réussite des titulaires d’un BTSA du réseau Cneap dans le cycle ingénieur de l’Esitpa

Les étudiants qui ont le potentiel pour intégrer l'Esitpa bénéficieront d'un dispositif adapté au sein des établissements du Cneap.
Puis l'Esitpa proposera des modules spécifiques pour les accompagner dans leur premier semestre de cycle ingénieur.

http://www.cneap.fr/page-2053.html

Expéditeurs et exportateurs : Pro RH, un outil pour gérer les ressources humaines de l’entreprise

Parce que les entreprises d’expéditions et d’exportations de fruits et légumes sont, pour la plupart, des entreprises familiales ; parce que le contexte économique et sociétale implique de faire évoluer les compétences des salariés ; mais aussi parce que les entreprises de l’expédition font face a des difficultés de recrutement, le syndicat professionnel (Aneefel) avec le soutien de l’OPCA Intergros ont travaillé de concert à la mise en place d’outils opérationnels pour mieux appréhender les ressources humaines de l’entreprise.

En effet, grâce à Pro RH, simple comme un tableur, chaque entreprise dispose d’un outil capable de centraliser l’ensemble des données des salariés, mais surtout de les accompagner dans leur trajectoire professionnelle.

Pro RH en détail

Sébastien Crouzet, arboriculteur à (Lot-et-Garonne) : Transmettre mon savoirfaire par l’apprentissage

Sébastien Crouzet accueille sur son exploitation Jennyfer Lussan, dans le cadre de la formation d’ingénieur fruits et légumes par apprentissage.

Une expérience enrichissante qui lui permet de transmettre son savoir-faire et sa passion du métier d’arboriculteur.

Transmettre son savoir avec l'apprentissage

mardi 2 avril 2013

Recrutement : votre offre va-t-elle attirer les jeunes talents ?

Une offre d'emploi ne se résume pas à une brève description de poste et un laconique "rémunération selon expérience".

Pour attirer les candidats, notamment les jeunes, votre annonce doit donner envie de venir travailler chez vous. Quel est l'intérêt de venir dans votre entreprise ? Quelle est son histoire ? Quelles compétences peut-on y développer ? Quelles sont les perspectives d'évolution ? Offrez-vous des avantages particuliers ? A quoi ressemblera l'équipe de travail ?

Ne négligez pas tous ces éléments même pour un stage, un CDD, une mission d'interim, ou un poste peu élevé hiérarchiquement.

Comment une simple description de poste peut être un aimant à jeunes talents

La filière semences ouvre ses portes

Les semenciers et le Gnis ont décidé de faire connaître la diversité des métiers du secteur des semences et plants aux étudiants avec le programme « Vocation semencier ».

Il est mis en place au niveau national : usines, laboratoires, stations de sélection, champs de multiplication vont ouvrir leurs portes en 2013. Au total, ce sont près de 80 sites répartis sur plus de 30 départements.

Ce programme réunit également des informations sur les métiers des semences, au travers des fiches métiers qui exposent les principales missions de chaque profession, la formation et les compétences nécessaires pour y prétendre et les possibilités d’évolution.

Selon le Gnis, la filière française des semences et plants, souvent méconnue des jeunes, est un véritable vivier de compétences.

Pour plus d’information : www.gnis-pedagogie.org.

Licence professionnelle MPIA : Donner du poids à son CV

L’Ifria Bourgogne - Franche-Comté propose une licence professionnelle MPIA, management de la production en industries alimentaires

Thomas Le Bail a suivi cette formation en 2010-2011.

Quel est son parcours ?

lundi 1 avril 2013

Maisons familiales rurales : La formation par alternance depuis 1937

Depuis leur création en 1937, les Maisons familiales rurales proposent la formation par alternance aux jeunes, mais aussi aux adultes. 

L’agriculture reste le domaine prédominant des cursus proposés. Décryptage à la MFR de Bernay-en-Champagne, dans la Sarthe.

Chaque année, les Maisons familiales rurales forment près de 70 000 jeunes et adultes, de la 4e à la licence pro.
Le système pédagogique est basé sur l’alternance, avec un enchaînement de deux semaines en entreprise et une à deux semaines à l’école. 

Les MFR présentent l’alternance comme « un moyen de provoquer chez le jeune son éveil intellectuel et sa motivation pour les études, grâce à l’insertion dans le monde professionnel ».

Fonctionnement des MFR