vendredi 28 août 2015

Accueil d’un nouveau salarié : Plutôt prévenir que guérir !

Jeune embauché, en CDD ou saisonnier, le premier jour de travail est un moment important pour le nouvau salarié. Et aussi pour l’employeur. 

Ce dernier doit lui expliquer le fonctionnement de l’exploitation et les règles de sécurité liées à son poste de travail. Le livret d’accueil sera remis au salarié. Histoire de garder une trace écrite des consignes de sécurité détaillées lors de sa première journée de travail.

Comment bien intégrer son nouveau salarié ?

Démarche collective de développement durable en Languedoc-Roussillon : Échanger pour progresser ensemble

Plusieurs entreprises agroalimentaires du Languedoc-Roussillon ont choisi d’avancer ensemble pour améliorer leurs pratiques en matière de développement durable. Une démarche collective où la mutualisation et l’échange permettent de progresser.

Dès 2005, LRIA (Languedoc-Roussillon Industries Agro-alimentaires) et la Fédération des Fruits et Légumes - Coopération en Languedoc-Roussillon ont choisi de mettre en place une démarche régionale collective de progrès pour le développement durable. « Les principes du développement durable étaient déjà au coeur de la stratégie de certaines entreprises agroalimentaires de la région, explique Anne Gérard, chargée de mission à LRIA. Si certaines d’entre elles avaient déjà identifié clairement leurs actions, d’autres s’étaient engagées dans cette voie sans vraiment le savoir. Grâce à cette démarche collective, nous avons souhaité leur offrir un cadre et les aider à structurer leur démarche. »

C'est quoi une démarche collective de développement durable ?

jeudi 27 août 2015

Logiciel d'élaboration du projet professionnel : Trouver sa voie avec Pass'avenir

Bien que nous soyons les mieux placés pour nous connaître, dès qu’il s’agit d’orientation, nous sommes parfois complètement démunis. 

Dans ce contexte, le logiciel d’orientation et de réorientation Pass’Avenir propose de synthétiser tous les paramètres à notre place : personnalité, formation, intérêts, qualité de vie, etc. Suite à quoi une liste de fiches métier se crée en fonction des critères choisis.

Pour utiliser ce logiciel, il faut se rapprocher d’un centre agréé : l’Apecita, par exemple, a déjà adopté l’outil.

Découvrez l'accompagnement de l'Apecita pour élaborer votre projet professionnel

La champagne et la Bourgogne viticoles entrent au patrimoine de l'Humanité

C’est désormais officiel depuis le 4 juillet dernier : les « coteaux, maisons et caves de Champagne », ainsi que les « climats » de Bourgogne ont été inscrits au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco. 

L’Organisation des Nations unies pour l ’éducation, la science et la culture a ainsi distingué « la totalité du processus de production du champagne », en inscrivant les lieux où fut développée la méthode d’élaboration des vins effervescents, entre ses débuts au XVII e siècle et son industrialisation au XIX e siècle. 

De même, ont été reconnus les parcelles de vignes sur les pentes de la côte de Nuits et de Beaune, au sud de Dijon, ou encore les climats de Bourgogne, à l’origine du caractère si particulier des vins de la région, ainsi que la ville de Dijon, centre politique qui organise ce système. 

Les deux régions peuvent espérer de nombreuses retombées positives de leur distinction. Tout d’abord, leur appartenance au patrimoine mondial de l’humanité leur assure une préservation de leurs territoires et traditions, grâce aux règles de protection des sites qu’elle implique. 
Les retombées en termes d’image devraient être les plus décisives, et les statistiques évoquent une hausse du tourisme de 20 % suite à cette reconnaissance universelle – notamment grâce au référencement des sites dans les guides et brochures touristiques. Les lieux listés par l’Unesco au sein des deux sites primés pourraient cristalliser ces nouvelles affluences touristiques. De même, certains crus des « climats » du vignoble de Bourgogne, d’ores et déjà parmi les plus prestigieux au monde, comme la Romanée-Conti, devraient bénéficier d’une renommée accrue. Pour rappel, en 2010, le « repas gastronomique des Français » avait déjà été consacré par l’Unesco, notamment en raison
de son « rôle social actif ».

vendredi 21 août 2015

Éric Robin : La jardinerie au coeur

Comme une évidence, le diplôme d’ingénieur agronome en poche, Éric Robin a choisi de travailler dans le secteur de la jardinerie. 

Après plusieurs expériences professionnelles qui lui ont permis de se familiariser avec les réalités économiques et humaines de ce marché, il est aujourd’hui directeur de SO-JA, groupement coopératif de jardineries indépendantes.

Découvrez le parcours d'Eric Robin

jeudi 20 août 2015

Le test 16 PF : Mieux se connaître pour mieux évoluer

De plus en plus utilisés par les recruteurs, les tests de personnalité aident aussi les candidats à mieux se connaître. 

Grâce au test 16 PF, il est possible de mieux comprendre le fonctionnement et les possibilités d’évolution d’une personne ou de soi-même.

Découvrez le 16 PF

mercredi 19 août 2015

BONDUELLE « Se rapprocher des consommateurs »

Le groupe Bonduelle cherche à faire mieux connaître les légumes. Pour y parvenir, le groupe s’est lancé dans de nouvelles formes de distribution. Du e-commerce à la vente à domicile, Bonduelle s’essaie à tout.

Après le lancement en 2010 de son magasin en vente directe puis de son site ecommerce dédié aux produits Cassegrain, l’agro-industriel français Bonduelle s’essaie à la vente à domicile. Ainsi, depuis un peu plus d’un an, le groupe distribue ses produits à domicile via un réseau d’ambassadrices. Décidé à se « rapprocher de ses consommateurs », Bonduelle met en place depuis quelques années de nouvelles formes de distribution.

Bonduelle innove

"Distribution alimentaire : les coopératives doivent se lancer"

Après le lancement de Frais d’Ici, concept de supermarchés de produits frais et locaux, Thierry Blandinières, directeur général du groupe coopératif InVivo, revient sur les enjeux de la diversification pour les coopératives agricoles.

Interview de Thierry Blandinières

mardi 18 août 2015

882 000 emplois dépendent de l’élevage français

Une étude du GIS Élevages demain dévoilée le 30 juin révèle que 882 000 emplois dépendent de la présence des élevages en France. Ils représentent 703 000 équivalents temps plein (ETP), et même 724 000 ETP en prenant en compte l’intérim, soit 3,2 % de l’emploi en France. 

La part la plus importante de ces emplois se situe dans les exploitations agricoles, avec 312 000 ETP liés aux emplois directs consacrés aux ateliers d’élevage (hors équins). On peut y ajouter 9 000 ETP pour la production de céréales consommées sur les élevages. Cela représente plus de 40 % de l’emploi total des exploitations agricoles. 

Viennent ensuite les emplois indirects plus ou moins dépendants de l’élevage français : 178 000 ETP ont été identifiés très dépendants, 166 000 ETP assez dépendants et 47 000 ETP peu dépendants. 

On peut retenir que chaque ETP présent sur un élevage génère 1,25 ETP dans les autres secteurs économiques. Vous pourrez retrouver les conclusions plus complètes de cette étude dans le prochain numéro spécial de Tribune verte qui paraîtra le 10 septembre 2015 à l’occasion du Space, le Salon international de l’élevage.

Une charte en Rhône-Alpes Une femme = un homme en agriculture aussi

Afin de promouvoir l’égalité femme-homme dans les recrutements en agriculture, les partenaires sociaux rhônalpins et l’Apecita viennent de signer une charte régionale. 

« Nous aurons gagné lorsque nous devrons signer une charte pour promouvoir l’emploi des hommes ! » C’est une boutade qu’a lancée Claire Merland, maraîchère en Ardèche et secrétaire générale de la CPRE Rhône-Alpes (Commission paritaire régionale pour l’emploi), mais elle résume bien l’étendue du changement qui reste à opérer pour atteindre l’égalité femme-homme en agriculture. Certes, la situation a évolué. « Un quart des installations en agriculture sont effectuées par des femmes et les filles représentent désormais la moitié des effectifs dans l’enseignement agricole », souligne-t-elle. Mais il reste encore du chemin.

Détails des engagements.

Jeune travailleur ou étudiant : Un coup de pouce pour votre stage à l’étranger

Vous êtes étudiant dans l’enseignement agricole ou jeune travailleur, et vous souhaitez réaliser un stage à l’étranger. Vous pouvez peut-être prétendre à des aides financières.

La citoyenneté mondiale, ça vous parle ?
Vous souhaitez vous immerger dans une autre culture, ou perfectionner votre niveau dans une autre langue ?

Vous êtes jeunes et vous avez décidé de partir en stage à l’étranger. Des aides à la mobilité internationale existent : de nombreux d’organismes en proposent. Cela signifie une multiplication des chances d’en profiter. Mais entre tous ces interlocuteurs potentiels, il peut aussi être difficile de s’y retrouver. C’est pourquoi nous vous proposons un panorama des principaux dispositifs existants. Certains sont accessibles uniquement dans le cadre d’une formation, d’autres sont aussi ouvertes si vous êtes salarié ou demandeur d’emploi. Les conditions pouvant évoluer d’une année sur l’autre, il est fortement conseillé de se rapprocher du service international de votre organisme de formation ou de suivi (Pôle emploi, par exemple) qui pourra vous aider à préparer votre projet.

Détails du dispositif en vigueur.

vendredi 14 août 2015

Coopération internationale dans l’enseignement agricole « Au minimum un séjour à l’étranger »

Permettre aux étudiants de partir à l’étranger au moins une fois durant leur cursus, voici l’une des exigences du ministère de l’Agriculture. À la charge des établissements : établir des partenariats.

Pour mener à bien cette mission, quatre écoles supérieures d’ingénieurs en agriculture mutualisent leurs actions depuis trente ans au sein du réseau Fésia.

Comment fonctionne la coopération internationale dans l'enseignement agricole ?

jeudi 13 août 2015

Financer l’agriculture autrement

Florian Breton, jeune créateur d’entreprise, vient de lancer la toute première plateforme de financement participatif exclusivement dédiée à l’agriculture et à l’alimentation. MiiMOSA entend remettre « l’agriculture à la mode » auprès des citoyens, avides de donner du sens à leur engagement.

Rencontre avec Florian Breton.

Bilan professionnel de Joël Couedic, ancien salarié dans un domaine viticole « Petit à petit, une orientation s’est dessinée »

Ancien responsable de production dans une exploitation viticole, Joël Couedic est en recherche d’emploi. Soucieux de trouver un poste qui lui correspond mieux, il s’est tourné vers l’Apecita.

Grâce au partenariat Agrica/Apecita, Joël a pu bénéficier d’un bilan professionnel avec une conseillère.

En quoi consiste le Bilan professionnel ?

mercredi 12 août 2015

Fermes de Figeac Agricole, mais pas que...

Au-delà de l’agriculture, la coopérative des Fermes de Figeac cherche à valoriser les richesses du territoire du Lot. Ainsi, vente de produits locaux et production d’électricité se fréquentent au sein de la coopérative. Et la diversification ne s’arrête pas là.

Crèche parentale, conciergerie tenue par des personnes handicapées, photovoltaïque : la coopérative des Fermes de Figeac, dans le Lot, a fait le choix de s’investir dans des projets utiles au territoire. L’idée est simple pour Dominique Olivier, directeur des Fermes de Figeac : « Nous sommes mariés intimement avec le territoire, si celui-ci est vivant, l’agriculture sera
vivante ».


Comment fonctionne les fermes de Figeac ?

La production de pommes devrait augmenter de 3 %

Agreste vient de publier ses estimations de récolte pour la prochaine campagne de pommes. 

Si la production devrait augmenter de 3 % par rapport à la récolte 2014, elle resterait cependant inférieure de 4 % à la moyenne 2009/2013 en raison d’une baisse des surfaces au cours des cinq dernières campagnes. 

Au 1er juin 2015, la production française de pommes est ainsi estimée à 1,57 million de tonnes, en hausse de 3 % par rapport à la récolte de 2014 et inférieure de 4 % à la moyenne 2010-2014. Mais comme tiennent à le préciser les services d’Agreste : « L’estimation est encore provisoire à ce stade précoce, les effets des coulures et de l’éclaircissage, n’étant pas encore tous connus. »

lundi 10 août 2015

BTSA DARC : Les mots changent, les compétences restent

Comme l’ensemble des BTSA, la spécialisation Développement de l’agriculture des régions chaudes (Darc) a elle aussi été rénovée en septembre 2014. « Il s’agit surtout d’un changement de vocabulaire » pour Didier Ramay, coordinateur de la formation au Legta de Saint-Paul, à la Réunion.

Technicien de recherche, aquaculteur, chef d’exploitation aquacole, conseiller agricole… Le BTSA Développement de l’agriculture des régions chaudes (Darc) forme, en deux ans, des techniciens destinés aux métiers liés au développement agricole dans les pays tropicaux. Il est enseigné au sein des Dom-Tom. 45 à 50 étudiants sont diplômés chaque année, avec un taux de réussite de 67,1 %. La rénovation du BTSA Darc, appliquée en septembre 2014, avait pour objectif principal, selon le ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et la Forêt « de prendre en compte les évolutions récentes et les nouveaux enjeux du monde agricole : questionnement de la société face aux impacts environnementaux de la production, exigence accrue de maîtrise de sécurité sanitaire et de traçabilité alimentaire, diversification des systèmes de production, augmentation de la taille des exploitations et complexification de leur gestion, changement climatique, innovation et transfert de technologie… ».

Découvrez le BTSA DARC

dimanche 9 août 2015

Dominique Pons : Une carrière dans la coopération agricole

De technicien à responsable de région à Arterris, Dominique Pons a vu son métier considérablement évoluer depuis ses premiers pas dans la profession, 25 ans en arrière. Plus qu’un hasard, c’est l’histoire d’une vocation : travailler dans la coopération agricole.

Travailler dans la coopération agricole

François Cornuault, agriculteur, Jarzé (Maine-et-Loire) : De conseiller Cuma à producteur de pâtes bio

Après dix ans passés comme conseiller machinisme à l’Union des Cuma des Pays de la Loire, François Cornuault a rejoint il y a un an l’EARL du Point du Jour à 20 km d’Angers, pour entamer une production de pâtes bio artisanales. Installé en stage de parrainage, il peut développer l’activité, tout en étant rémunéré par Pôle emploi.

Découvrez son parcours

Nouvelle marque de baguettes artisanales : Les moulins indépendants lancent la Gustive !

Commercialisée depuis septembre dans une centaine de boulangeries, la marque de baguettes Gustive est le fruit de l’association de dix moulins régionaux.

Parmi eux, la Minoterie du Trièves située en Isère au coeur du Vercors, à 800 mètres d’altitude. Sébastien Corréard, son directeur, présente cette nouvelle marque « particulièrement innovante tant au niveau technique qu’au niveau marketing ».

Gustive Prestige, Gustive Chef ou Gustive Graines, les nouvelles baguettes créées par les meuniers indépendants régalent les consommateurs depuis le premier septembre dans les boulangeries partenaires de la marque. L’opération est d’ampleur nationale : dix moulins se sont associés dans l’entreprise Gustive. Parmi eux, la Minoterie du Trièves, située en Isère à 50 km au sud de Grenoble : « Chacun dans nos régions, nous sommes reconnus pour la qualité de nos farines. Avec la Gustive, nous souhaitions mettre en avant le savoir-faire des filières locales de blé, de farine et de pain sous une même marque et au niveau national », explique Sébastien Corréard, directeur de la Minoterie du Trièves. Cette opération collective
constitue une première pour les moulins indépendants. L’idée a été initiée par Monsieur
Doillon du Moulin des Étangs dans les Ardennes et le projet s’est concrétisé au mois
de mars 2014. De nombreuses réunions de concertation entre les différents moulins ont été
nécessaires pour travailler la marque tant au niveau technique qu’au niveau marketing.
Le collectif est primordial, comme le souligne le directeur : « La mutualisation de
nos moyens financiers nous a permis d’engager une agence de communication afin d’assurer
le succès de la marque. » 


Découvrez comment est née la Gustive

samedi 8 août 2015

Forum L’Open agrifood 2015 invite les citoyens à table

Xavier Beulin, président et Emmanuel Vasseneix, vice-président de l’Open agrifood Orléans ont présenté, le 8 juin, la seconde édition du Forum international qui se déroulera les 18 et 19 novembre 2015 à Orléans.

Pour rappel : en 2014, la première édition avait accueilli 1 700 participants sur les deux journées et près de 600 étudiants et lycéens. Réunissant l’ensemble des acteurs économiques, du champ à l’assiette, autour des enjeux de l’agriculture, de l’industrie agroalimentaire et de la distribution de demain, cette seconde édition sera axée sur la thématique d’ « Alimentation et citoyenneté ». 
Outre la plénière d’ouverture, axée sur l’autosuffisance alimentaire sur tous les continents, quatre colloques ouverts à tous seront organisés dans le cadre du forum, sur le gaspillage alimentaire, la fracture alimentaire, les enjeux de nutrition santé et la sécurité sanitaire des aliments. Cette année, l’Open agrifood Orléans organise un Carrefour citoyen à destination de tous (enfants, jeunes, adultes) afin de présenter les acteurs, les produits, les process de production et de fabrication, de la semence au produit fini, pour chaque filière de la chaîne agroalimentaire, dans un contexte ludique et éducatif. 

Mais la grande nouveauté 2015 reste le lancement, en avril dernier, du DoTank « Open agrifood Initiatives », dont le président d’honneur est Erik Orsenna, romancier qui était déjà intervenu lors de l’édition 2014. Concrètement, des groupes de travail ont été mis en place sur les thématiques suivantes : accroître l’attractivité des métiers de la chaîne agroalimentaire ; répondre aux nouvelles attentes des « consommacteurs » ; moderniser et adapter les systèmes de production, de transformation et de distribution ; et avancer avec l’agroalimentaire 3.0. À partir d’un état des lieux synthétique, ils devront chacun définir et proposer en novembre 2015 un à trois projets concrets multi-acteurs qui devront être potentiellement opérationnels en novembre 2016. 

Selon les organisateurs, « la diversité des participants est un facteur clé de réussite de ces groupes de travail, tous les échelons de la chaîne agroalimentaire sont représentés : producteurs, transformateurs, distributeurs, restaurateurs, fournisseurs et parties prenantes, représentants de la société civile et des consommateurs, experts et enseignants ».

Pour plus d’information : www.openagrifood-orleans.org

vendredi 7 août 2015

France Boissons : Les marques propres et en exclusivité à l’honneur

Le grossiste France Boissons dévoile un nouveau logo : « Sélection Vignes & Terroirs ». Les vins présents dans cette gamme sont uniquement des marques propres France Boissons ou des marques en exclusivité pour le CHR. 

Le distributeur souhaite renforcer l’offre et les ventes des vins du label rapidement.

« Le vin est un produit stratégique pour France Boissons, indique Emmanuelle Lecointe, directrice category manager de la société. Derrière la bière, il s’agit de la boisson qui “pèse” le plus lourd dans notre chiffre d’affaires : 17 % de notre CA, soit près de 150 millions d’euros. Chaque année, nous distribuons 42 millions de cols. Le vin est aussi une clé d’entrée dans les CHR. C’est notamment grâce à nos références en vins que nous pouvons conquérir de nouveaux clients. Tous les gérants ne s’y connaissent pas en vin mais tous doivent en proposer. Les équipes France Boissons leur fournissent un assortiment représentatif des vignobles français avec une diversité d’origine et de prix.Enfin, le vin permet de nous démarquer de nos concurrents grossistes 1. Nous proposons tous le même Orangina ou le même Perrier. Nos références de vins sont quant à elles pour la plupart originales. »


Découvrez France Boissons

CAP SEINE Le Big data ou le défi de la proximité

Depuis trois ans, la coopérative normande Cap Seine a mis en chantier cette réflexion : comment utiliser, collecter et mutualiser les données pour personnaliser et contextualiser le service ? Avec un leitmotiv pour le directeur du groupe, Patrick Aps, « garder et renforcer la proximité avec nos adhérents ». Chantier de taille, mais qui pourrait bien faire de Cap Seine une coopérative 3.0.

Pour en savoir plus sur Cap Seine

jeudi 6 août 2015

Les premiers chiffres de 2015 sont prometteurs

Alors que le Printemps Bio se sont déroulé dans toute la France début juin, la filière bio se porte bien et continue de progresser.

En 2014, le marché bio a ainsi augmenté de + 10 % par rapport à 2013, pour atteindre 5 milliards d’euros. Près de 9 français sur 10 ont consommé bio, dont 6 sur 10 au moins une fois par mois. En 2014, les achats de produits bio en restauration collective ont augmenté de + 11 % par rapport à 2013, pour atteindre 191 millions d’euros HT.

Pour répondre à cette croissance généralisée de la demande, la filière continue de se développer en France. La barre des 1,1 million d’hectares de terres bio a été franchie en 2014, soit + 4 % qu’en 2013.

Les premiers chiffres 2015 mettent en évidence un  renforcement du mouvement : plus de 1 650 producteurs se sont nouvellement engagés en bio entre le 1er janvier et le 17 mai, soit une augmentation de + 16 % par rapport à la même période en 2014. « Cet important dynamisme de la Bio a une influence directe sur les territoires français : désormais, le secteur représente environ 100 000 emplois en équivalent temps plein répartis dans les différentes régions de France, précise l’Agence Bio. Les fermes bio génèrent plus de 66 000 emplois dans les zones rurales . »

LES INDAYS D’INVIVO NSA : Comité de direction recherche nouveaux talents

Avec son nouveau plan stratégique « 2025 by InVivo », le groupe coopératif se fixe de grandes ambitions pour l’avenir. InVivo NSA, sa filiale spécialisée dans l’alimentation et la santé animales, suit la tendance et recherche des profils de « Talents et hauts potentiels » pour ses futurs projets.

Découvrez les Indays d'Invivo

mercredi 5 août 2015

Aquimer : Interface entre le projet et sa réalisation

Aquimer accompagne les entreprises du secteur des produits aquatiques en matière de recherche et développement. Ce pôle de compétitivité labellise les projets. De la pêche à l’aquaculture, en passant par la transformation agroalimentaire du produit, c’est toute la filière qui bénéficie de cette recherche.

En 2014, Aquimer, pôle de compétitivité spécialisé dans la valorisation des produits aquatiques, a labellisé dix projets. Soit un total de 112 labellisés depuis 2006 à hauteur de 222 millions d’euros. Différentes thématiques sont concernées : la valorisation de la ressource pêchée, l’aquaculture, les produits agroalimentaires, la sécurité sanitaire… Par exemple, le projet Pepseanov a l’ambition d’augmenter la valeur ajoutée des co-produits obtenus lors du filetage. « Auparavant, ils étaient valorisés en farines de poissons, explique Angeline Pignon, directrice adjointe d’Aquimer. De nouvelles pistes sont étudiées à destination par exemple de la cosmétique voire de l’industrie pharmaceutique. »

Pour en savoir plus sur Aquimer...