jeudi 28 février 2013

Filière végétale : Une ferme grandeur nature

Pour la 16e année consécutive, les acteurs des filières végétales se rassemblent autour du concept de l’Odyssée végétale

L’objectif est de proposer à un large public une présentation originale, ludique et éducative sur la diversité des débouchés alimentaires et industriels issus des filières végétales, ainsi que les hommes qui s’y investissent. 

Après le concept 3D en 2012, c’est une ferme grandeur nature qui sera proposée aux visiteurs du Salon, afin qu’ils découvrent le quotidien d’une exploitation agricole française.

L'odyssée végétale au Sia 2013

La ferme célébrité

Cette année, les traditions changent : ce n’est plus une vache à l’honneur mais bel et bien, 7 animaux de la ferme : un âne de Provence, une chèvre de race alpine, un bélier de race mérinos, une jument percheronne, une cochette de race cul noir Limousin, une chienne berger de Beauce et nous retrouverons évidemment une vache de race normande. 

À vous de jouer pour les reconnaître...

mercredi 27 février 2013

Les métiers du machinisme Ici on recrute

L’agro-équipement ne connaît pas la crise. Le plein-emploi est presque de mise. Mécanicien est loin d’être le seul métier de la filière. Les nouvelles technologies et les attentes des agriculteurs boostent la R&D.

Le secteur des agroéquipements propose plus de 200 métiers allant du conseiller machinisme au technicien de maintenance en passant par celui de conducteur de matériel agricole

La profession des agro-équipements en France représente près de 2 000 entreprises qui emploient environ 42 000 personnes et offrent 5 000 postes à pourvoir. Ce secteur qui concerne principalement les tracteurs, les machines et la pulvérisation peine à recruter car il reste encore très méconnu et n’attire que peu de jeunes.

Le machinisme recrute

En exploitation… ou en exploitations, des emplois à temps partiel ou à temps plein

Certains éleveurs choisissent de déléguer en prestation de services une partie des opérations liées aux cultures ou à la distribution de la nourriture aux animaux. Six exploitations laitières de Bourgogne ont par exemple choisi d’investir en commun dans une désileuse automotrice, et de se décharger de la tâche de la distribution des rations de leurs troupeaux respectifs. Celle-ci est effectuée par un salarié d’un groupement auquel adhèrent les élevages. La distribution est effectuée de 6 à 9 h tous les jours. Il s’agit d’un emploi à temps partiel, la personne a généralement un autre emploi à côté. 

C’est un emploi qui demande de l’autonomie et de la « plasticité » chaque éleveur ayant un système d’élevage et une façon de travailler différente à laquelle il faut s’adapter. Le salarié du groupement d’employeur est chargé de la conduite et de l’entretien de la désileuse automotrice. 

« Concrètement, je me rends successivement dans les six exploitations », explique-t-il. « Les données concernant les quantités de foin, d’ensilage, et de farine de la ration par vache de chaque élevage ont été entrées au préalable par les éleveurs. Ce qui change, c’est le nombre de vaches à nourrir, en fonction des vaches taries par exemple. Le plus souvent, ce chiffre est indiqué sur un tableau, ou l’éleveur me le précise. Avec la console informatique, c’est très facile à modifier. Selon leurs besoins, je peux intégrer des changements de composition de la ration. »

mardi 26 février 2013

Le machinisme ne connaît pas la crise

La conjoncture économique, notamment les cours des matières premières, booste le marché français du machinisme agricole, notamment le segment spécifique des tracteurs, mais pas uniquement. 

À l’échelle européenne, c’est le marché hexagonal qui reste le plus dynamique, aussi les perspectives d’emploi et de recrutement sont, elles aussi, très bonnes.

Le machinisme, un secteur porteur d'emplois

Le métier d’inséminateur

Agent chargé de l’insémination artificielle et du suivi des animaux, l’inséminateur est employé par les centres d’insémination privés ou publics.

Il est chargé de réaliser les inséminations artificielles pour les espèces bovines, mais aussi porcines, ovines et caprines… 
En élevage bovin, la pratique est quasi généralisée en élevage laitier, en élevage allaitant, l’insémination artificielle est nettement moins fréquente, mais elle est en progression. Un inséminateur est amené à conseiller les éleveurs pour les accouplements, et pour la surveillance des périodes de fécondité. 
Il assure des interventions matérielles spécifiques sur les lieux de production (insémination artificielle, contrôle de performances, prélèvements d’échantillons…). 
Il conseille les agriculteurs et leur fournit un appui technique. Il fait également le lien entre les producteurs et les organismes professionnels (suivi de la production).

L’emploi s’exerce en collaboration avec les producteurs et principalement sur les lieux mêmes de la production. L’autonomie dans le travail est importante mais nécessite cependant de respecter la périodicité de certaines opérations. Les déplacements fréquents sont effectués dans une zone géographique rurale parfois étendue.

Ce métier est accessible, selon les spécialités, à partir de formations de niveaux V (Bepa), IV (bac pro, bac STAV) ou III (BTSA). Le recrutement est généralement suivi d’un cycle de formation de plusieurs semaines.

lundi 25 février 2013

Innovations SIMA And the winner is

Pour cette 75e édition du Sima, de nombreuses innovations sont attendues, pour le plus grand plaisir des visiteurs. 

Le Sima est le rendez-vous de l’innovation dans l’agro-équipement et justifie à ce titre d’une reconnaissance de l’ensemble de l’institution agricole. 

À cet effet, des Innovations Awards seront remis par un jury de professionnels afin de récompenser les innovations les plus prometteuses.

Les innovations Awards en détail

Sima Innovation Awards L’or et l’argent pour John Deere

Une médaille d’or et une médaille d’argent ont été décernées à John Deere dans le cadre des Sima Innovation Awards 2013. Cette double distinction montre que l’innovation, l’une des quatre valeurs essentielles du constructeur, est une réalité très concrète. Interview de Sébastien Vallas directeur Marketing.

Que vont rapporter ces médailles à John Deere ?

Productions animales : Une diversité de métiers

Veaux, vaches, cochons, couvées… Les productions animales sont un secteur de poids en France. Le cheptel hexagonal en bovin lait est un des plus importants d’Europe et compte près de 3,6 millions de vaches laitières, réparties sur plus de 80 000 exploitations. En y ajoutant le troupeau allaitant, consacré à la viande, le cheptel bovin dépasse les 5 millions de têtes. 

Les autres filières animales n’ont rien à envier au secteur bovin : côté volailles, la filière avicole compte un million de têtes, la filière porcine 25 millions de têtes, et les cheptels caprins et ovins réunis frôlent les 8 millions d’animaux. 

L’entretien (bâtiments, alimentation, soins…), la gestion et la commercialisation de ces animaux génèrent un nombre d’emplois conséquents sur le territoire.

Les productions animales offrent une grande diversité de métiers liés à l’élevage des animaux, mais pas uniquement. Le secteur ne se limite pas aux producteurs et aux personnes qui travaillent au quotidien sur les exploitations (chefs d’exploitations, responsable d’atelier, salarié agricole, vacher, chevrier, technicien élevage porcin…), beaucoup d’autres métiers gravitent autour : des métiers liés au conseil auprès des éleveurs notamment, aux soins des animaux (vétérinaires, pareurs…) mais aussi des métiers en lien avec la fourniture de matériels nécessaires à l’activité des élevages (machinisme, fabricants d’aliments…).

En effet, l’étude des postes en productions animales traités par l’Apecita en 2011 montre que les postes directement liés à l’activité de production ne représentent que 21 %.
L’essentiel des postes (43 %) porte sur le conseil auprès des éleveurs. L’aspect commercialisation concerne 20 % des offres du secteur, et les postes en recherche et expérimentation, 19 %.
De l’agrofourniture au conseil auprès des éleveurs Le domaine de l’agrofourniture est particulièrement large : machinisme (robot de traite, mélangeuse et distributeurs d’eau, d’aliments…), fabricants d’aliments, sociétés de logiciels pour la gestion des troupeaux… 
Ces secteurs, outre des postes de technico-commerciaux, en charge de la vente, comportent également des postes en recherche et développement, pour la conception des matériels, des logiciels, l’élaboration des aliments (nutritionniste)… 

À noter que comme d’autres branches agricoles, le secteur des productions animales implique de plus en plus d’innovations et d’utilisation de nouvelles technologies dans l’exercice des métiers : cela signifie à la fois des gains de performances pour les élevages mais aussi une amélioration des conditions de travail. Comme par exemple, les robots de traite ou le développement des logiciels de gestion des troupeaux. L’autre grande famille de métiers gravitant autour des élevages est liée aux activités de conseil. 

Ce sont également des métiers techniques (généralement de niveau bac + 2 minimum), puisqu’il s’agit d’apporter aux éleveurs un conseil et de les accompagner dans leurs projets. Différents domaines sont possibles : technicien en contrôle laitier, inséminateur, conseiller en bâtiment d’élevage, conseiller de gestion, conseiller en environnement/maîtrise de l’énergie. À la dimension technique, ces métiers ajoutent également fréquemment une dimension économique.

dimanche 24 février 2013

SIMA 2013 Le rendez-vous des innovations

Rendez-vous incontournable pour tous les professionnels et amateurs de machinisme agricole, le Sima s’installera au parc des expositions de Paris-Nord Villepinte du 24 au 28 février 2013.

Cette année le Salon s’annonce de grande qualité dans un contexte économique particulièrement favorable au marché de l’agroéquipement.

Le Sima en détail

Contrôleur laitier « Être à l’écoute pour bien conseiller»

"Le métier a évolué », estime Marc. « Il s’agit toujours de valider les mesures du contrôle de performances réalisées chez les éleveurs adhérents, mais pas uniquement. Notre mission s’oriente de plus en plus vers le conseil, l’accompagnement des exploitants : ce conseil technico économique porte aussi bien sur l’alimentation des animaux, que sur la qualité du lait, la génétique du troupeau, ou les aspects environnement. 

Le travail nécessite des connaissances techniques mais il faut aussi être doté d’un bon relationnel et savoir être à l’écoute. C’est un métier de contact, en lien avec les éleveurs, mais aussi les agents de pesée du secteur que l’on couvre, et avec les collègues. Bref, un travail d’équipe. ».

Outre une bonne connaissance de l’élevage laitier, il nécessite d’être à l’aise avec les outils informatiques. Côté formation, Marc est ingénieur, « mais ce type de poste est accessible avec un niveau BTS Productions animales », précise-t-il.

samedi 23 février 2013

Retrouvez l’Apecita sur l’espace Emploi- Formation

Pour guider au mieux le visiteur, qu’il souhaite chercher une formation dans l’agriculture (un secteur qui recrute !), qu’il souhaite se renseigner sur les différents métiers ou qu’il cherche à se réorienter professionnellement, un espace « emploi et formation » lui est spécialement dédié dans le pavillon 4.

Dans ce même pavillon 4, les visiteurs pourront découvrir l’un des stands événements de ce 50e SIA : la ferme pédagogique. Construite en partenariat avec le SNVEL (Syndicat national des vétérinaires d’exercice libéral), elle offrira, grandeur nature, une vision réaliste et didactique de la vie d’une exploitation agricole. Elle accueillera des animaux de rente et des animaux de travail (vache, veau, cheval de trait, poney, âne, porcs, moutons, chiens…), passera en revue leurs activités et montrera les soins qu’il convient de leur apporter.

Il pourra découvrir l’étendue de l’offre de formation notamment initiale, de la 4e à l’école d’ingénieur, auprès de l’Aprefa (représentant l’enseignement agricole public), du Cneap (Conseil national de l’enseignement privé), de l’Unrep (Union nationale rurale d’éducation et de promotion) ou encore de l’UNMFREO (Maisons familiales rurales). Pour tout savoir sur la formation tout au long de la vie et le droit du travail, le Fafsea, Vivéa et le syndicat CFE-CGC Agro répondront aux questions non seulement des salariés du secteur mais aussi des chefs d’entreprises ou de toute personne engagée dans une démarche d’installation

Une visite sur cet espace est également le moment idéal pour rencontrer les spécialistes de l’emploi : l’Anefa et l’Apecita (hall 4 allée A stand 47) qui lanceront, à cette occasion, leur Guide des Métiers, un recueil de 90 fiches métiers pour tout connaître sur les différents secteurs d’activité. Leurs conseillers vous donnent rendez-vous au « Café Job », un espace convivial où le visiteur pourra trouver tous les renseignements l’emploi, les métiers, le marché de l’emploi, tout cela dans l’ambiance détendue d’un comptoir de café ! Il pourra également y trouver des offres d’emploi sur les deux bornes de consultation mises à disposition.


L’Apecita interviendra également, toujours en partenariat avec l’Anefa, au Journal de l’emploi tous les jours de 14 h 15 à 14 h 30 sur le Plateau de l’info

L’incontournable Concours général agricole

Si le Salon international de l’agriculture souffle cette année ses 50 bougies, le Concours général agricole (CGA) qui s’y déroule chaque année, a une histoire plus ancienne : il a en effet réellement vu le jour en 1870, après avoir été initié en 1843 avec le concours de Poissy, consacré aux animaux de boucherie. La principale ambition du CGA est de sélectionner et primer les meilleurs produits du terroir français et animaux reproducteurs, et d’être ainsi la vitrine de l’exceptionnelle biodiversité de la génétique et de la gastronomie françaises.

Si le grand public connaît surtout le concours des animaux ainsi que le concours des produits et des vins (notamment grâce aux célèbres médailles d’or, d’argent et de bronze), il ignore plus souvent que le CGA a également pour vocation la promotion de l’enseignement agricole. Il organise dans ce but deux événements spécialement dédiés aux jeunes : le concours du jugement des animaux par les jeunes et le concours européen des jeunes professionnels du vin, deux concours ouverts aux élèves de l’enseignement agricole, hôtelier ou commercial, ainsi qu’aux jeunes professionnels, agriculteurs récemment installés ou jeunes producteurs de vins.

Par ailleurs, le Trophée national des lycées agricoles récompense les meilleurs établissements à l’issue de cinq épreuves : présentation du lycée, clippage et présentation d’un animal, réalisation d’un blog, communication, implication des élèves sur le Salon.

Source : www.concours-agricole.com

Le Salon de l'Agriculture ouvre ses portes à Paris Porte de Versailles... du 23 février au 3 mars 2013

Pour son cinquantième anniversaire, le Salon international de l’agriculture délaisse le pavillon 1 du parc des expositions de la Porte de Versailles pour se déployer sur l’ensemble des autres pavillons. Rendez-vous du 23 février au dimanche 3 mars pour découvrir la plus belle offre de savoir-faire et de talents des filières de l’agriculture.

Une nouvelle jeunesse pour ses 50 ans

L’Apecita lance son application mobile


Être au plus prêt des candidats et ce jusque sur leur smartphone : c’est ce qu’a souhaité l’Apecita en développant son application mobile. Disponible sur Androïd et sur Iphone, ce nouvel outil, développé par la société X-Media, vise à faciliter la recherche d’un emploi.

En quelques clics, le candidat pourra tout d’abord s’inscrire à l’Apecita et créer son profil. Il pourra non seulement trouver des offres d’emploi selon ses critères (fonctions, secteurs, lieux…) mais également enregistrer trois recherches. Sans oublier qu’il pourra partager les offres d’emploi sur ses réseaux sociaux (Facebook ou Twitter), par SMS ou encore par mail.

Enfin, comme la recherche d’emploi n’attend pas, cette application permettra au candidat de recevoir des alertes push dès qu’une offre d’emploi correspond à ses critères. Avec l’application Apecita, c’est, pour le candidat, l’assurance d’une recherche d’emploi 100 % connectée sans risque de passer à côté de l’annonce espérée !

Pour rappel, l’Apecita (Association pour l’emploi des cadres, ingénieurs et techniciens de l’agriculture et de l’agroalimentaire), c’est chaque année 13 000 offres d’emplois enregistrées et 14 200 candidats inscrits.

vendredi 22 février 2013

Pépinières Minier, Maine-et-Loire 175 ans de plantes ornementales

Basées au coeur de l’Anjou, les pépinières Minier ont un savoir faire historique dans le milieu du végétal. 

Avec une collection de 4 000 plants ornementaux, l’entreprise destine sa production aux pépiniéristes et jardineries, de France et d’ailleurs. Dernière stratégie en date pour Minier : arborer le Made in France.

Les pépinières Minier en détail

Semences : Une nouvelle stratégie pour Agri Obtentions

À l’occasion de son trentième anniversaire, Agri Obtentions développe une identité visuelle plus moderne et dynamique et souhaite affirmer son positionnement comme semencier de l’agriculture durable.

Créée en 1983 comme filiale de l’Inra, Agri Obtentions a aujourd’hui le statut de société anonyme, dont l’actionnaire unique est l’Inra.
Ce changement de statut positionne Agri Obtentions comme un obtenteur privé. À l’occasion du trentième anniversaire de la structure, Agri Obtentions développe une nouvelle identité visuelle et souhaite affirmer son positionnement comme semencier de l’agriculture durable.

La nouvelle identité visuelle est dévoilée via un nouveau logo et un nouveau site Internet.

Agri Obtention en détail

L’organisation, antidote du stress

Le stress semble être la première cause de risque psychosocial dans les exploitations agricoles.

Ce sujet, devenu un des axes prioritaires de la MSA sur le plan national, est déjà travaillé par la MSA de Midi-Pyrénées Nord depuis 2006.
Une des premières clés pour le combattre est de bien définir ses objectifs professionnels de façon à s’organiser.

Quelles sont les mesures mises en place par la MSA ?

mardi 19 février 2013

Emploi & Formation : Le carrefour des formations, nouveauté 2013

Nouveauté de cette édition 2013, la mise en place du carrefour des formations, situé dans le hall Grand Palais. 
Organisé en partenariat avec Angers Loire Valley, le carrefour des formations rassemble en un seul lieu les écoles d’horticulture, les centres de formation, l’Apecita, la MSA…

Cet espace vise à mieux valoriser les acteurs de la formation. Ces organismes spécialisés seront là pour répondre aux demandes des étudiants. Un seul emplacement pour avoir toutes les réponses et gagner du temps !
L’Apecita y effectuera ses rendez-vous, Angers Loire Valley présentera ses actions, les écoles, leurs formations respectives. Le carrefour des formations accueillera également la bourse à l’emploi, qui fête ses 20 ans cette année. Sur le stand, des étudiants accueillent les personnes souhaitant déposer ou consulter des annonces. 
Un espace « Contact professionnel » permet aux entreprises et candidats d’échanger directement sur le Salon. 
À noter que depuis le mois de décembre et jusqu’au mois de juin, les employeurs et les candidats peuvent déposer leurs annonces auprès de la Bourse à l’emploi sur le site Internet : www.boursealemploi.org. La Bourse à l’emploi est un service mis en place par le lycée agricole et horticole de Luçon-Pétré, en partenariat avec le Salon du végétal et le lien Horticole.

L’Apecita au Salon du végétal du 19 au 21 février 2013 à Angers

L’Apecita organise un job dating le 22 février dans le cadre du Salon du végétal. Initié en 2011, cette formule est poursuivie pour la troisième année.
Venez à la rencontre des entreprises qui recrutent : inscription auprès de la délégation régionale Apecita Pays de la Loire, par téléphone ou par email (angers@apecita.com). Une dizaine d’entreprises exposantes se sont déjà inscrites pour cette opération.

Le principe du job dating est de permettre une rencontre express (15 minutes environ) entre un recruteur et une personne recherchant un emploi ou une évolution de carrière. Il s’agit d’un premier contact pour un poste à pourvoir rapidement. Ce sont des rencontres informelles, il ne s’agit pas d’entretiens de recrutement : lors de ce premier contact, le candidat défend son CV, l’employeur présente son entreprise.
L’avantage pour les entreprises : rencontrer un maximum de candidats dans un minimum de temps. Pour les candidats à la recherche d’un emploi, c’est la même chose… et un entraînement intensif pour mettre en pratique la conduite d’un entretien !

Retrouvez l'Apecita sur son stand Grand Palais Allée H Stand 201

Innovations et tendances : « Osons le végétal ! »

Osons le végétal ! Le thème 2013 du Salon du végétal appelle à la mobilisation.
« L’idée est de mobiliser tout le monde pour remettre le végétal au coeur de nos vies », explique le commissaire Serge Tsvétoukhine.

Véritable vitrine pour la filière horticole française, le Salon du végétal ouvrira ses portes du 19 au 21 février à Angers. Des innovations, du design, des conférences prospectives, des pôles thématiques, un espace formation et emploi… le végétal tient son Salon.

Le Salon du végétal 2013 

http://www.salonduvegetal.com

lundi 18 février 2013

cs, cqp, mc, sil : Acquérir de nouvelles compétences

La formation qualifiante permet l’acquisition de compétences ou d’aptitudes spécifiques liées au milieu professionnel.
Comme son nom l’indique elle n’implique pas nécessairement l’obtention d’un diplôme. 

N'importe quelle formation est par essence qualifiante, puisqu’elle vise l’acquisition de compétences ou d’aptitude supplémentaires.

On distingue toutefois, la formation diplomate de la formation qualifiante. Tandis que la première se mesure par l’obtention d’un diplôme, la seconde balise l’acquisition de nouvelles compétences sans nécessairement l’obtention d’un diplôme.

Comment acquérir de nouvelles compétences ?

dimanche 17 février 2013

Stratégies et techniques de recherche d’emploi : Un MIL dédié à la recherche d’emploi

L’Apecita Languedoc-Roussillon propose aux établissements des interventions sur les techniques de recherche d’emploi.

Pour les BTSA Gemeau du lycée agricole de Nîmes-Rodilhan, cette intervention s’insère depuis plusieurs années dans un module d’initiative locale dont la finalité est un entretien de recrutement en conditions réelles.

Chaque année, l’Apecita Languedoc-Roussillon intervient dans une quarantaine de classes de la région, du niveau bac pro au master 2, pour aborder la problématique de la recherche d’emploi.

Ces interventions nommées STRE (stratégies et techniques de recherche d’emploi) se font dans le cadre d'une convention avec le service régional de la formation et du développement (SRFD) ou de conventions directes avec les établissements.

En quoi consiste les STRE ?

samedi 16 février 2013

Stratégie Pink Lady® Le packaging : outil de séduction au service du plaisir

Le packaging ne se résume pas à un emballage. Il permet également d’attirer l’attention de l’acheteur dans les rayons, de communiquer un message, de déclencher l’achat, de séduire après l’achat ou encore de faciliter l’usage.

Zoom sur la stratégie packaging de Pink Lady qui a décidé de mettre en avant la notion de plaisir grâce un packaging moderne, dynamique mais surtout reconnaissable, mêlant le rose et le célèbre sticker en forme de coeur.

Comment séduire avec son packaging ?

vendredi 15 février 2013

Exit le TC, bienvenue au conseiller d’entreprise

Face aux exigences de plus en plus importantes des agriculteurs, le technicien se doit de devenir un véritable conseiller d’entreprise en leur apportant une aide à la réflexion sur une approche globale de leur exploitation.

Le technico-commercial (TC) doit aujourd’hui modifier sa relation traditionnelle « vendeur-produit-prix » en une nouvelle relation « conseiller-entreprise ».

Comment peut-il réussir ce nouveau challenge ?
Le conseiller d'entreprise en détail

jeudi 14 février 2013

Coopératives agricoles : Faire connaître les métiers

Les coopératives agricoles rencontrent parfois des difficultés pour recruter. Les filières de formation dédiées ne semblent plus pouvoir fournir les besoins.

Face à cette situation, Coop de France cherche à sensibiliser un public plus large aux métiers des filières agricoles. En région Centre, le contact a été établi avec Défense Mobilité.

Les enquêtes le montrent : les coopératives sont majoritairement confrontées à des difficultés pour recruter.
Les métiers qu’elles proposent sont souvent méconnus du grand public et donc des jeunes, mais aussi des personnes en recherche d’emploi.

Les métiers des coopératives agricoles

mercredi 13 février 2013

Germain Eudier, Local’Attitude : De responsable production à commerçant ambulant

À 40 ans, après avoir gravi les échelons chez Ferrero France, Germain Eudier, a laissé sa casquette de responsable production pour prendre celle de commerçant ambulant.

Désormais, il consacre son activité à commercialiser produits locaux et fromages français. Revenons sur cette prise de risques réussie.

Quel est son parcours ?

lundi 11 février 2013

Un salon pour les métiers de l'Ecologie

logo smpe 2013
Du 14 au 16 février 2013, dans les locaux de l'Université Montpellier II, se tient la 5ème édition du Salon des Métiers et des Professionnels de l'Ecologie.
Cette année, la thématique du salon est la Valorisation de la Biodiversité. Le terme "valorisation", à comprendre au sens large, revêt une triple dimension : sociale, économique et environnementale et soulève donc de nombreux débats.
 
Ainsi, durant le salon, il est possible de se sensibiliser sur diverses problématiques : la nature a-t-elle un prix ? Comment peut-on allier l’exploitation des ressources et protection de l’environnement ? Quels rôles la biodiversité peut-elle jouer dans le développement local ?

Les deux premières journées du salon sont des journées plus particulièrement scientifiques et techniques. Plusieurs thèmes sont abordés sous forme de conférences d'une vingtaine de minutes chacune ; des tables-rondes ou débats ouverts aux remarques et questions du public clôturent les différentes thématiques de la journée.

La journée du samedi est dédiée aux lycéens et étudiants. Couplée avec la journée porte-ouverte de la faculté des sciences, elle est l'occasion de s'informer sur les formations, les métiers, les débouchés auprès de nombreux professionnels. L'Apecita est présente sur son stand le samedi matin uniquement.

Pour consulter le programme détaillé du salon : http://www.salon-smpe.com/2013/

jeudi 7 février 2013

DEES : Un Bac + 3 « option Europe »

Connaissez-vous le diplôme européen d’études supérieures ? Ce diplôme de niveau Bac + 3 concerne de nombreux domaines : marketing, hôtellerie, environnement… Avec un petit plus : il propose une large ouverture sur l’Europe.

Acquérir une culture européenne tout en développant des capacités techniques professionnelles : c’est l’objectif du DEES (diplôme européen d’études supérieures).

Ce diplôme, ou plutôt, ces diplômes, sont proposés en France et en Europe, dans un réseau d’écoles affiliées à la Fede (Fédération européennedes écoles), une ONG européenne.

Le DEES est un diplôme de niveau Bac +3, qui se prépare en un an. Il est accessible après avoir validé 120 crédits ECTS.

Le DESS en détail

mercredi 6 février 2013

Pommes de terre bio : Desmazières s’engage pour structurer la filière

Desmazières, acteur en plants et semences de pommes de terre, s’engage au niveau du Nord - Pas-de-Calais pour structurer la filière bio.

Présent sur le marché du bio depuis vingt ans, Desmazières est passé à une autre étape en intégrant le club bio de la région. Elle signe à cette occasion la charte d’engagement bio en partenariat avec le conseil régional du Nord - Pas-de-Calais.

« Desmazières a rejoint le club bio car l’entreprise peut apporter son expérience et sa vision du marché bio », confie Gilles Fontaine, directeur de Desmazières.

Desmazières en détail

mardi 5 février 2013

Toutes les clés pour choisir sa formation

L’Apecita réédite son Guidagri, destiné à tous ceux qui souhaitent se former tout au long de leur vie.

De la troisième au doctorat, Guidagri fait un tour d’horizon des formations diplômantes et qualifiantes, sans oublier les dispositifs existants en entreprise (bilan de compétences, VAE, CIF, etc.) et l’enseignement à distance.

Un chapitre est également dédié au financement de la formation.

Le Guidagri, un outil indispensable pour sa recherche de formation

lundi 4 février 2013

Les BTSA poursuivent leur rénovation

Depuis la rentrée 2012, les BTSA se sont enrichis de trois nouvelles options rénovées, gestion forestière, génie des équipements agricoles et développement, animation des territoires ruraux (ex-services en espace rural).

Ils s’inscrivent dans une réforme voulue par l’enseignement agricole, engagée en 2009 et qui se poursuivra jusqu’en 2014. Cette réforme vise à développer l’approche compétences

Petit tour d’horizon avec Françoise d’Épenoux, chef du bureau des formations de l’enseignement supérieur à la DGER (Direction générale de l’enseignement et de la recherche).

La réforme des BTSA en détail

dimanche 3 février 2013

Recrutement pour les écoles d’ingénieur agronome : La prépa intégrée se développe(ra)

Chaque année en septembre plus de 1 000 étudiants s’assoient pour la première fois sur les bancs d’une école d’agronomie. Paradoxalement, peu d’entre eux sont issus d’un lycée technique agricole. Dans le but de modifier cet état de fait, un lycée s’est associé à trois écoles d’agro pour créer un cycle préparatoire d’intégration réservé aux titulaires d’un Bac S EAT.

Vous êtes en terminale S option écologie, agronomie et territoire (EAT) ? Vous rêvez de devenir ingénieur agronome ? Vous souhaitez poursuivre vos études dans l’enseignement supérieur sans passer par une classe préparatoire classique ?

Le lycée Frédéric Bazille Agropolis à Montpellier est fait pour vous ! Une classe préparatoire intégrée post-Bac donne la possibilité à 24 élèves de lycées agricoles de rejoindre trois écoles agronomiques : Bordeaux Sciences Agro, Montpellier SupAgro et l’école  d’agronomie de VetAgro Sup Clermont-Ferrand.

La classe prépa

samedi 2 février 2013

BTSA viticulture-oenologie Le Lycée de Blanquefort expérimente le système LMD

Les étudiants de BTSA viticulture-oenologie du lycée agro-viticole de Bordeaux-Blanquefort participent cette année à l’expérimentation sur l’intégration des BTS au système LMD. Une évolution destinée à faciliter la poursuite des études à un niveau supérieur et à favoriser la mobilité.

Le lycée agro-viticole de Bordeaux Blanquefort fait partie des quatre établissements français choisis pour tester le système d’intégration des BTS au système LMD (licence-master-doctorat), dans la filière viticulture-oenologie.
Cette expérimentation, qui durera trois ans, concerne au total 17 établissements français « pilotes ».

Le BTS viticulture-oenologie en détail

vendredi 1 février 2013

S’initier à l’agricole après la 5e

Plus qu’une formation agricole, les classes de quatrième et de troisième de l’enseignement agricole aident à réinsérer scolairement des élèves en difficulté dans le cursus classique.

D’autant plus que les perspectives de poursuites d’études ne sont pas bouchées.

Six heures par semaine, les élèves de quatrième et troisième de l’enseignement agricole s’adonnent à des activités en extérieur touchant à l’aménagement, aux animaux et aux plantes.

Quelles formations sont accessibles dès la 5ème ?