jeudi 31 juillet 2014

Adèle Marsault, conseillère bovins lait à la Chambre d’agriculture de la Vienne : Prime à l’apprentissage

Des équidés aux vaches laitières, la trajectoire de formation d’Adèle Marsault a connu une bifurcation, fruit du pragmatisme.

Elle a d’abord rêvé d’ouvrir son poney club. « L’amour des chevaux , c’est un grand classique lorsque l’on est petite fille », avoue Adèle Marsault. Une passion qui va guider les premiers choix de formation de la jeune femme. Elle opte pour un CAP, puis pour un bac pro centrés sur le soin, l’élevage et la valorisation de son animal fétiche.

« À la fin du bac pro, j’ai pensé qu’il serait tout de même plus prudent de s’inscrire en BTS ACSE : d’une part, cela m’apporterait des bases pour la gestion d’un poney club, et surtout cela me permettrait d’envisager autre chose, au cas où mon projet ne pourrait pas se concrétiser », relate Adèle Marsault. Intuition décisive.

Découvrez le parcours d'Adèle Marsault

Test de personnalité : Mieux se connaître pour s’orienter !

Si la notion de personnalité est complexe et ne fait pas consensus au sein de la communauté scientifique, elle influence directement nos exigences professionnelles.
Elle induit des compétences comportementales qui doivent être mises au service de nos missions. Sinon, le risque d’échec nous guette. Il est donc important de se connaître pour définir son projet professionnel.

Comment utiliser les tests de personnalité ?

mercredi 30 juillet 2014

Tout savoir sur… Le congé parental d’éducation

Suite à la naissance ou à l’adoption d’un enfant de moins de 16 ans et sous certaines conditions, tout salarié peut bénéficier d’un congé parental d’éducation et ainsi interrompre ou réduire son activité professionnelle pour élever cet enfant.

Zoom sur les modalités et les conditions à remplir.

Grandes cultures Nord - Pas-de-Calais : L’Unep et la Draaf coopèrent sur les métiers du paysage

Dix-huit établissements du Nord - Pas-de-Calais proposent des formations dans le secteur de l’aménagement paysager. « Plus de 1 600 élèves, étudiants et apprentis suivent un cursus dans ce domaine, précise Sabine Hofferer. Cela représente plus de 18 % des effectifs scolaires, alors qu’au niveau national ce chiffre est de 12 %. »

En ce qui concerne les métiers du paysage, 940 entreprises sont présentes dans cette région avec 4 350 actifs, dont 3 550 salariés. Leur chiffre d’affaires est de 270 millions d’euros. Et pourtant, ces professionnels rencontrent des difficultés lors du recrutement. 

L’enjeu est donc de favoriser la réussite scolaire et l’insertion professionnelle des jeunes, tout en assurant le développement économique et social du territoire régional. C’est pourquoi l’Unep, Union des entrepreneurs du paysage de Nord-Picardie et la Draaf Nord - Pas-de-Calais vont travailler dans ce sens. Ils l’ont formalisé dans une convention de coopération. Celle-ci a été signée le 14 juin, lors de Terres en fête, Salon régional agricole. 

Les objectifs de cette convention sont multiples :
• rapprocher les acteurs de la formation et les professionnels du paysage ;
• faire évoluer les formations ;
• communiquer sur les métiers du paysage ;
• organiser des manifestations régionales comme les Olympiades des métiers ou le concours de reconnaissance des végétaux ;
• accueillir les apprenants.

Une charte de qualité de l’apprentissage sera mise en place. Car « prendre un apprenti est un acte important », a rappelé Pierre-Henri Pennequin.

mardi 29 juillet 2014

L’Apecita a 60 ans : Plus de 5 millions d’offres traitées

L’Apecita vient de fêter ses 60 ans, l’occasion de revenir sur la création de l’organisme, et de voir comment il a évolué au fil des décennies.

Mais également de découvrir quelle perception peuvent en avoir ceux qui travaillent avec lui, qu’il s’agisse des recruteurs ou des candidats.

En savoir sur l'Apecita

Découvrez le film de l'Apecita

Un taux de réussite stable en 2014

Parmi les 87 640 candidats qui se sont présentés à la session 2014 des examens de l’enseignement agricole, 73 809 ont été admis. Le taux de réussite général des candidats reste ainsi stable par rapport à la session 2013 et s’établit à 84,2 %.

« Compte tenu de l’accroissement du nombre de candidats, 10 000 diplômes supplémentaires ont été délivrés par rapport à l’année 2013, notamment dans les filières de Infos filières baccalauréat professionnel et de BTSA », précise le ministère de l’Agriculture. Le taux de réussite est en progression dans certaines filières : le baccalauréat technologique (+ 3,2 points), le Capa (+ 1,1 point), et le baccalauréat professionnel (+ 0,8 point). Pour le Capa, le taux de réussite à 88 % atteint d’ailleurs le meilleur niveau de ces dix dernières années. En Bepa et BTSA, les taux de réussite restent stables.


lundi 21 juillet 2014

La MSA informe les étudiants sur leurs droits sociaux

La mutualité sociale agricole (MSA) et l'ensemble des partenaires de l'enseignement agricole (Aprefa, CNEAP, DGER, UNMFR, Unrep) ont signé en février dernier "une déclaration d'intention pour l'information des jeunes de l'enseignement agricole sur la sécurité sociale, la MSA et les droits sociaux".
Ce partenariat a débuté dès la fin de l'année scolaire 2013-2014 et se poursuivra en 2014-2015. Il devrait concerner près de 100 000 élèves, lycéens et étudiants, du CAP au diplôme d'ingénieur. Ils seront également informés sur les aides existantes pour leurs projets professionnel et personnel.

Le partenariat MSA-enseignement agricole

Recrutement : les premières expériences de "serious games"

Jusqu'alors réservés à l'interne, les "serious games" sont utilisés par certaines grandes entreprises pour leurs recrutements de jeunes diplômés.

A l'image des jeux vidéo, ces "jeux sérieux" permettent aux candidats de découvrir l'entreprise et ses métiers en s'immergeant dans un environnement virtuel proche de leur futur emploi. 
"Grâce à cet outil, nous pouvons évaluer les capacités d'analyse, de synthèse, d'écoute et d'adaptation d'un candidat. Des qualités difficilement perceptibles sur un CV ou en entretien" explique la directrice du recrutement d'Accenture sur le site Studyrama.

Serious game : participer à une session de recrutement ludique

samedi 19 juillet 2014

Service de remplacement France lance sa première formation à distance une « e-novation » pour réduire les distances

Les agents de remplacements bénéficient dorénavant d’une formation par Internet. Un moyen de se professionnaliser à distance, en vue de pallier les problèmes de dispersion sur le territoire et de planning fluctuant. Thème retenu pour cette première session : la prise de consignes, facteur clé de la réussite de toute mission de remplacement.

En 2013, une « e-formation » est disponible pour les 12 000 agents de remplacement répartis sur l’ensemble du territoire. « Des formations existaient dans les départements, mais elles n’étaient pas normalisées. Le but est de professionnaliser le service et d’améliorer la prestation », témoigne Karim Cheurfa-Molinier, chef de projet à service de remplacement France.

L'e-formation pour le service de remplacement en détail

vendredi 18 juillet 2014

Le statut cadre : Un statut vraiment à part ?

La notion de cadre est née de la convention collective du 14 mars 1947, qui a créé l’Association générale des institutions de retraite des cadres (Agirc).

Il s’agissait à l’époque d’assurer au cadre une retraite à la hauteur de son salaire : autrement dit, ses cotisations doivent correspondre à sa rémunération, plus élevée que celle des autres salariés. Cela lui permet surtout d’éviter un « décrochage » de niveau de vie entre sa période active et sa retraite.

Le statut cadre, c'est quoi ?

Alexandra Lacoste, directrice des AOP Cerise et Raisin : Le goût du collectif

Alexandra Lacoste est directrice des AOP cerise et raisin : des organismes qui défendent économiquement leurs produits et en assurent une communication nationale. Le challenge de son métier : trouver des intérêts communs à des entreprises concurrentes pour faire avancer, ensemble, les filières.

« Ce qui m’a toujours intéressée, et ce qui constitue finalement le fil rouge de mes études et de ma carrière professionnelle, c’est le travail collectif », introduit Alexandra Lacoste. Aujourd’hui directrice des AOP nationales cerise et raisin, l’économiste a su faire de ce goût du consensus son quotidien professionnel,puisqu’elle travaille pour différentes organisations de producteurs… bel et bien concurrentes sur le marché !

AOP Cerise et Raisin en détail

jeudi 17 juillet 2014

Bachelor : Une formation ancrée dans le réel

Les formations bachelor sont apparues il y a cinq ou six ans en France, et se développent de plus en plus. Il est donc important de faire le tri. Leur objectif est d’apporter une harmonisation européenne et donc d’offrir plus de débouchés aux étudiants.

Il faut maintenant que le monde du travail emboîte le pas et reconnaisse ces diplômés, ce qui est en cours. « Les formations bachelor s’adressent à un public ayant un diplôme de bac + 2 ou bac + 3, indique Rémy Langlois, responsables formations agroalimentaire et export à la FIM. La plupart des candidats sortent d’un BTS, mais certains sont plus diplômés et suivent nos formations car ils n’ont pas de formation spécialisée. »

Le bachelor en détail

Stages et Recrutements à l’international : Le séjour à l’étranger, une expérience gagnante

Le stage agricole ou l’expérience à l’étranger sont des occasions uniques de développer une capacité d’autonomie et d’adaptation dans un environnement différent, à la découverte de nouvelles filières et techniques de production. Ils permettent aussi d’acquérir une mobilité et une plus grande flexibilité dans le fonctionnement futur… des atouts qui peuvent faire la différence sur un CV.

Comment trouver son stage ?

mercredi 16 juillet 2014

Manquera-t-on bientôt de maîtres de stage ?

Pour mieux encadrer les stages, des lois sont votées afin d’éviter leurs recours abusifs et protéger ainsi les stagiaires. Si ces textes ont des visées légitimes, ils conduisent cependant à des effets pervers.

Par des contraintes supplémentaires appliquées aux maîtres de stages, les petites entreprises risquent de limiter leurs offres de stages. Les Maisons familiales rurales s’en inquiètent.

Comment trouver son stage ?

Au-delà des compétences : Dire « je suis motivé » ne suffit pas !

Beaucoup de candidats ne savent pas bien parler de ce qui les motive. Pourtant, la motivation est importante pour un recruteur, et savoir répondre à la question « qu’est-ce qui vous motive ? » peut permettre de faire la différence sur une lettre et en entretien d’embauche.

Lorsque l’on cherche à élaborer son projet professionnel, connaître ses motivations donne aussi de nombreuses pistes. « Neuf fois sur dix, les lettres de motivation que l’on me présente ne parlent pas de motivations, constate Emmanuel Oblin, délégué de l’Apecita en Normandie. En tout cas, les motivations ne sont pas écrites. Les candidats se contentent de dire qu’ils sont motivés. » Oui, mais pourquoi ? Par quoi ?

Comment mettre en avant ses motivations ?

mardi 15 juillet 2014

l’année de Césure en école d’agronomie : Approfondir le projet professionnel

Plusieurs écoles d’agronomie offrent la possibilité d’effectuer une année d’études supplémentaire (dite « année interstitielle » ou « année de césure ») sous forme de stages, notamment pour permettre aux élèves-ingénieurs de définir au mieux leur projet professionnel.

« Au terme d’année de césure, nous préférons celui d’année interstitielle : en effet, il s’agit d’une année pédagogique insérée dans le cursus normal et en aucun cas d’une année de rupture de formation », tient à préciser Caroline Lelaidier, directrice des formations à Agrocampus Ouest, comptant parmi les écoles qui proposent ce dispositif.
L’étudiant lui-même en fait la demande en fin d’année de M1, car l’année interstitielle est à effectuer obligatoirement entre celle-ci et M2. Il doit présenter son projet dans une lettre de motivation, mentionnant les stages visés, dans quelle(s) structure(s), etc. 
« Généralement, nos élèves avancent deux motivations principales : ils hésitent entre différentes filières de spécialisation (élevage, grandes cultures, arboriculture…), ou ils hésitent entre la recherche et un poste en entreprise », note Caroline Lelaidier.

A quoi correspond cette année "interstitielle" ?

jeudi 10 juillet 2014

Elena Gladysheva, responsable qualité et production Saint Nicolas Gourmet – Intermarché Fontaine-lès-Dijon (21) : Un poste multifacettes

Elena Gladysheva occupe depuis 2007 le poste de responsable de production à la Sarl Saint Nicolas Gourmet, filiale du groupe Intermarché de Dijon. De la gestion des matières premières aux plans de formation des salariés, elle a un rôle clé dans le bon fonctionnement de cette unité qui approvisionne en boulangerie-pâtisserie-confiserie huit magasins Intermarché

Découvrez son parcours

RESPECT’IN : Une marque d’agriculteurs durables

Marque de céréales, Respect’in vise à promouvoir l’agriculture durable auprès des consommateurs. Elle n’a pas pour vocation unique d’être apposée sur les produits finis, mais à davantage valoriser la production des agriculteurs respectant le cahier des charges.

Respect’in est la première marque de céréales (blé, orge, maïs) initiée par les agriculteurs, introduit Franck Coste, président de la marque. Il faut saluer ces pionniers de l’innovation en agriculture. C’est bien parce que les agriculteurs en sont à l’origine que la démarche est crédible auprès des consommateurs.»

Respect'in en détail

mercredi 9 juillet 2014

Le niveau de l’emploi des salariés agricoles se détériore au 3e trimestre 2013

D’après les dernières statistiques publiées par la MSA, l’emploi des salariés agricoles se détériore au 3e trimestre 2013 après la phase de stabilisation du trimestre précédent. 

Cette régression s’explique par le recul de l’emploi en contrats à durée déterminée (CDD), notamment la chute de l’emploi saisonnier, qui connaît un décalage porté vers le 4e trimestre du fait des retards de cultures. À l’été 2013, l’emploi en CDD a en effet été affecté par les mauvaises conditions climatiques du printemps, qui a conduit d’une part, à différer les récoltes et par là même à repousser les embauches de saisonniers dans les secteurs Infos filières de la production et de la transformation, d’autre part, à annuler certains travaux agricoles. Ce mouvement baissier se retrouve dans tous les secteurs, particulièrement dans le secteur de la production.

La durée de travail par contrat affiche en revanche une forte croissance, avec + 10,4 %, avec 280 heures en moyenne. « L’emploi agricole permanent (emplois présents en fin de trimestre) maintient quant à lui sa croissance (+ 2,2 %) , précise la MSA. Ce constat vaut pour l’ensemble des secteurs, excepté celui de la production qui est en recul. » 

Conséquence de la forte baisse de l’emploi saisonnier et de la très faible revalorisation du Smic au 1er juillet 2013, la masse salariale décroît (- 0,5 %). Le salaire horaire moyen progresse très légèrement (+ 0,6 %), à un rythme toutefois supérieur à celui du Smic (+ 0,3 %).

mardi 8 juillet 2014

Un nouveau portail pour la VAE

Le Ministère du travail a mis en ligne une nouvelle version du portail dédié à la validation des acquis de l'expérience (VAE). Celle-ci permet à toute personne d’obtenir une certification ou un diplôme si elle justifie d’au moins trois ans d’expérience.

Pour les particuliers, le portail explique le déroulement de la démarche, de la définition du projet à l'évaluation finale. Les employeurs trouveront des fiches explicatives pour mettre en place un projet collectif ou individuel de VAE.

Enfin, un espace plus technique est destiné aux professionnels : conseiller, accompagnateur, membre de jury, chargé de développement.

http://www.vae.gouv.fr/

lundi 7 juillet 2014

Chambres d'agriculture : l'emploi en agriculture et agroalimentaire

L'assemblée permanente des Chambres d'agriculture (APCA) a mis en ligne un dossier consacré à l'emploi en agriculture et agroalimentaire.

Il rappelle d'abord les chiffres clés : en France, près d'un million de personnes travaillent dans les exploitations agricoles et l'agroalimentaire représente près de 500 000 emplois dans 13 500 entreprises dont 97 % sont des PME.

Le dossier fait un focus sur les Bouches-du-Rhône, le Vaucluse et la Bretagne. Trois articles sont également consacrés au coût du travail et à la compétitivité des entreprises au sein de l'Union européenne. Le dossier au format Pdf est disponible à l'adresse ci-dessous.

L'emploi en agriculture et agroalimentaire

vendredi 4 juillet 2014

Elagueur : le soigneur des arbres



L'élagueur est employé par une entreprise du paysage ou une collectivité territoriale, mais il peut également exercer à son compte. Il taille les arbres en respectant les règles de sécurité et leur apporte les soins nécessaires tels que le nettoyage des plaies ou l'aubannage.

Outre la maîtrise des techniques de taille et la connaissance des végétaux, ce métier nécessite bien sûr une bonne condition physique. Un certificat de spécialisation "taille et soins des arbres" est le plus souvent demandé pour ce métier qui peut évoluer vers un poste de chef d'équipe ou de conducteur de travaux.

Consulter la fiche métier élagueur

Consulter les formations préparant à ce métier

Recherche d'emploi : comment relancer un recruteur après un entretien ?

Vous n'avez pas de nouvelles de l'entreprise depuis votre entretien d'embauche et vous commencez à vous interroger sur l'intérêt porté à votre candidature.
 N'hésitez pas à relancer le recruteur en réaffirmant votre intérêt pour le poste.

A l'adresse ci-dessous, Marie-Claire Lemaître, du cabinet de recrutement Mercuri Urval France, explique très concrètement la démarche à suivre, par mail et par téléphone. Elle préconise trois étapes en trois semaines : envoyer un mail juste après le rendez-vous, revenir à la charge huit jours après, et contre-attaquer par mail deux semaines plus tard notamment si un autre poste vous intéresse ailleurs.

Comment relancer un recruteur après un entretien ?

jeudi 3 juillet 2014

Outils créatifs : Délier les langues

L’histoire d’une vie n’est pas toujours facile à évoquer de but en blanc. Or, y passer est nécessaire dans le cadre d’un bilan de compétences ou d’un bilan professionnel. Pour pallier cette difficulté, l’Apecita use d’outils créatifs pour libérer la parole.

Pour l’accompagnement de ses candidats, l’Apecita met en oeuvre une gamme de services. Dans le cadre de certains d’entre eux, dont le bilan professionnel, le conseiller revient avec le candidat sur son parcours professionnel ainsi que sur son parcours de vie.

Quels sont les nouveaux services proposés par l'Apecita ?

Biodevas laboratoires, Sarthe Une PME qui agit pour l’agroécologie

En invitant Stéphane Le Foll à être témoin de sa forte croissance, la société Biodevas a montré que les biostimulants sont une solution d’avenir pour une agriculture plus respectueuse de l’environnement.


Reste à adapter la réglementation pour favoriser l’usage de ces produits.

Biodevas en détail

mercredi 2 juillet 2014

Vigne et Vin : La démarche agri-éthique s'ouvre au vin

En juin 2013, la coopérative vendéenne, la Cavac, via sa filiale, Agriéthique France, lançait sa démarche blé Agri-éthique France, un projet dans lequel chaque maillon de la chaîne (agriculteurs, coopératives, meuniers, industriels et boulangers) s’engage à proposer au consommateur des produits provenant d’un blé cultivé localement, dans le souci du développement durable, garantissant un revenu à l’agriculteur et préservant l’emploi local.

La démarche s’étend désormais au monde du vin. L’AOC châteaumeillant, situé dans l’Indre et le Cher, vient en effet de s‘engager dans le pacte vin Agriéthique, où tous les acteurs de la filière, les viticulteurs, le négociant-vinificateur (Bituriges Vins) et les commerçants (grossistes, cavistes, restaurateurs…) s’engagent à garantir le revenu des viticulteurs, le dynamisme du territoire et la création d’emplois ainsi qu’un un impact bénéfique sur l’environnement.

L’ambition d’Agri-éthique France est désormais de faire adhérer d’autres vignobles français « pour aider les petits producteurs à survivre face aux grandes appellations à la réputation et la notoriété assurées et qui ne subissent pas les fluctuations du prix du raisin » mais aussi « d’élargir le champ d’action d’Agri-éthique, impulsé par le blé et le vin et partager son modèle vers d’autres filières agroalimentaires ».

mardi 1 juillet 2014

Enseignement agricole : Devenir enseignant, mode d’emploi

L’enseignement agricole vous attire ? 

Maisons familiales et rurales (MFR), lycées agricoles, CFA, LEGTPA, EPL, CFPPA, écoles d’ingénieur, écoles vétérinaires, école de paysage… Plus de 800 établissements techniques et supérieurs répartis sur le territoire national dispensent des formations dans ce domaine. Ils donnent accès à des enseignements techniques de la 4e aux baccalauréats scientifique, technologique et professionnel, à des cycles de formation supérieurs courts (BTS, licences professionnelles) et à des cycles d’enseignement supérieurs longs : diplômes d’ingénieurs et de vétérinaire. Les chiffres du ministère annoncent près de 300 000 jeunes et adultes formés par an par l’enseignement agricole.

Zoom sur les différentes possibilités en matière de recrutement dans ce secteur.

Tout savoir sur… Le congé sabbatique

Voyager, enrichir ses expériences, faire le point sur sa carrière… les raisons ne manquent pas pour vouloir s’accorder un congé sabbatique. Mais attention, seuls les salariés répondant à un certain nombre de conditions peuvent y accéder. Sans oublier que l’employeur garde, dans une certaine mesure, son mot à dire.

Le congé sabbatique permet à un salarié de suspendre son contrat de travail pour une durée comprise entre 6 et 11 mois et ce, afin de réaliser un projet personnel. Tous les salariés sont concernés, quels que soient la taille de l’entreprise et son secteur d’activité. 


Néanmoins, des conditions préalables sont à remplir : à la date du départ en congé, le salarié doit justifier de 36 mois (consécutifs ou non) d’ancienneté au sein de l’entreprise, ainsi que de six années d’activité professionnelle.
Attention : le salarié ne doit pas avoir bénéficié, dans l’entreprise, au cours des six dernières années, d’un congé sabbatique, d’un congé pour création d’entreprise ou d’un congé de formation (CIF) d’au moins six mois.

Tout savoir sur le congé sabbatique