samedi 31 janvier 2015

Vigne et Vin : Nouveau site pour l’Observatoire de la viticulture française

La nouvelle plateforme Internet de l’Observatoire de la viticulture française, piloté par FranceAgriMer, vient d’être mise en ligne avec des fonctionnalités optimisées. Avec plus de
9 000 documents en accès libre (graphiques, tableaux, cartes interactives…) sur les principales caractéristiques et évolutions de la filière viticole, cet outil régulièrement mis à jour a vocation à mettre à disposition de tous des informations vitivinicoles de référence. 

Il permet d’accéder aux données par thèmes (potentiel viticole, récoltes totales, par catégories, par couleurs…), par localisation (communes, départements, bassins viticoles, France), par campagnes. « Ce socle d’informations de référence est une source d’éléments
de gestion utiles et pertinents pour les différentes familles de professionnels et acteurs concernés par le secteur viticole, précise FranceAgri-Mer. 

Ce système d’information permet également, à travers la création d’espaces de travail collaboratifs, une diffusion ciblée et sécurisée d’informations spécifiques à des publics désignés. Ces espaces facilitent ainsi l’organisation et la gestion de projets en mettant en lien les différents acteurs impliqués assurant ainsi la mutualisation de l’information. »

Plus d’informations sur http://www.observatoire-viti-france.com/

S'orienter avec internet

Vous avez une idée précise du métier ou du secteur dans lequel vous souhaitez exercer ?
Ou au contraire, vous vous sentez un peu perdu face à ce choix important qu’est votre orientation ?

Avant de prendre rendez-vous avec un conseiller spécialisé, vous pouvez déjà trouver de nombreuses informations sur des sites Internet généralistes ou spécialisés, sans oublier les sites des écoles et des universités. Le plus important est de ne pas se limiter à la consultation d’un seul site mais bien de croiser les sources pour être certain que vous aurez toutes les bonnes données entre vos mains.

Panorama (non exhaustif !) des principaux sites Internet qui peuvent vous renseigner.

vendredi 30 janvier 2015

Enseignement général : S’orienter vers l’enseignement agricole

Pour certains élèves de l’enseignement secondaire général, s’orienter vers l’enseignement agricole est un moyen de suivre sa passion. Pour d’autres, cela permet de trouver un nouveau souffle avec une pédagogie et un encadrement différents.

Dépoussiérer l’image des formations de l’enseignement agricole », voici un objectif de la Draaf Nord-Pas-de-Calais. Composante du système éducatif national, l’enseignement agricole est souvent considéré comme réservé aux enfants d’agriculteurs. Pourtant, en 2011, seulement 13,2 % des élèves du second degré et du supérieur court en enseignement agricole avaient des parents exploitants.

L'appareil de formations en détail

L’Apecita vous accompagne : Un bilan d’orientation pour une seconde chance

L’Apecita propose, depuis 2013, aux personnes sans activité et en recherche d’emploi, un bilan d’orientation. Un outil qui permet au candidat, qui souhaite se réorienter, d’affiner son projet et de choisir la formation la plus pertinente en fonction de la réalité du marché de l’emploi.

« Le bilan d’orientation met l’accent sur l’orientation et particulièrement la réorientation souhaitée du candidat », explique Laurence Stephan, déléguée régionale Lorraine Champagne Ardenne de l’Apecita. « Nous faisons le point, grâce à plusieurs entretiens, échanges téléphoniques et des questionnaires, sur les compétences déjà acquises et celles qui manquent pour réaliser le projet du candidat. Nous vérifions la pertinence du projet avec la réalité du marché de l’emploi. Notre rôle est d’accompagner la personne dans la réalisation de son projet et, en aucun cas, de décider pour elle. » Le bilan d’orientation a été mis en place en 2013 et s’adresse à toute personne inscrite à l’Apecita, en recherche d’emploi et sans activité. « Ce bilan est pris en charge par l’Apecita et donc gratuit pour les candidats. Ceux-ci sont actifs lors la réalisation de ce bilan d’orientation car ils doivent répondre à des questionnaires permettant d’affiner leur projet, effectuer des recherches ou réaliser des enquêtes. En 2014, nous avons réalisé au niveau national 34 bilans d’orientation. »

Le bilan d'orientation en détail

jeudi 29 janvier 2015

Zoom sur l’option DP3 : Se familiariser tôt à la réalité professionnelle

L’option découverte professionnelle 3 heures est destinée à faire appréhender de manière concrète, par les élèves de troisième, les métiers et les formations.

Pour Sylvie Hamon, principale du collège Saint-Pol-Roux, à Brest, l’objectif de ce module facultatif n’est pas d’orienter les collégiens mais de leur faire découvrir « différentes palettes du monde professionnel ».

L'apprentissage en détail

Le service public régional de l’orientation : Améliorer le service rendu aux usagers

Défini par une loi, le service public de l’orientation tout au long de la vie prend forme dans les différents bassins d’emplois.

Sa particularité : rassembler les acteurs de l’orientation afin de faciliter les échanges au bénéfice des citoyens. Gros plan sur le service en région Picardie

La loi du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et à la formation professionnelle tout au
long de la vie a créé le droit pour toute personne à être informée, conseillée et  accompagnée en matière d’orientation professionnelle. L’exercice de ce droit s’appuie sur la mise en place du service public de l’orientation tout au long de la vie (SPO). Celui-ci est organisé pour garantir à toute personne l’accès à une information gratuite, complète et objective sur les métiers, les formations, les certifications, les débouchés et les niveaux de rémunération, ainsi que l’accès à des services de conseil et d’accompagnement en orientation de qualité et organisés en réseaux. 


Découvrez le SRPO

lundi 19 janvier 2015

Salon Régional Formation Emploi à Colmar les 23 et 24 janvier 2015



  
Le Salon Régional Formation Emploi aura lieu au  
Parc des Expositions à Colmar, 
les 23 et 24 janvier 2015, 
de 9h à 18h. 

L'APECITA sera présente sur le  
pôle "Agriculture - Agroalimentaire - Environnement" Hall 3 pour répondre à vos questions en matière d'orientation et d'emploi. 


 Tous les partenaires de la formation agricole seront également présents.
 
300 exposants vous attendent pour vous aider à trouver votre voie, décrocher un emploi ou rebondir professionnellement.

 Au programme de l'édition 2015 :
  • « Entreprendre pour apprendre » : des animations/conférences sur les métiers de l’entreprenariat
  • Le « Village de l’Emploi » : espace conseils DRH et job café
  • Le Pôle Franco-Allemand : découvrez les opportunités d'emploi, de formation et d'apprentissage chez nos voisins allemands,
  • Des conférences (sur inscription)
Pour en savoir plus : www.srfe.com

Parking et entrée gratuits.

L'APECITA participe à la Nuit de l'orientation et du Parcours Professionnel à Strasbourg le 30 janvier 2015 de 15 h à 20 h 30



Cette manifestation (8ème édition en 2015) a pour objectif d'aider les jeunes et les adultes à s'orienter ou à se réorienter.


Vous pourrez y rencontrer des professionnels, partenaires économiques, organisations patronales, branches professionnelles et institutionnels.

6 espaces seront proposés :

  • Espace Café des Métier
  • Espace forum
  • La voie de l’Alternance
  • Espace multimédia
  • Espace conseils individuels
  • Ateliers thématiques
Venez rencontrer un conseiller APECITA sur le stand de la Chambre d’Agriculture de Région Alsace, qui répondra à vos questions sur la recherche d’emploi en agriculture, agroalimentaire, environnement et pour un 1er entretien/conseil. 

Rendez-vous Vendredi 30 janvier 2015 de 15 h à 20 h 30 
au Hall Rhénus du Parc des Expositions au Wacken de Strasbourg
où se déroulent parallèlement les Olympiades des Métiers
  
Pour obtenir plus d’infos allez sur : http://www.nuit-orientation-strasbourg.com

jeudi 15 janvier 2015

Enseigner en alternance D’étudiant à professeur, il n’y a qu’un pas

Le dispositif « emplois d’avenir professeur » (EAP) vise à l’insertion professionnelle dans les métiers du professorat. 
C’est un pilier important de la réforme de la formation initiale des enseignants. 
L’Éducation nationale recrute 18 000 emplois d’avenir professeur d’ici 2015.

Que signifie EAP ?

mercredi 14 janvier 2015

GEIQ AgriQualif 49 Recruter et fidéliser des salariés qualifiés

Le GEIQ Agri-Qualif 49 est un groupement d’employeurs en agriculture, situé dans le Maine-et-Loire, dont la principale mission est l’insertion professionnelle des candidats qu’il accompagne.

«Le GEIQ1 Agri-Qualif 49 est né il y a 5 ans avec une petite dizaine d’entreprises d’horticulture et de maraîchage qui faisaient alors face à des tensions en matière de recrutement et n’arrivaient donc pas à trouver de la main-d’oeuvre qualifiée, explique Benoit Aupecle, animateur du GEIQ Agri-Qualif 49. Aujourd’hui ce sont environ 80 entreprises qui adhèrent chaque année à l’association, couvrant ainsi toutes les filières végétales du département : arboriculture, viticulture, maraîchage, horticulture, paysage et même en peu d’élevage. L’une des principales caractéristiques d’un GEIQ est qu’il est gouverné directement par les entreprises. Au sein de l’association, ces dernières peuvent ainsi faire remonter leurs attentes et leurs besoins en termes de main-d’oeuvre et de qualification. »

 Comment fonctionne le GEIQ Agri-Qualif 49 ?

Céline El Boukili, Ingénieur formateur au Ctifl S’adapter aux besoins des entreprises

Le quotidien d’un ingénieur formateur au Ctifl , c’est bien évidemment de la formation. Mais pas seulement !

Céline El Boukili accompagne également les entreprises du sud de la France dans la mise en place de projets en lien avec la qualité, l’hygiène ou l’organisation du travail. Un métier qui demande une réelle connaissance de la filière doublée d’un esprit d’ouverture.

Découvrez son parcours

Bois : Bilan 2013 Une récolte de bois en hausse de 2 % en 2013

D’après une récente note d’Agreste, la récolte de bois commercialisé s’élève 35,9 millions de mètres cubes en 2013, en hausse de 2 % par rapport à 2012. 

Le bois d’oeuvre, qui en représente plus de la moitié, progresse légèrement. La récolte de bois d’oeuvre de conifères, largement majoritaire, progresse légèrement (+ 3 %) tandis que celle de bois d’oeuvre de feuillus diminue (- 2 %). 

La récolte de bois pour la trituration diminue de 10 % tandis que les quantités destinées à l’énergie augmentent fortement (+ 23 %). En hausse soutenue depuis 2009 avec la montée en puissance des énergies renouvelables, elles s’élèvent à 6,9 millions de mètres cubes, niveau jamais atteint par le passé. 

La production globale de sciages baisse légèrement mais les sciages de qualité supérieure augmentent – de même que la production de merrains.

mardi 13 janvier 2015

Découvrez notre nouvelle édition du Guidagri !

Avec le Guidagri, l’APECITA présente toutes les clés pour faire connaître aux jeunes et aux adultes, les formations du vivant.

Guidagri… des réponses
Vous êtes en 3ème, quel baccalauréat choisir ?
Vous avez un bac, vous voulez faire des études courtes, des études longues ?
Vous avez une formation bac+2 minimum, vous voulez poursuivre vos études ?
Vous êtes en activité professionnelle et vous souhaitez évoluer ?
Comment reprendre et choisir une formation professionnelle
Vous avez un diplôme et/ou une expérience, vous souhaitez vous spécialiser ?

Guidagri… des informations pratiques 
- Le financement de la formation, les contrats spécifiques
- L’enseignement à distance
- Le stage étudiant en milieu professionnel
Guidagri… c’est aussi
- Des conseils, des témoignages, le glossaire de la formation
- Des explications : VAE, CIF, DIF, plan de formation, bilan de compétences…
- La réforme de la formation professionnelle : les nouveaux dispositifs (CFP, CEP…)

Saïda Barnat, directrice scientifique Aprifel : Quelle confiance dans les fruits et légumes ?

La qualité des fruits et légumes dépend-elle aussi de notre confiance dans les produits et les acteurs de la filière ?
Pour Aprifel, l’Agence pour la recherche et l’information en fruits et légumes, organisatrice d’une journée d’échange sur le sujet le 22 octobre dernier, cette question doit amener l’ensemble des acteurs à prendre conscience de leurs rôles, notamment les associations de consommateurs comme prescripteurs d’informations.

Saïda Barnat, directrice scientifique d’Aprifel, fait le point.

Le Sival Cap vers l’avenir !

Le Sival ouvrira ses portes au parc des expositions d’Angers du 13 au 15 janvier 2015.

Avec près de 600 exposants présents et 20 000 visiteurs professionnels chaque année, le Sival est le seul Salon en France à proposer une offre complète et performante en matériels et services pour toutes les productions végétales. 
S’il est indéniable que la 29ème édition du Sival s’ouvrira sous un climat général morose marqué notamment par une conjoncture difficile aggravée par l’embargo russe, les organisateurs de ce Salon des productions végétales n’en restent pas moins optimistes pour l’avenir de la filière. « Face à ces difficultés, l’innovation est une condition nécessaire pour rebondir et affronter un environnement économique parfois hostile, affirme Brunot Dupont, président du Sival. 

Cette édition 2015 se voudra donc être la vitrine d’une filière pro-active, dynamique et novatrice dans le domaine du végétal, en lui redonnant des perspectives ambitieuses. »

Découvrez la nouvelle édition du Sival 2015

Formation professionnelle : De l’obligation fiscale à l’obligation morale

Pour ses quatrièmes rencontres régionales, l’Apecita de Normandie avait choisi d’évoquer la nouvelle réforme concernant la formation professionnelle, en invitant les représentants de l’OPCAlim, l’OPCA des industries agroalimentaires, de la coopération agricole et de l’alimentation en détail. 

Les ambitions de cette nouvelle réforme sont de gagner en compétitivité et en employabilité, a commenté Gilbert Keromnès, président de l’Apecita et de l’OPCAlim. À quoi va-t-elle ressembler ?

Quelles vont être ses changements ?

Tristan Vuillemin, responsable production et qualité à Val de Sérigny (86) : De la tomate marocaine au melon charentais

Visant le monde de la sélection après son diplôme d’ingénieur agronome, Tristan Vuillemin s’est au final orienté dans la production maraîchère. 

Après huit années passées sur la tomate au Maroc, il suit désormais les 650 hectares de melons d’une exploitation poitevine. Une activité diversifiée, qui l’amène à voyager.

Découvrez son parcours

lundi 12 janvier 2015

Recrutement : une offre d'emploi génère en moyenne 46 candidatures

Aux troisième et quatrième trimestre 2013, le nombre de candidatures par offre d'emploi était de 46, selon une étude publiée en novembre 2014 par l'association pour l'emploi des cadres. 
Si elles ne représentent que 5 % des offres, celles destinées aux débutants génèrent le plus de candidatures, 72 en moyenne. Des variations existent également selon les fonctions : plus de trois quarts des offres générant moins de 10 candidatures émament de l'informatique, des études-recherche-développement et du commercial-marketing. En revanche, le secteur de la communication-création reçoit plus d'une centaine de candidatures.

Apec : les candidatures sur offre

Vigne et Vin Le bio : une filière qui embauche

À quelques semaines de l’ouverture, à Montpellier, du Salon Millésime Bio, rendez-vous incontournable du secteur de la viticulture biologique qui se tiendra du 26 au 28 janvier prochain, la filière met en avant sa capacité à embaucher. 

Ainsi, d’après les chiffres du dernier recensement agricole, on compte en moyenne 3,5 emplois par exploitation en agriculture biologique, contre 1,8 emploi pour les domaines conventionnels. « Sur un marché du travail où les jeunes diplômés font les frais du chômage, la filière du vin bio peut se targuer d’embaucher des dirigeants plus jeunes et plus diplômés, explique SudVinBio, l’association interprofessionnelle des vins biologiques du Languedoc- Roussillon. 

Ainsi l’âge moyen est de 46,5 ans dans la filière bio et 70 % d’entre eux ont un diplôme post-bac, contre 52,5 ans dans la filière conventionnelle où 42 % d’entre eux ont obtenu un diplôme post-bac. »

Agriculture et agroalimentaire : Croissance ralentie pour les coopératives

Le secteur coopératif agricole et agroalimentaire a vu sa croissance ralentir en 2014 : elle s’établit à 0,58 % alors qu’elle était de 1 % en 2012 et 0,7 % en 2013. 

« Cette croissance un peu molle est conforme à ce qui se passe dans le secteur agroalimentaire français », rassure Philippe Mangin, président de Coop de France, qui insiste sur le fait que même si elle ralentit, la croissance se poursuit. Le secteur atteint un chiffre d’affaires de 84,8 milliards d’euros contre 84,3 l’année précédente. Cette activité est assurée par 2 750 coopératives, contre 2 800 répertoriées l’an dernier. 73 opérations de fusions et rapprochements ont été recensées d’octobre 2013 à octobre 2014. 

« La concentration se poursuit », explique le président, qui a expliqué en substance que les coopératives sont à la recherche d’une taille critique nécessaire pour mobiliser de nouvelles capacités financières pour investir et se développer, attirer la matière grise et gagner la bataille de l’exportation. « L’alliance entre entreprises est aussi une réponse à la volatilité des matières agricoles, qui a crû de 17 à 27 % », chiffre Philippe Mangin. Ainsi, parmi les 2 750 coopératives, 15 ont un chiffre d’affaires supérieur à 1,5 milliard d’euros, 130 sont des ETI, et le reste est constitué de PME TPE. « La concentration doit se poursuivre notamment dans les ETI. Nous avons besoin de plus grosses ETI, comme l’Allemagne a pu en créer. » 

La France n’a toutefois pas à rougir de son rang : en huit ans, le top 20 des groupes coopératifs français a doublé son chiffre d’affaires consolidé, de 27,1 à 52,7 milliards d’euros. Sept groupes français évoluent dans le top 20 européen, mais plutôt dans la seconde partie du tableau, hormis InVivo qui arrive 8ème. Et au niveau mondial, seuls InVivo et Tereos sont cités, aux 15ème et 20ème places. Notons que le n°1 mondial, le Japonais Zen-Noh, réalise à lui seul le chiffre d’affaires de notre top 20 français ! C’est un fait, « nos parts de marchés dans l’Union européenne s’érodent alors qu’elles progressent sur pays tiers , avoue Philippe Mangin. Nous ne recensons pas dans le paysage coopératif français d’alliance européenne. On a envisagé un accord avec la coop fédérée du Québec, mais on a oublié de discuter avec nos voisins européens. C’est une de nos faiblesses. InVivo avance beaucoup avec des coopératives allemandes et anglaises, et des groupes du top 20 ont commencé des discussions, qui pourraient aboutir dans les mois ou les années à venir ».

dimanche 11 janvier 2015

La transition agroécologique dans les lycées agricoles : Enseigner à produire autrement

Tel est l’intitulé du plan d’actions lancé par le gouvernement au printemps dernier. 

Pour l’agriculture française, la transition vers de nouveaux modèles de production plus durables repose sur une modification majeure des modes d’acquisition et de transmission des savoirs et des pratiques. 
L’enseignement et la recherche agricoles ont donc un rôle primordial à jouer dans cette mutation.

Quelles sont les méthodes adoptées ?

25 % de phyto en moins en 2020

En 2008, l’objectif initial du plan Écophyto était de réduire de 50 % l’utilisation des phyto d’ici 2018. À mi-parcours, Dominique Potier, député de Meurthe-et-Moselle, a été missionné par Manuel Valls afin de donner un nouvel élan à la politique de maîtrise des phyto. Il lui a remis son rapport le 23 décembre.

Dominique Potier Député de Meurthe-et-Moselle présente son rapport

Saf agr’iDées, premier think tank de l’agriculture

En 2014, la « Saf-Agriculteurs de France » est devenue « Saf agr’iDées », le premier think tank indépendant de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de l’agro-industrie. Sa mission : être une plateforme d’échanges et de rencontres, un forum de réflexions et une force de propositions auprès des décideurs.

Le point avec Patrick Ferrère, délégué général de la structure…

samedi 10 janvier 2015

Mélanie Marchand, en école supérieure du professorat et de l’éducation Enseignante ou formatrice ?

Entre les productions végétales et l’enseignement, Mélanie Marchand a fini par choisir. 

Mais pourrait tout de même retrouver le monde agricole via un poste de formatrice en CFPPA ou MFR, si son projet principal (devenir professeur des écoles) ne pouvait aboutir.

Découvrez son parcours

Sophie Ferrari, attachée technico-commerciale chez Timac Agro « Je partage la même vision du commerce que mon entreprise »

Après de multiples expériences professionnelles dans des domaines aussi variés que le commerce, l’apiculture ou la transformation et la vente d’épices, Sophie Ferrari est aujourd’hui attachée technico-commerciale chez Timac Agro. Elle revient pour nous sur son intégration réussie au sein de l’entreprise.

Découvrez son parcours

vendredi 9 janvier 2015

Loire Propriétés : Des vignerons coopérateurs durables

Adhérent depuis début 2013 à la démarche Vignerons en développement durable, le regroupement de coopératives vinicoles Loire Propriétés a initié ou pérennisé un certain nombre d’actions écoresponsables. Parmi celles-ci, une plateforme collective de traitement des effluents phytosanitaires, mise en service en septembre 2014.

Le siège du groupe Loire Propriétés est implanté à une vingtaine de kilomètres au sud d’Angers. L’entité rassemble trois caves coopératives vinicoles, couvrant ainsi le centre et l’ouest du Val de Loire : les Caves de la Loire à Brissac-Quincé (Maine-et-Loire), la Cave des Vins de Rabelais à Chinon (Indre-et-Loire), et la Confrérie des Vignerons de Oisly et Thésée (Loir-et-Cher).

Loire Propriétés en détail

La pépinière viticole a son site

Afin de renforcer sa visibilité, la filière de la pépinière viticole se dote d’un site Internet : www.ffpv.fr, qui propose notamment des rubriques accessibles à tous pour présenter la fédération et la filière et un accès réservé aux professionnels où les adhérents trouveront les actualités de la filière, des informations techniques, des résultats expérimentaux… 

Pour rappel, la France est le premier pays producteur mondial avec 200 millions de plants en 2014.

jeudi 8 janvier 2015

Agroalimentaire : Environnement Les IAA investissent dans la protection de l’environnement

D’après une récente publication Agreste, les industries agroalimentaires (IAA) de 20 salariés et plus ont investi, en 2012, 189 millions d’euros pour protéger l’environnement en France métropolitaine. Des investissements en hausse de 21 % par rapport à 2011.

Avec 77 millions d’euros, le traitement des eaux usées reste le principal domaine des investissements environnementaux dans les IAA. Un chiffre qui s’explique par le fait que les process de production font appel à de grandes quantités d’eau, et la construction ou mise aux normes de stations d’épuration ou de prétraitement des eaux usées constituent des opérations coûteuses. 

Derrière le traitement des eaux usées, les principaux domaines d’investissement sont la réduction des gaz à effet de serre (51 millions d’euros) et la réservation de la qualité de l’air (22 millions d’euros). « Dans certains domaines, la protection de l’environnement peut être en partie assurée par le renouvellement des équipements, précise la note d’Agreste. La part des investissements intégrés avoisine ainsi 70 % dans la limitation des gaz à effet de serre et 30 % dans le traitement de la qualité de l’air. 
En revanche, les traitements des eaux usées et des déchets nécessitent des investissements spécifiques. Par rapport à 2011, tous les domaines d’investissements sont en augmentation. Les hausses les plus marquées concernent les investissements consacrés à la protection des sites, des paysages et de la biodiversité, au traitement des bruits et vibrations et au traitement des déchets non radioactifs. »

Semences : La France leader mondial des semences

Cocorico ! « La France reste le leader mondial des exportations de semences de grandes cultures et les entreprises de la filière, en majorité des PME et des coopératives, rayonnent sur 150 pays à travers le monde », a annoncé le Gnis (Groupement national interprofessionnel des semences et plants) lors de sa conférence de presse annuelle.

Pourtant, les importations ont bondi de 17 % en 2013-2014 tandis que les exportations se sont stabilisées à plus d’1,4 milliard d’euros. Malgré un recul de 12 %, le solde de la balance commerciale se maintient néanmoins au niveau élevé de 733 millions d’euros. 
« Si le maïs reste la première espèce exportée avec un total de 583 millions d’euros, soit 171 709 tonnes et représente 51 % du solde de la balance commerciale, les exportations se maintiennent à un bon niveau grâce aux potagères fines qui dégagent un excédent record de 214 millions d’euros dû à un total exporté jamais égalé de 338 millions d’euros, précise le Gnis. 
Dans une moindre mesure, les plants de pomme de terre participent aux résultats avec de nouveaux records réalisés à l’export (63 millions d’euros) et par le solde de la balance commerciale en hausse de 13 % à 45 millions d’euros. 63 % des exportations de semences potagères fines se concentrent sur le marché européen. Elles progressent plus particulièrement vers les Pays-Bas et l’Espagne. Sur les pays tiers, elles gagnent 48 % sur les USA, 35 % sur le Brésil et 36 % sur l’Australie. » 

Si l ’Union européenne confirme son rang de première zone cliente de la France, la filière n’a pas été épargnée par les tensions géopolitiques à l’international. Le solde excédentaire des échanges de la France avec les pays tiers chute ainsi de 40 % et atteint 151 millions d’euros. Il est le reflet d’une baisse sensible (- 8 %) des exportations sur les principaux marchés de la France conjuguée à des importations qui bondissent de 36 % suite aux besoins accrus de la France en semences de maïs et oléagineuses.

Vinitech : Une édition 2014 à succès

Du 2 au 4 décembre, Vinitech-Sifel a offert aux professionnels une vitrine des nouvelles techniques des filières vitivinicole, arboricole et maraîchère présentée par près de 850 exposants réunis (dont 150 entreprises étrangères). 

« Une belle audience avec 44 160 professionnels présents (dont 15 % de visiteurs pour l’étranger), des présentations de qualité, un très bon niveau d’affaires, précisent les organisateurs. Le Salon Vinitech-Sifel 2014 a confirmé son leadership en matière d’offre internationale et a fait la démonstration de filières actives et volontaires. » 

La 20e édition du Salon se tiendra les 29, 30 novembre et 1er décembre 2016. À vos agendas !