mercredi 31 juillet 2013

Vin, culture et oenotourisme : formation à distance

A Dijon, l'institut universitaire de la vigne et du vin Jules Guyot propose depuis une quinzaine d'années un diplôme universitaire sur le vin, la culture et l'œnotourisme.

Pour la première fois, cette formation est ouverte à distance en 2013/2014. Les enseignements restent identiques et se déroulent via Internet sur une plate-forme de e-learning. 
Deux sessions de regroupement sont également prévues en novembre et en mai. Cette formation s'adresse aux professionnels ayant au minimum le baccalauréat ou justifiant d’une expérience pouvant donner lieu à une validation des acquis (VAE).

En savoir plus sur le site de l'institut Jules Guyot

Olivier Claux : Du commerce aux ressources humaines

Directeur des ressources humaines chez Isagri pendant dix ans, Olivier Claux a embauché environ 1 000 personnes. Puis, il a décidé de renouer avec le challenge commercial. Il est devenu l’un des gérants de MG Consultants et accompagne les entreprises du monde agricole dans leurs stratégies RH.
Âgé de 38 ans, Olivier Claux, a commencé sa carrière chez Isagri. D’abord au poste d’ingénieur commercial pendant six ans en Belgique, puis en Italie. « Connaître une nouvelle langue était un vrai projet pour moi », explique-til.
Son parcours professionnel et son école de commerce l’ont ainsi aidé à être quadrilingue : français, italien, anglais et espagnol. Ces trois années passées en Italie ont également marqué les prémices de sa spécialisation dans les ressources humaines : le recrutement.

Quel est le parcours de M. Claux ?

mardi 30 juillet 2013

Ostéopathe équin & bovin : Soigner du bout des doigts

Raphaël Boillot pratique l’ostéopathie équine depuis 2008. Parfois impressionnante, notamment lorsqu’il s’agit de traiter les blocages ou lésions articulaires, l’ostéopathie regroupe plusieurs techniques adaptées aux différents tissus : os, tissus mous, liquides. 

Raphaël Boillot a d’abord suivi des études vétérinaires : il est diplômé de l’école vétérinaire de Nantes en 2000. Il a ensuite suivi en alternance pendant six ans une formation (1 650 heures) en ostéopathie humaine à l’Asta (Andrew Taylor Still Academy, située en Rhône-Alpes).
Depuis 2008, il exerce exclusivement en tant qu’ostéopathe, en région Franche-Comté.
« 60 % de mon activité concerne les équins, 30 % les bovins, 10 % les petits animaux », résume-t-il.

Découvrez le métier d'Ostéopathe équin & bovin en détail

samedi 27 juillet 2013

Savéol Nature : Un nouveau site dédié à l'élevage d'insectes

L’entreprise Savéol, leader de la production de tomates en France, vient de se doter d'un nouvel outil spécialisé dans l'élevage de bourdons pollinisateurs et d’insectes auxiliaires pour lutter contre l’aleurode et autres ennemis des cultures.

L’entreprise Savéol, leader de la production de tomates en France avec 78 600 tonnes
par an, vient de déménager et d’agrandir Savéol Nature, son élevage d’insectes utiles.

Depuis sa création au début des années 1980, l’entreprise milite pour réduire l’impact de ses cultures sur l’environnement. Les maraîchers ont ainsi adopté la protection biologique intégrée (PBI) et développé leur propre élevage d’insectes, sous le nom de Gie Lacroix, rebaptisé en 2011. 
Deux bâtiments d’élevage tout proches de la saturation et devenus obsolètes au fi l du temps sont rassemblés dans ce nouveau complexe, situé à Guipavas (Finistère). Il s’étend sur 6 500 m² couverts, dont 4 800 m² de serres où prospèrent des plants de tabac servant de support à l’élevage d’insectes auxiliaires.

Savéol Nature en détail

vendredi 26 juillet 2013

Génétique et promotion en race salers : Un nouveau site Internet

S’affirmer sur les marchés nécessite de sensibles efforts de communication. Le Groupe Salers Évolution (GSE) l’a bien compris. 
En octobre dernier, il a mis en ligne un site Internet totalement rénové, tout en conservant la même adresse que l’ancien. Si son outil de communication phare reste sa revue papier trimestrielle, le site n’en a pas moins toute sa place.

Pour mener à bien l’une de ses principales missions, qui est de promouvoir la race salers et ses produits, le GSE doit communiquer efficacement et de manière réactive. Vieillissant et peu fonctionnel, son site Internet méritait l’attention spéciale qui lui a été accordée pendant plus d’un an.


Pour en savoir plus sur le nouveau site Salers

jeudi 25 juillet 2013

L’expertise apportée aux candidats

À compter du mois d’août, l’Apecita met en place en interne un réseau de référents sur les différentes filières et sur des problématiques transversales. Ce réseau fait partie d’un nouveau bouquet de services mis en oeuvre par l’Apecita.

« L’Apecita a mené une réflexion pour développer de nouveaux services destinés aux candidats, dans l’optique d’être au plus près d’eux, de répondre encore plus précisément à leurs besoins, indique Anne-Claire Lefloch, en charge de la coordination du réseau de référents. L’idée de ce réseau est née d’un constat : on ne peut pas être expert en tout. Aujourd’hui, les métiers couverts par l’Apecita ne se limitent plus à l’agriculture. Il est difficile de connaître à fond toutes les filières. En délégation, les questions posées par les candidats
sont parfois très pointues et la réponse ne peut être apportée que par un spécialiste du secteur en question. L’objectif de ce réseau est de concentrer les connaissances sur une (ou plusieurs) personne(s), tout en facilitant l’accès à cette personne et à son savoir. Chacun s’est positionné en interne sur un domaine “d’expertise” en fonction de ses affinités, de sa formation, de ses compétences. »
Cette personne sera « la » personne ressource sur une filière ou une problématique donnée. Chaque référent pourra alors apporter en interne, mais aussi aux candidats, sa connaissance des acteurs de la filière, de l’état du marché, des formations correspondant au secteur d’activité, des débouchés, des problématiques de la filière…

Comment va être mis en place ce réseau de référents ?

mercredi 24 juillet 2013

Direction générale de l’enseignement et de la recherche : Un réseau unique au service de l’insertion et de l’égalité

Insertion… Égalité… Ces mots semblent aujourd’hui faire partie de notre quotidien. Mais il n’est pas toujours facile de leur donner une définition précise. 

Pourtant, à la direction générale de l’Enseignement et de la Recherche du ministère de l’Agriculture, l’insertion et l’égalité entre les filles et les garçons sont deux notions bien concrètes, si ancrées dans le quotidien qu’un réseau leur est dédié !

Zoom sur les principales actions menées depuis dix ans.

mardi 23 juillet 2013

L'Apecita renforce sa présence dans l'agroalimentaire

L'Apecita a mis en ligne début juillet son premier site spécialisé.

Dédié à l'emploi dans l'agroalimentaire, il est complémentaire du site « apecita.com ». Les candidats peuvent consulter les offres, déposer leur CV et gérer leurs candidatures dans leur espace personnalisé. Ils peuvent également recevoir des offres d'emploi ciblées correspondant à leurs souhaits.
Le formulaire d'inscription peut être rempli directement à partir du profil Viadeo ou LinkedIn. De leur côté, les recruteurs peuvent déposer leurs offres et consulter les CV.

Début juillet, le site comptait 240 offres d'emploi.

http://www.jobagroalimentaire.com/

Soigner ses compétences internes

A l’occasion de la commission régionale Auvergne de l’Apecita, Stéphanie Herman, consultante à l’Apec, a été invitée pour échanger avec les entreprises présentes sur le développement des compétences et la mobilité professionnelle. 

Si la gestion des compétences a trois principaux objectifs et atouts : anticiper les compétences dont l’entreprise aura besoin demain, fidéliser les collaborateurs, et gagner en compétitivité, le développement des compétences et la mobilité interne sont souvent freinés dans les entreprises.

« Le marché agricole et agroalimentaire compte beaucoup de PME et de TPE, qui pensent souvent que la mobilité interne et le développement des compétences sont réservés aux grands groupes »


Soigner ses compétences internes

lundi 22 juillet 2013

"L’Anvie de prendre du recul"

Professionnels des grandes entreprises et universitaires se côtoient régulièrement grâce à l’Anvie.

Cette association aborde les évolutions de la société ayant des incidences sur ces entreprises.

Alice Bertrand Directrice, explique les missions de l'Anvie.

dimanche 21 juillet 2013

Utiliser le maïs comme combustible : Essai transformé pour Limagrain

Limagrain vient d’innover dans un domaine, a priori, hors de ses compétences. À force de persévérance, un projet né il y a 26 ans s’est concrétisé cette année. Le groupe formalise ainsi sa démarche de Responsabilité sociétale des entreprises et poursuit ses innovations pour fonctionner à terme en cycle complet.

Le 26 juin, à Ennezat (63), Limagrain et Dalkia ont inauguré une chaufferie biomasse produisant de la vapeur à partir de rafles de maïs. « Le projet est né en 1987, mais n’a réellement pris forme qu’à partir de 2009 », introduit Frédéric Gimenez, ingénieur de l’Insa de Lyon et directeur des opérations chez Limagrain Céréales Ingrédients (LCI).

Comment fonctionne cette chaufferie biomasse ?

samedi 20 juillet 2013

Coopérative Acolyance : (Re)Conquérir par le service

Le secteur d’Acolyance est une zone d’agriculture structurée. De fait, il attire les convoitises d’acteurs extérieurs à la région qui affichent une volonté de développer leurs parts de marché.

Acolyance rayonne sur trois départements : l’Aisne, la Marne et la Seine-et-Marne. Afin de répondre aux attentes diverses des adhérents, la coopérative s’est toujours efforcée de segmenter son offre en toute transparence.
« À chaque fusion, les filiales privées ont été absorbées pour ne proposer aux adhérents qu’une seule politique commerciale, introduit Philippe Noizet, directeur du pôle agricole d’Acolyance. Un choix découlant directement de nos valeurs : proximité, territorialité et relation humaine. »


Acolyance en détail

mercredi 17 juillet 2013

Formations pluriqualifiantes- CFMM de Thônes (74) : Travailler à la montagne toute l’année

Le Centre de formation aux métiers de la montagne (CFMM) à Thônes (Haute-Savoie) développe une offre de formations pluriqualifiantes pour permettre aux élèves, étudiants ou adultes en formation de vivre et travailler à la montagne en toutes saisons

À une formation agricole assurée dans le cadre d’un bac pro, d’un bac technologique ou d’un BTSA, s’ajoute une formation sportive assurant la préparation à divers métiers. 

Gros plan sur le concept de formation avec Luc Humeau, directeur du CFMM.

mardi 16 juillet 2013

Mission agroalimentaire Pyrénées : Accompagner les projets en montagne

Avec pour mission d’accompagner les projets de valorisation des ressources pyrénéennes (agricole, alimentaire ou de savoir-faire), la CACG permet au massif des Pyrénées de conserver, voire de développer certaines filières locales.

Depuis trente ans, elle a permis la création de nombreux emplois.
La mission agroalimentaire Pyrénées (Maap) a été confiée à la CACG (Compagnie d’aménagement des coteaux de Gascogne) en 1982, dans le cadre de la politique de « Massif » (État, régions Aquitaine, Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées), au départ d’un constat : le massif des Pyrénées connaît une forte déprise. « Il y avait besoin de compétences dans le domaine de la gestion des entreprises (gestion de projet, finance, marketing, etc.). 

L’objectif de la Maap est d’accompagner les porteurs de projet, au travers de formations, de conseils, d’études de marché », explique David Pagès, responsable de la Maap.

Les missions de la CAGC

lundi 15 juillet 2013

Refonte du Bac technologique STAV et du BTS Agroéquipement

A partir de la prochaine rentrée scolaire, le baccalauréat technologique série STAV (sciences et technologies de l'agronomie et du vivant) subit plusieurs modifications. Celles-ci portent notamment sur la seconde langue vivante obligatoire, les espaces d'initiative locale et l'organisation des stages. 

De son côté, le BTS Agroéquipement devient le BTS "Techniques et services en matériels agricoles". Cette formation donne accès aux métiers du secteur de la maintenance et de l’après-vente des machines agricoles.

Consulter le référentiel du bac technologique STAV

Consulter le référentiel du BTS Techniques et services en matériels agricoles

dimanche 14 juillet 2013

Concours agricole des prairies fleuries : Récompenser l’équilibre agriécologique

Créé en 2010, le Concours agricole national des prairies fleuries rassemble cette année 300 éleveurs répartis dans 45 territoires qui concourent pour les meilleures pratiques agriécologiques sur leurs prairies.

Le Concours agricole national des prairies fleuries reconnaît le travail des agriculteurs en faveur de la biodiversité.
Le principe est simple : des jurys locaux, composés d’experts agronomes, écologues et apicoles, visitent les parcelles en présence de l’exploitant.
Il s’agit de mettre en valeur les qualités agronomiques remarquables des prairies fleuries et le rôle qu’elles jouent dans l’exploitation.
Les critères de notation s’appuient notamment sur la présence de plantes indicatrices facilement reconnaissables, choisies pour leur intérêt agronomique, écologique et mellifère, garantes d’un bon équilibre agriécologique.

Le concours agricole des prairies fleuries en détail

samedi 13 juillet 2013

Filière porcine : Des démarches de qualité porteuses

IGP et signes de qualité sont de nature à conforter la filière porcine franc-comtoise. Synonymes de savoir-faire, ils devraient aussi générer valeur ajoutée et emplois. 

La capacité de naissage franc - comtoise est actuellement de 9 000 places de truies (soit 175 000 porcelets produits annuellement), notamment grâce à quatre maternités collectives récentes, représentant à elles seules 3 200 places.
L’engraissement compte environ 91 000 places, ce qui correspond à un potentiel de production de 240 000 porcs charcutiers par an, soit un déficit régional de 65 000 porcelets pour fournir les filières sous signe de qualité.

La filière porcine franc comtoise en détail

vendredi 12 juillet 2013

Filière porcine en Franche-Comté : 300 éleveurs enquêtés

Malgré les promesses de croissance et de valeur ajoutée des IGP saucisse de Morteau et saucisse de Montbéliard, la filière porcine franc-comtoise peine à attirer de nouveaux éleveurs. L’interpro entend bien remédier à cette situation…

«Depuis dix ans, les installations en production porcine se font rares, moins d’une par an…», regrette Lucie Cadart, chargée de mission à Interporc Franche-Comté. «Globalement, sur les trente dernières années, on constate une baisse de 25 % du nombre de places d’engraissement. Cela se traduit par une réduction du nombre d’élevages et un accroissement des tailles, la moyenne demeurant relativement basse : plus de la moitié des engraisseurs disposent de moins de 200 places», détaille son collègue Denis Creusy.

La filière porcine en Franche Comté

Recherche d'emploi : attention aux styles fantaisistes

A l’occasion de votre recherche d’emploi, vous avez bien sûr diffusé votre adresse mail et votre numéro de téléphone portable. Attention aux adresses électroniques fantaisistes et aux répondeurs qui délivrent un message au ton « décalé ».

N'oubliez pas que ces deux moyens de communication permettent souvent les premiers contacts avec votre futur employeur. Et celui-ci n’a pas forcément votre sens de l’humour! 

Pour l'e-mail, choisissez une adresse professionnelle, bien distincte de votre adresse personnelle. De même, si une photo est demandée, choisissez une photo sobre. 

Soyez pro dans votre façon de communiquer.

Consulter le blog de Laurent Hyzy, chasseur de têtes

jeudi 11 juillet 2013

Agriculture de montagne : Une agriculture aux multiples facettes

«Pourtant que la montagne est belle », chantait Jean Ferrat. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle est avant tout étendue : des reliefs arrondis des Vosges en passant par le Jura, le Massif central ou encore les Alpes, les Pyrénées et leurs sommets culminants à plus de 3 000 m, jusqu’au massif corse aux accents méditerranéens, la montagne couvre près d’un quart du territoire français  métropolitain.

Dans ces reliefs variés et parfois très accidentés, l’agriculture reste toujours très présente. D’après les derniers chiffres du recensement agricole de 2010, sur les 490 000 exploitations agricoles dénombrées en France, plus de 80 000 sont situées en zone de montagne (dont environ 5 700 en zone de haute montagne).

On note qu’au fil des ans, leur diminution est moins forte que la moyenne nationale - 2,6 % des exploitations de montagne ont disparu en dix ans contre 3 % sur toute la France et en particulier pour les petites exploitations (- 3,6 % contre - 4,4 %).

L'agriculture de montagne en détail

mercredi 10 juillet 2013

La cartographie des établissements d'enseignement agricole

Sur le site Internet Chlorofil, le Ministère de l'agriculture a mis à jour la cartographie des établissements d'enseignement agricole. 

Sous forme de cartes de France au format Pdf, vous retrouverez pour l'enseignement public : les CFA (Centres de formation d'apprentis), les CFPPA (Centres de formation professionnelle et de promotion agricole), les exploitations agricoles, les centres technologiques et hippiques.

Pour l'enseignement privé, les cartes permettent de situer les réseaux UNREP (Union nationale rurale d'éducation et de promotion), CNEAP (Conseil national de l'enseignement agricole privé) et les maisons familiales rurales.

La cartographie des établissements d'enseignement agricole

lundi 8 juillet 2013

Travail à temps partiel : au minimum 24 heures / semaine

A compter du 1er janvier 2014, la durée minimum du travail pour un emploi à temps partiel sera de 24 heures par semaine, ou l'équivalent mensuel de cette durée.  C'est ce que prévoit la loi de sécurisation de l'emploi adoptée le 14 mai dernier. 

Une durée inférieure de travail pourra néanmoins être accordée à la demande "écrite et motivée" du salarié ou dans le cadre d'accords de branches.
Pour les contrats en cours, une période transitoire est prévue jusqu'au 1er janvier 2016. L’entreprise pourra toutefois refuser le passage aux 24 heures si son activité ne le permet pas.

Pour en savoir plus : Travail à temps partiel : les nouvelles règles

samedi 6 juillet 2013

Recrutement : l'angoisse des petites entreprises

Dans les petites entreprises, le recrutement d'un cadre est vécu comme une activité à haut risque et un cap difficile à passer.
 C'est la conclusion d'une étude de l'Apec (Agence pour l'emploi des cadres) publiée en mai dernier.

Avant de diffuser une annonce, les dirigeants privilégient souvent leur réseau de relations, le bouche à oreille ou la cooptation. Le gain de temps et d'argent est souvent la raison invoquée.
Si cette attitude peut paraître rassurante, elle n'est pas sans risque. "Pour certains métiers nouveaux, le réseau n’est plus adapté" souligne l'Apec. La diffusion d'une offre et le recours à un conseil en recrutement sont vivement conseillés.

Apec : le recrutement des cadres dans les petites entreprises

Institut de Genech : De 6 à 2 030 élèves en 120 ans

Plus de 2 000 élèves de l’enseignement agricole et général étudient à l’Institut de Genech. 

À l’occasion de son 120e anniversaire, l’école a rendu hommage à son fondateur Félix Dehau.

Zoom sur l’histoire de cet établissement reconnu au-delà du Nord – Pas-de-Calais.

vendredi 5 juillet 2013

Bilan de la concertation sur l'avenir de l'enseignement agricole

Le Ministre de l’agriculture a clôturé le 16 mai dernier la concertation sur l’avenir de l’enseignement agricole. 
 Celle-ci s’inscrivait dans le cadre de la préparation du volet « enseignement agricole » de la loi d’avenir pour l’agriculture, l’agroalimentaire et la forêt.

Quatre groupes de travail étaient chargés de faire des propositions sur : la promotion sociale et la réussite scolaire, enseigner à produire autrement, l’ouverture internationale, l’Europe et la mobilité des jeunes, la formation des enseignants. 
Les rapports de ces groupes de travail sont consultables sur le site Internet dédié à cette concertation.

http://concertation-avenir.educagri.fr/

Languedoc-Roussillon - Moulin de Colagne : L’alliance de la modernité et du savoir-faire ancestral

Depuis 1993, le Moulin de Colagne s’est orienté vers la production de farines de meule conventionnelles et biologiques affinées au Soder. Un savoir-faire ancestral qui a su s’allier à la modernité pour offrir un produit aux qualités nutritionnelles sauvegardées.

Situé dans la région Languedoc-Roussillon, à quelques kilomètres de Marvejols, au coeur des Causses lozériens, le Moulin de Colagne est dans la famille Constans depuis 1917 ! 
Mais en 1261 déjà, on en retrouve la trace lors d’une transaction entre le roi d’Aragon et le roi de France.
Et en 2013, la tradition se perpétue et les techniques modernes ont su trouver leur place sans délaisser pour autant le savoir-faire ancestral.

Découvrez le Moulin de Colagne

jeudi 4 juillet 2013

Rapprochement Terre Comtoise – Ets Gauvain : La division machinisme prend du poids

Le groupe coopératif Terre Comtoise et les Ets Gauvain ont annoncé début mars leur décision d’unir leurs forces dans la partie machinisme.

L’ensemble ainsi constitué sera un acteur majeur en Franche-Comté et en Bourgogne dans le matériel agricole avec plus de 17 sites, un chiffre d’affaires de près de 60 millions d’euros pour 130 collaborateurs. Les activités couvrent la vente de matériels neufs, d’occasion, le service après-vente (banc de puissance, contrôle pulvérisateurs), magasins et libres-services…

Le groupe Terre Comtoise et Ets Gauvain

mercredi 3 juillet 2013

Formation des agriculteurs : premier numéro de VIVE'Actu

VIVEA, le fonds pour la formation des entrepreneurs du vivant, a publié en juin dernier le premier numéro de VIVE’Actu.

Disponible en ligne, ce magazine de 27 pages paraîtra désormais trois fois par an. Avec sept grandes rubriques, il traite de l'actualité de la formation des chefs d’entreprises (agriculture, paysage, travaux agricoles et forestiers) : projets, études, plans de développement, partenariats, bilans, etc. 

"Il s’adresse aux élus VIVEA, formateurs, techniciens d’organismes de formation mais aussi partenaires techniques et financiers de l’agriculture et de la formation" indique Christiane Lambert, la présidente de VIVEA.

Consulter le premier numéro de VIVE'Actu

"Appréhender l’emploi agricole de demain"

Après un an de présidence du Fafsea, Philippe Peuchot poursuit son mandat en tentant d’orienter la formation professionnelle agricole continue dans le sens des besoins des demandeurs d’emploi.

Il agit donc dans la continuité de son prédécesseur tout en y ajoutant son empreinte.

Quelles sont les missions du Fafsea ?

mardi 2 juillet 2013

Les bénéfices d'un comité d'entreprise pour les salariés agricoles

Un accord signé le 4 décembre 2012 entre les représentants des salariés et des employeurs agricoles prévoit la mise en place d'un dispositif national et inter-entreprises d'accès à des actions sociales et culturelles.

Les salariés des entreprises agricoles et forestières, du paysage et des CUMA (Coopératives d'utilisation de matériel agricole) pourront bénéficier de ces mesures dès qu'ils auront plus de 6 mois d'ancienneté. 
Pour les mettre en place, les partenaires sociaux ont créé "l'association sociale et culturelle paritaire en agriculture" (ASCPA)
Le financement est assuré par une nouvelle cotisation de 0,04 % des salaires à la charge exclusive des employeurs.

Consulter l'accord du 4 décembre 2012

Apecita Bourgogne-Franche-Comté Le job dating, une autre façon de recruter

Le job dating permet à la fois de rencontrer un maximum de candidats en un minimum de temps, de diversifier les profils, et de pouvoir juger « en situation » leur potentiel.

L’objectif de cette méthode de recrutement est de mettre en relation facilement et surtout rapidement de nombreux candidats avec des employeurs.
En général, les temps d’échange sont brefs : plusieurs recruteurs et candidats sont présents dans un même lieu, la sonnerie retentit et c’est parti pour 15-20 minutes de rencontre « express ».

Comment se déroule un job dating ?

Tout savoir sur l’Inspection de l’enseignement agricole

Placée auprès de la directrice générale de l’enseignement et de la recherche, Mireille Riou-Canals, l’Inspection de l’enseignement agricole est chargée des missions permanentes d’inspection, d’expertise et d’appui.

Elle contribue à l’animation générale du système d’enseignement et de formation professionnelle agricoles et participe à la formation initiale et continue des personnels de l’enseignement.

Hervé Savy, doyen de l’Inspection de l’enseignement agricole, nous la présente plus en détail.

lundi 1 juillet 2013

Conseiller agricole : des connaissances techniques et de l'écoute

Le site Internet des Chambres d'agriculture consacre une page au métier de conseiller agricole, ses champs d'activité, ses interlocuteurs et les compétences requises

Ce métier nécessite de bonnes connaissances techniques mais "au-delà de l’expertise, il requiert des qualités d’écoute, un sens du contact, des capacités d’argumentation", indique le site. 
La formation d'ingénieur est le plus souvent demandée « mais les profils de recrutement s’ouvrent vers les titulaires de diplôme du troisième cycle (biologie, économie et gestion, droit, aménagement, environnement) ». 
En vidéo, deux conseillers de la Chambre d'agriculture d'Eure-et-Loir témoignent sur leur métier au quotidien.

Chambres d'agriculture : être conseiller agricole aujourd'hui

A.N.D.E.S. : Des producteurs solidaires de l’aide alimentaire

Fournir des fruits et légumes frais de qualité à des personnes en situation de précarité, tout en soutenant une agriculture paysanne locale.
Voilà l’objectif du programme Uniterres, mis en place par l’A.N.D.E.S, Association nationale de développement des épiceries solidaires.

Exemple en Poitou-Charentes, où le projet a été lancé en 2012.