dimanche 29 décembre 2013

Commission régionale Bourgogne-Franche-Comté-Alsace : La part des CDI poursuit sa croissance

Lors de ses trois commissions régionales, Véronique Jan, déléguée régionale Apecita Bourgogne - Franche-Comté - Alsace a dressé un bilan de l’activité 2012 en termes d’emploi.

Si au niveau national, l’Apecita enregistre en 2012 une légère baisse des offres d’emploi et du nombre de candidats inscrits (- 5 %) par rapport à 2011, la tendance est plutôt à la hausse en Alsace - Bourgogne - Franche- Comté : le nombre de postes proposés a progressé de + 8 % par rapport à 2011, avec 819 postes gérés par la délégation, de même que les inscriptions des candidats (+ 3 %).
L’Apecita a enregistré 251 postes en Alsace en 2012, 403 en Bourgogne et 165 en Franche-Comté. 317 candidats se sont inscrits en Alsace, 544 en Bourgogne et 220 en Franche-Comté.

Le marché de l'emploi en Bourgogne Franche Comté Alsace

samedi 28 décembre 2013

Commission régionale Bourgogne-Franche-Comté-Alsace : Ré-enchantons le travail

Miser sur la motivation et l’intelligence des salariés devrait être une priorité pour les employeurs.
L’ancienne façon de considérer le travail prônée par Taylor, cette organisation scientifique du travail découpée verticalement entre ceux qui pensent et ceux qui font, et horizontalement en une succession de tâches simples, ne fonctionne plus. Ce type d’organisation du travail présente l’inconvénient de laisser peu de place à l’humain. Celui-ci
s’ennuie et perd de sa motivation.


Catherine Tanguy, de l’institut Faros, a abordé la thématique du ré-enchantement du travail lors de la commission régionale de la délégation Apecita Bourgogne - Franche-Comté - Alsace.

En quoi consiste le ré-enchantement au travail ?

vendredi 27 décembre 2013

Mr. Goodfish : Bon pour la mer, bon pour vous

Il n’y a pas que les fruits qui sont de saison. Les poissons aussi ! Le programme Mr. Goodfish sensibilise les consommateurs, les restaurateurs et les professionnels de l’industrie poissonnière à la pêche durable. Les stocks de poissons et de produits de la mer ne sont pas illimités. Beaucoup d’entre eux sont surexploités.

Alors faut-il arrêter d’en manger ?

jeudi 26 décembre 2013

Pôle de compétotivité agroalimentaire : Valorial consolide sa vocation business

Créé en 2006, le pôle de compétitivité agroalimentaire Valorial compte 270 adhérents (entreprises, organismes de recherche et de formation), dont 60 % d’industriels.

Ancré dans le grand Ouest, premier bassin agroalimentaire, il a pour vocation d’optimiser les chances de succès de projets d’innovation alimentaire de plusieurs filières (produits laitiers, viandes de boucherie, volaille, charcuterie-salaison, légumes, produits de la mer ou boulangerie-pâtisserie) en intervenant dans cinq domaines d’expertise : la nutrition santé animale et humaine, la qualité et la sécurité des aliments, les technologies innovantes, les usages et le marketing alimentaires et les ingrédients fonctionnels.

Pour en savoir plus sur Valorial

mardi 24 décembre 2013

Agroalimentaire & innovation : Les Petits Anis de Flavigny, Miam d’or 2013

Le titre de Miam d’or 2013, c’est-à-dire de la meilleure innovation alimentaire millésime 2013 en région Bourgogne, a été décerné à la Société des anis de Flavigny (Flavigny-sur-Ozerain, Côte-d’Or) pour les Petits Anis®, petits bonbons (de la taille d’une lentille) en étui de poche (18 g).

Le concours régional de l’innovation alimentaire récompense un produit (ou un service, un emballage, etc.) sur le point d’être commercialisé ou déjà en vente depuis moins d’un an.

Il est soutenu par le conseil régional de Bourgogne, l’Aria Bourgogne et le pôle de compétitivité Vitagora. Pour le millésime 2013, seize produits créés par quatorze professionnels bourguignons étaient en course.

Qu'est-ce que les Miam ?

lundi 23 décembre 2013

Aquimer : Développer l’aquaculture et la pêche dans l’alimentation

Aquimer accompagne les entreprises du secteur des produits aquatiques en matière de recherche et développement. Ce pôle de compétitivité labellise les projets.

De la pêche à l’aquaculture, en passant par la transformation agroalimentaire du produit, c’est toute la filière qui bénéficie de cette recherche.

Depuis 2005, 64 projets ont été financés à hauteur de 115 millions d’euros.
Par exemple, la résistance des poissons d’élevage aux agents pathogènes a été abordée dans le projet Re-Sist.

Aquimer en détail

dimanche 22 décembre 2013

Covifruit, Olivet (45) : Un drive pour atteindre la croissance

En 2013, les « drive » ont le vent en poupe dans la plupart des chaînes de supermarchés du territoire, mais pas seulement. Ainsi, un « drive » spécialisé dans la fourniture de produits locaux du Loiret ouvre ses portes chez Covifruit, à Olivet, à proximité d’Orléans. Sur le site Internet de l’entreprise, les clients pourront commander leurs produits et venir les retirer directement en magasin.

Covifruit, producteur de liqueur de poire et commerce de produits locaux dans le Loiret, ouvre un « drive » pour relancer sa croissance. Un projet innovant, qui a reçu l’aide d’Ardan centre. Le démarrage était prévu cet automne.

Covifruit en détail 

samedi 21 décembre 2013

Méthanisation en établissement de formation : Un outil pour les agriculteurs et le territoire

Depuis qu’il est doté d’une unité de méthanisation agricole, Reinach, l’établissement public de formation agricole basé à Chambéry, fourmille d’idées pour faire progresser la filière méthanisation. Il entend notamment former les agriculteurs, faire de la recherche et développer la filière sur le territoire

« À travers ce projet, nous avons un rôle de vulgarisation auprès des agriculteurs. Nous tenons également à communiquer sur la progression de notre travail auprès de la communauté scientifique. La finalité du projet est de fournir aux agriculteurs un outil qui leur permette d’éviter les pièges administratifs en amont du projet, mais aussi de gérer de façon optimale l’unité de méthanisation une fois qu’elle est installée », souligne Loïc Deplaude, l’ingénieur chef de projet de partenariat méthanisation, recruté en septembre 2012.


Pour en savoir plus sur l’Établissement de Reinach

vendredi 20 décembre 2013

Les Wine Startups se regroupent

Associer les nouvelles technologies au monde du vin et renforcer la visibilité auprès de leurs clients : tels sont les objectifs de treize jeunes entreprises bordelaises qui se sont associées en juin dernier.

Créées il y a moins de trois ans, elles se sont regroupées pour renforcer leur visibilité auprès des viticulteurs mais également du grand public.

Basées à Bordeaux, elles profitent de l’image de marque de la ville mais elles espèrent une répercussion mondiale.
Point important, ces entreprises ont permis de créer 80 emplois. Si leur activité se développe, il y a fort à parier qu’elles auront bientôt besoin de recruter des candidats intéressés par les nouvelles technologies et le monde vitivinicole.

Focus sur l'activité de ces Wine Startups.

jeudi 19 décembre 2013

Répertoire des métiers des collectivités territoriales

Le centre national de la fonction publique territoriale vient de publier l'édition 2013 de son répertoire des métiers.

Avec 289 fiches, le document décrit les métiers et fonctions des collectivités territoriales. Ces emplois concernent notamment le développement local, l'environnement, les espaces verts, mais aussi la formation, l'animation, ou les nouvelles technologies d'information et de communication.

Si vous recherchez un emploi, ce répertoire est utile pour découvrir les postes disponibles, les profils souhaités et construire votre argumentaire. Il peut être consulté en ligne à l'adresse ci-dessous.
 
Le répertoire des métiers des collectivités territoriales

mercredi 18 décembre 2013

Jeunes dans l'entreprise : travaux interdits ou réglementés

Un décret du 11 octobre 2013 modifie la réglementation relative aux travaux interdits et réglementés pour les jeunes de moins de dix-huit ans. Un second décret publié le même jour actualise la liste des travaux concernés.

Les travaux interdits concernent notamment l'utilisation des produits chimiques, les travaux en hauteur sur les arbres et l'abattage d'animaux.
Les entreprises qui emploient des jeunes en formation professionnelle peuvent néanmoins obtenir une dérogation collective.
Elle est délivrée par l'inspection du travail pour une durée de trois ans sous respect de certaines conditions.

Consulter la liste des travaux interdits et réglementés

En savoir plus sur l'autorisation collective pour les jeunes en formation

Midi-Pyrénées : une vidéo sur les métiers de l'agriculture

La Chambre régionale d'agriculture de Midi-Pyrénées a réalisé une vidéo sur les métiers de l'agriculture.

En élevage bovin, cultures, viticulture et production de foie gras, deux jeunes agriculteurs et deux salariés agricoles témoignent sur leur formation, leur parcours professionnel et les raisons qui les ont amenés à travailler dans l'agriculture.
Outre la passion pour leur métier au contact du vivant, ils montrent également que leur activité permet un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle.

Voir la vidéo sur les métiers de l'agriculture

mardi 17 décembre 2013

Près de 10 millions d’hectares « bio » en Europe

Selon les données d’Eurostat, 9,6 millions d’hectares étaient cultivés en bio dans l’Union européenne en 2011, contre 5,7 millions en 2002.
« Au cours de la dernière décennie, la superficie biologique dans l’UE s’est améliorée d’environ 500 000 hectares par an, note la Commission européenne. Il s’agit d’une augmentation importante, mais l’agriculture biologique ne représente que 5,4 % de la superficie agricole utilisée totale en Europe. »

On compte plus de 186 000 exploitations agricoles bio à travers l’Europe, dont une très large majorité (83 %) dans les États membres ayant adhéré à l’UE avant 2004. « Les pays européens qui ont rejoint l’Union européenne depuis 2004 ne sont pas à la traîne, ajoute la Commission. Ils ont enregistré un taux de croissance annuel de 13 % de leur superficie en bio entre 2002 et 2011 et ont vu leur nombre d’exploitations presque décupler entre 2003 et 2010. »
Les pâturages permanents représentent la plus grande part des cultures bio (environ 45 %), suivis par les céréales (environ 15 %) et les cultures permanentes (environ 13 %). Du côté des productions animales, ce sont essentiellement des ovins (46 %) et les bovins (30 %). À noter qu’en Europe, les exploitations biologiques ont tendance à être plus grandes que les fermes conventionnelles et les agriculteurs à leur tête sont souvent plus jeunes.

Le diplôme français d'ingénieur reconnu comme Master aux Etats-Unis

Évalué jusque-là comme un "Bachelor" américain, le diplôme français d'ingénieur est désormais reconnu aux Etats-Unis comme l'équivalent d'un "Master of Science" par l’AACRAO (American Association of Collegiate Registrars and Admissions Officers). 

Celle-ci établit les équivalences internationales des diplômes d’enseignement supérieur dans tous les États-Unis.
Cette reconnaissance devrait favoriser l'intégration des ingénieurs français dans les écoles doctorales américaines et leur faciliter l'obtention d'un visa de travail.

En savoir plus sur le site Studyrama grandes écoles

RegionsJob : comment recrute-t-on en 2013?

Le site Internet RegionsJob a réalisé une enquête sur le travail des recruteurs.

Parmi les outils utilisés, les sites d'offres d'emploi sont les premiers cités : 82 % des professionnels du recrutement les sollicitent pour trouver le bon profil.
Ils devancent les candidatures spontanées (68%) et Pôle emploi (58 %).
Enfin, 49 % des personnes enquêtées affirment utiliser les réseaux sociaux.

Parmi les critères de choix, l'expérience et le parcours du candidat arrivent largement en tête (66 %) devant sa personnalité (23 %). Pour recruter, 60 % proposent également des tests. Mais la graphologie ne compte plus que 10 % d'adeptes.

Consulter les résultats complets de l'enquête

lundi 16 décembre 2013

L’Apecita et Terralia s’engagent pour l’emploi

À l’occasion du Salon Sitevi qui se déroulait à Montpellier, le pôle de compétitivité agricole et agroalimentaire
du Sud-Est, Terralia, et l’Apecita ont signé une convention de partenariat.

Le pôle Terralia souhaite ainsi pouvoir proposer aux entreprises adhérentes des services complémentaires, adaptés à leurs besoins en compétences, mais aussi attirer et intégrer des talents clés dans les filières du pôle (fruits et légumes, vigne et vin, céréales) et favoriser l’insertion professionnelle et l’employabilité dans ces secteurs et ce, sur les trois régions d’action du pôle (Paca, Rhône- Alpes et Languedoc-Roussillon).

Le président de l’Apecita, Jean-Marie Blin, et celui de Terralia, Yves Bayon de Noyer, ont tous deux insisté sur le fait que cette convention ne se résume pas à une « simple signature » mais qu’une lettre de mission précise y est adossée, traduisant ainsi un engagement fort des deux structures pour accompagner le développement des entreprises et faciliter l’emploi des salariés des secteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire.

Ainsi, l’Apecita mettra en place une offre de communication et de services à tarifs préférentiels pour les adhérents du pôle Terralia, en particulier dans le cadre de leurs recrutements. Quant au pôle Terralia, il fera bénéficier l’Apecita de ses données de terrain : fiches métiers, formations labellisées, offres d’emploi et de stages…
Les deux partenaires développeront également en commun de nouveaux outils au service des entreprises mais aussi des organismes de formation.

Recherche d'emploi : deux façons de déposer une candidature spontanée

Sur le blog des consultants Apec, Jean-Marie Blanc rappelle que la candidature spontanée peut prendre deux formes.

La première, la plus classique, consiste à envoyer votre candidature en argumentant sur votre connaissance de l'entreprise et ce que vous pouvez lui apporter.
Dans la seconde méthode, l'idée n'est plus de rechercher directement un emploi mais d'obtenir un entretien avec un professionnel qui pourrait vous aider et vous faire profiter de son réseau.

L'objectif est de vous faire connaître et de prendre une longueur d'avance si un poste se libère.

Pour en savoir plus :
Candidature spontanée : comment faire ?

Directeur technique viti-vinicole : de la vigne au vin

Sur un domaine viticole, le directeur technique est responsable de toute la production, depuis la plantation de la vigne jusqu'à la mise en caisse du vin.

Avec le chef de culture, il supervise l'ensemble des travaux viticoles.
Avec l'oenologue ou le maître de chai, il contrôle la vinification, l'élevage, le stockage et la mise en bouteille.

Ce poste nécessite de solides connaissances techniques, notamment des démarches qualité, mais également un bon sens de la communication. La formation demandée est le plus souvent le niveau ingénieur complété par le diplôme national d'oenologue.

Consulter la fiche métier directeur technique viti-vinicole
Consulter les formations préparant à ce métier

dimanche 15 décembre 2013

Une convention-cadre pour l'emploi des salariés agricoles

Le Ministre du travail Michel Sapin et le Ministre de l'agriculture Stéphane Le Foll ont signé le 25 septembre dernier la convention-cadre triennale (2013-2015) entre l’État et les organisations professionnelles et syndicales de la production agricole.

Elle a trois objectifs : favoriser l'emploi des jeunes, renforcer le maintien et l'évolution des salariés les plus fragiles, et sécuriser les reconversions professionnelles.

Pour cela, la convention préconise de faire appel à tous les dispositifs existants : emploi d'avenir, contrat de génération, contrat de professionnalisation, Adema (accès des demandeurs d'emploi aux métiers agricoles), etc.

Télécharger la convention-cadre

samedi 14 décembre 2013

Recrutement : le comportement des candidats évolue

Malgré un taux de chômage élevé, beaucoup de recruteurs reçoivent un nombre insuffisant de candidatures pertinentes.
L'Apecita a voulu connaître les raisons en enquêtant auprès de 250 demandeurs d'emploi afin d'évaluer leurs pratiques. Avec la multiplication des sites Internet d'offres d'emploi, il apparaît que les candidats tendent à chercher uniquement des annonces et des adresses. "Remplir un questionnaire, détailler leurs compétences, leurs expériences, exprimer leurs attentes et souhaits professionnels,...leur semble fastidieux" constate Nicole Le Hir qui a réalisé cette enquête.

Lire l'interview de Nicole Le Hir paru dans Tribune Verte

vendredi 13 décembre 2013

Eduter-Cnpr : se former à distance en langues étrangères

Le centre Eduter-Cnpr (Centre national de promotion rurale) de Clermont-Ferrand propose une formation à distance en langues pour tous les publics, et adaptée au secteur agricole. Quatre langues sont concernées : l'allemand, l'anglais, l'espagnol et l'italien.

Pour un projet personnel ou professionnel, le centre adapte son offre en fonction des besoins et du niveau déjà acquis. La vidéo disponible sur Youtube à l'adresse ci-dessous permet de découvrir l'équipe des six formatrices et les différentes formules proposées.

Voir la vidéo sur l'offre langues d'Eduter-Cnpr

jeudi 12 décembre 2013

Onisep : les métiers du paysage

En partenariat avec l'union nationale des entreprises du paysage (Unep), l'Onisep publie un "zoom métiers" consacré à ce secteur.
Quelle orientation après la 3ème ? Quelles sont les spécialisations possibles ? En quoi consiste le nouveau BTSA aménagements paysagers ? Quelle école d'ingénieur choisir? 

Ce document répond concrètement aux questions des jeunes intéressés par cette filière qui recrute du CAP au niveau ingénieur.
Plus d'une vingtaine de professionnels témoignent également sur leur parcours et leur travail au quotidien.

A commander à l'adresse ci-dessous ou à consulter dans votre établissement.
Onisep : les métiers du paysage

AFPR : une formation complémentaire avant l'embauche

L'action de formation préalable au recrutement (AFPR) permet à un demandeur d'emploi de compléter ses compétences avant son embauche. Elle s'adresse aux personnes inscrites à Pôle emploi qui postulent à une offre d'emploi pour un CDD de 6 à 12 mois, un contrat de professionnalisation à durée déterminée ou un contrat d'intérim d'au moins 6 mois.

Le demandeur d'emploi perçoit une rémunération pendant cette formation.
Quant à l'employeur, il reçoit dès l'embauche une aide maximale qui varie de 5 à 8 euros par heure de formation.

Pour en savoir plus : Pôle emploi : l'action de formation préalable au recrutement

mercredi 11 décembre 2013

Ecam Lyon: devenir ingénieur bois par l'alternance

L'école catholique des arts et métiers (Ecam) de Lyon a ouvert en septembre 2013 une nouvelle formation d'ingénieur, spécialité bois, en alternance.

Ce cursus de trois ans a été construit avec la Chambre de commerce et d'industrie de l'Ain et la MFR de Cormaranche-en-Bugey. Il accueille cette année 12 apprentis titulaires d'un bac+2. 

Cette formation s'oriente vers trois secteurs principaux : construction, énergie et achats/logistique. Elle est rémunérée par l’entreprise selon deux statuts : contrat d’apprentissage pour les étudiants de moins de 26 ans, ou formation continue pour les salariés.

Consulter la fiche Ingénieur Ecam Spécialité bois

mardi 10 décembre 2013

Recherche d'emploi : que dire quand on a un profil atypique ?

Vous avez un profil ou un parcours atypique : formation sans rapport avec le poste, plusieurs expériences professionnelles courtes, périodes de chômage, etc.. 

Si vous êtes convoqué en entretien, cela signifie que le recruteur s'intéresse néanmoins à vous. Vous devez donc le rassurer en apportant des éléments positifs : votre capacité d'adaptation, votre mobilité, votre esprit d'équipe, etc. 

Pour argumenter, appuyez-vous sur des cas concrets de votre parcours professionnel. Et n'hésitez pas à donner des références de personnes qui pourront témoigner sur vos qualités. 

Pour en savoir plus : Que dire quand on a un profil ou un parcours atypique ?

jeudi 5 décembre 2013

Formation Agroéquipements « Deux BTS, pour une filière dynamique et pourvoyeuse d’emploi »

La filière française de l’agroéquipement est une filière qui se porte très bien, dynamique et fortement exportatrice.
Elle pèse environ 5 milliards d’euros mais peine à recruter quels que soient les niveaux de formation.
Le zoom sur deux formations, le BTS agroéquipement proposé par le ministère de l’Éducation nationale et le BTS génie des équipements agricoles, proposé par le ministère de l’Agriculture.
Pour Michel Morel, président de l’Aprodema, ces deux BTS se singularisent avant tout par le profil des candidats.

Présentation des 2 BTS en détail

mercredi 4 décembre 2013

Protection des cultures : Des places à prendre

Les métiers liés à la protection des cultures offrent de nombreux débouchés et de nombreuses perspectives.
Pourtant, les employeurs ont de plus en plus de difficultés à recruter. Si la solution immédiate est de s’adapter aux profils des personnes qui postulent, il faut trouver une solution plus durable.

Qui recrute pour la protection des cultures ?
Quels sont les métiers et les formations ? www.agrorientation.com

mardi 3 décembre 2013

Concours national de reconnaissance des végétaux : Le savoir-faire et l’excellence à l’honneur

Le Salon Paysalia accueille, pour la seconde fois, le concours national de reconnaissance des végétaux.
À l’origine, cet événement a été initié par l’Unep – les entreprises du paysage –, dont les professionnels avaient mis en avant leurs besoins de recruter des jeunes sachant reconnaître et connaître les végétaux qui sont le coeur du métier.
Suite à la mise en place d’initiatives départementales et régionales depuis de nombreuses années, l’organisation professionnelle a décidé d’organiser, pour les élèves du secteur paysager, un concours à portée nationale en 2011, lors du dernier Salon Paysalia.
Pour cette nouvelle édition, Val’hor, l’interprofession de l’horticulture et paysage porte désormais le concours et l’ouvre aux élèves de la production horticole et du commerce des végétaux.

Le concours Reconnaissance des végétaux à Paysalia

Paysalia, Salon paysage, jardin & sport : La filière paysage s’installe à Lyon

Pour cette 3e édition, Paysalia continue son développement rapide et accueillera plus de
350 exposants venus de toute l’Europe, précise Noémi Petit, directrice du Salon.

Tous les fournisseurs de la filière du paysage ont leur place sur Paysalia, la volonté de
ce salon professionnel étant de permettre à ses visiteurs (12 à 14 000 professionnels)
de rencontrer l’ensemble de leurs fournisseurs en un lieu unique.
Les professionnels, qui conçoivent, créent ou entretiennent les espaces verts publics ou privés rencontreront sur Paysalia des fabricants de matériel, d’outillage, tout comme les producteurs pépiniéristes, les fabricants de mobilier urbain, de bassin, de système d’arrosage… »

Paysalia en détail

dimanche 1 décembre 2013

Écoles de l’apprentissage : Un dispositif unique pour faciliter l’accès à l’apprentissage

Pas toujours facile de trouver un maître d’apprentissage.
C’est la difficulté que la Région Languedoc-Roussillon a choisi de pallier en mettant en place le dispositif « école de l’apprentissage ».
Objectif : accompagner le jeune dans la construction de son projet professionnel et lui donner en main toutes les clés qui lui permettront de signer un contrat d’apprentissage.

Zoom sur la filière agricole avec la maison familiale et rurale de Vézénobres, dans le Gard.