vendredi 28 février 2014

Qu’en est-il de l’agriculture non conventionnelle ?

Il est difficile de donner une définition claire et précise de l’agriculture non conventionnelle. Il coexiste, sur le territoire, une multitude de modes de productions qui va d’une agriculture intensive qu’on peut qualifier d’« industrielle » à la permaculture, basée sur les techniques de l’agriculture bio tout en prenant en compte le respect des écosystèmes et le facteur humain.
 Entre ces deux « extrêmes », on trouve, l’agriculture raisonnée, l’agriculture « écologiquement intensive », l’agroécologie, l’agriculture biologique ou encore l’agriculture biodynamique.
Sans opposer tous ces formes d’agriculture, chacun peut placer le curseur de la « conventionalité » suivant ses propres définitions et ses propres valeurs.

Si certaines définitions restent encore floues (je pense notamment à celle de l’agroécologie qui diffère entre celle de Pierre Rabhi, qui en fut l’un des pionniers, et celle du ministère de l’Agriculture), certaines formes d’agriculture « non conventionnelles » sont définies plus précisément, notamment celles qui répondent à un cahier des charges : c’est le cas de l’agriculture biologique, l’agriculture biodynamique ou encore le label Nature et Progrès.

Comment définir l'agriculture non conventionnelle ?

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