Recherche d’emploi « Les pratiques et le comportement des candidats ont fortement évolué »

Depuis quelques années, l’Apecita fait le constat d’une difficulté des recruteurs à recevoir un nombre suffisant de candidatures pertinentes et celui d’une évolution des comportements des demandeurs d’emploi.

Une enquête menée récemment auprès de 250 personnes révèle une série de changements profonds chez ces candidats, tant dans leurs méthodes de recherche d’emploi que dans leurs outils.

Le point avec Nicole Le Hir, chargée d’études.

Rupture conventionnelle : Une sur deux liée à un conflit avec la hiérarchie

Dans 46 % des cas, la rupture conventionnelle est liée à une mésentente avec la hiérarchie. Les insatisfactions liées au salaire ou au contenu du travail, ou encore l'existence d'un projet professionnel ou personnel sont également cités.

C'est ce que révèle une étude du Ministère du travail (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques) publiée le mois dernier. Bénéficier des allocations chômage et éviter un conflit sont les raisons principales qui amènent les salariés à faire ce choix. Immédiatement après la rupture, 25 % d'entre eux ont retrouvé un emploi, alors que 60 % étaient en recherche.

Consulter l'étude sur la rupture conventionnelle (Dares)

Retrouvez l'Apecita au Forum Emplois et stages à Marseille le 5 Novembre 2013

Dans le cadre de la semaine Université / Entreprise, prévue du 4 au 8 Novembre 2013, se tiendra le Forum Emploi & stages.

Il se déroulera le Mardi 5 novembre de10 h à 17 h au Palais de la bourse, Chambre de Commerce et d'Industrie de Marseille Provence.

L'APECITA vous recevra sur son stand pour des conseils orientation et emploi en lien avec l'agriculture, l'agroalimentaire et l'environnement.

http://sciences.univ-amu.fr/

Chambre d’agriculture régionale du Centre : L’économie au service de l’agriculture

Christophe Chenut, 45 ans, est le nouveau directeur général de la chambre régionale d’agriculture du Centre. Économiste de formation, le Corrézien d’origine revient à ses premières amours, l’agriculture, les bagages remplis d’expériences en économie, qu’il a explorée sous de multiples facettes.

« On apprend autant voire plus de ses échecs que de ses réussites : il faut savoir pourquoi et en tirer les leçons pour aller de l’avant », Christophe Chenut .

Quel est le parcours de Christophe Chenut ?

Contrat de génération : accord dans la filière alimentaire

Les branches patronales et les organisations syndicales (CFDT, CFTC et FO) de la filière alimentaire ont signé le 18 juillet 2013 un accord relatif au contrat de génération. Il concerne 820 000 salariés et 80 000 entreprises.

Pour les jeunes, cet accord prévoit au cours des trois prochaines années le recrutement de 30 000 CDI, le développement de l’alternance et la généralisation d’un parcours d’intégration dans l’entreprise.

Pour les salariés plus âgés, l'objectif est le développement des entretiens de seconde partie de carrière et des bilans de compétences dès 45 ans, le maintien dans l’emploi des seniors, et le recrutement de 4 500 salariés de plus de 50 ans.
 
Consulter l'accord sur le contrat de génération dans la filière alimentaire

Binic (22) La Minoterie du Bocage reprend son activité

Passée dans le giron des Moulins associés, la Minoterie du Bocage à Binic (22) reprend du service après 18 mois d'arrêt.

Par l'acquisition de cet outil dédié à la production de farines boulangère et biscuitière, le nouveau dirigeant fait le choix de la relocalisation pour accroître sa position au nord de la Bretagne.

Découvrez la Minoterie du Bocage

Xurian Environnement : La microbiologie au service de l’agronomie

Depuis 1998, la société Xurian Environnement propose une gamme de biostimulants pour l’agriculture.

Dans ses nouveaux locaux de Béziers, elle devrait bientôt rapatrier la production. Alexandre Bry, son directeur général, espère voir passer l’effectif de ses équipes de 15 à 30 personnes d’ici 18 mois.

Pour en savoir plus sur Xurian Environnement

Formation à distance pour les agents de remplacement

Les services de remplacement lancent la première formation ouverte à distance (FOAD) dédiée à leurs salariés. Le thème retenu est la prise de consignes écrite, « facteur clé de la réussite de toute mission de remplacement ». Cette formation créée avec le CFPPA de Laval alterne des séquences sur site et des enseignements à distance via Internet.

A l'issue de la formation et après une mise en situation pratique sur une exploitation, le salarié reçoit une attestation de réussite et un kit pour mettre en application ses nouvelles connaissances.

Pour en savoir plus, une vidéo est disponible à l'adresse ci-dessous : Formation à distance "Prise de consignes"

Cécile Le Garrec, ouvrier saisonnier en horticulture « Je gagne moins, mais je me sens plus épanouie »

Cécile Le Garrec à presque toujours travaillé dans l’univers horticole. Mais après plus de dix ans de carrière, elle a commencé à se poser des questions.

Un questionnement qui l’a conduite vers un bilan de compétences, qu’aujourd’hui elle ne regrette absolument pas.

Quel est le parcours de Cécile Le Garrec ?

Salariat agricole : Travail fait mais pas imposé

S’il est un confort pour certaines, le salariat peut être une nécessité pour d’autres fermes.

En s’installant avec ses parents, Patrick Deloche avait bien conscience qu’il devrait un jour remplacer leur travail par de la main-d’oeuvre extérieure. En effet, après un brevet de technicien agricole (BTA), Patrick Deloche est revenu sur la ferme familiale en intégrant le Gaec alors composé de trois associés : son père, sa mère et lui-même.

Pourquoi choisir le salariat ?

DISPOSITIF PAYS’ APPRENTIS : Favoriser la mobilité des apprentis

Pour permettre aux apprentis du paysage de suivre leur apprentissage dans l’entreprise de leur choix sans que la distance ne soit un obstacle, l’Unep et les organisations syndicales de salariés ont créé un dispositif innovant : Pays’ Apprentis. 

Il s’agit d’un dispositif d’aide financière visant à favoriser la mobilité des apprentis lors de leur formation en apprentissage dans les entreprises du paysage.

Comment profiter de Pays'Apprentis ?

Permanences mensuelles de l'Apecita en région centre : L’Apecita va à la rencontre de ses adhérents

La délégation Apecita Centre a mis en place des permanences mensuelles au sein des chambres départementales d’agriculture depuis janvier 2013.
L’objectif : optimiser sa mission d’accompagnement des personnes en recherche d’emploi situées en région. 

Basée à la cité de l’agriculture d’Orléans, la conseillère emploi-formation de la délégation régionale se déplace désormais toutes les six semaines dans les chambres d’agriculture des autres départements. « Un besoin se faisait sentir sur le terrain. Nos candidats étant répartis sur les six départements de la région Centre. Il nous a semblé naturel d’aller les rencontrer sur place dans l’objectif d’assurer un service de proximité », témoigne Jeannine Perier, déléguée régionale de l’Apecita.

Comment se déroulent ces permanences mensuelles ?

Hugues Zeller : Repartir à zéro

Hugues Zeller est animateur et responsable administratif du service de remplacement du Puy-de-Dôme depuis la fin du mois de mai dernier.

Malgré une solide expérience, avec 35 ans passés dans le milieu agricole, c’est seulement deux ans après son arrivée en Auvergne qu’il parvient à trouver un emploi.

Quel est son parcours ?

Bionalan Inventeur et commercial !

Entre imaginer une innovation, la créer et la commercialiser, il y a un fossé que tout le monde ne serait pas prêt à franchir.
Alain Bon, l’inventeur, a dû prendre en charge la commercialisation d’une de ses inventions contre son gré au début. Il en est maintenant très satisfait.

"Quand nous nous sommes  intéressés  à la récolte de la menue paille et à la conception d’un récupérateur de celle-ci, aucune donnée n’existait sur le sujet, introduit Alain Bon, entrepreneur de travaux agricoles et forestiers dans les Ardennes et inventeur. Nous pensions alors récolter entre 300 et 400 kg/ha. Avec le recul, nous savons désormais
que l’on peut récolter presque 20 m3 de menue paille par hectare. Soit deux tonnes
approximativement. »

Alain Bon et son invention

"Accompagner les personnes en période de rupture"

Avec 747 000 retraités à ce jour et 1,4 million de cotisants dans plus de 161 000 entreprises, le Groupe Agrica est l’interlocuteur privilégié des entreprises et des salariés agricoles en matière de retraite complémentaire, d’épargne, de prévoyance et de santé.

Grâce à sa politique d’action sociale active, Agrica s’engage en matière de prévention et accompagne les salariés et les retraités agricoles dans les moments difficiles que la vie leur réserve.
Au-delà des aides individuelles dédiées aux ressortissants du Groupe, Agrica se mobilise sur les grands sujets de demain à travers de nombreuses actions collectives que nous présente Gérard Sablot, directeur délégué aux activités sociales.

Gérard Sablot Directeur délégué aux activités sociales à Agrica

"La solidarité et l’emploi au coeur de nos missions"

Au service des associations des diplômés de six écoles agronomiques, la fédération UniAgro vise à renforcer les liens entre les diplômés de ces écoles.

Chaque association s’est fixé trois grandes orientations.
La première d’entre elles est de créer une dynamique de solidarité entre adhérents. 
Seconde mission, les associations ont à coeur de venir en aide aux jeunes diplômés qui s’insèrent dans la vie professionnelle mais aussi de soutenir tous les diplômés dans des moments clés comme les périodes de changement de carrière, de chômage… ou encore de départ en retraite.
Enfin, les associations s’attachent à défendre et à promouvoir leur école et leurs formations et à faire reconnaître la place des ingénieurs et scientifiques du vivant dans la société.

Son président Constant Lecoeur nous présente les principales missions de la fédération. Constant Lecoeur Président de la fédération UniAgro

Domaine viticole de Preignes-le-Vieux : À l’heure des vendanges

Avec 160 hectares de vignes à vendanger ; mieux vaut être organisé !

Pendant un mois, le vigneron héraultais Robert Vic court mais ne s’essouffle pas. Son secret : des salariés polyvalents, des cépages diversifiés et beaucoup de logistique.

Le domaine de Preignes-le-Vieux emploie 24 salariés. Les 160 ha en production accueillent 17 cépages différents. Les traditionnels Big five : merlot, syrah, cabernet sauvignon, chardonnay et sauvignon côtoient des cépages plus rares pour la région : petit verdot, pinot noir, vermentino… D’une telle diversité sortent plus de 30 vins différents.

Le domaine viticole de Preignes le Vieux en détail

Les fils d’agriculteurs choisissent l’enseignement agricole

Selon une récente étude publiée par le Centre d’études et de prospective du ministère de l’Agriculture, les enfants d’agriculteurs, et plus particulièrement les garçons, préfèrent se tourner vers l’enseignement professionnel et notamment, l’enseignement agricole.

L’envie d’embrasser la même carrière que leurs parents n’est pas étrangère à ce choix ! 

Pourquoi l'enseignement agricole attire ?

Le service d’aide au recrutement de l’Apecita : « Un regard extérieur sur les candidats »

Structure à petit effectif, le GIE Élevages de Bretagne a sollicité le service d’aide au recrutement de l’Apecita pour l’embauche de l’animateur de la Fédération des races de Bretagne.

Un accompagnement qui lui a permis de bénéficier de l'expertise de professionnels tout en lui laissant la maîtrise du choix du candidat.

Retour sur cette collaboration avec Olivier Rosat, directeur du groupement

BTSA Aménagements paysagers : Diplômés et opérationnels d’emblée

Malgré des difficultés ponctuelles, le marché de l’emploi dans le domaine du paysage absorbe facilement les jeunes diplômés prêts à se frotter au monde du travail.

La rénovation du BTSA aménagements paysagers, appliquée dès la rentrée de septembre 2013, veut répondre aux attentes du terrain avec des professionnels aptes dès la sortie de leurs études.

Le BTSA Aménagements paysagers en détail

Jobfonctionnaire : les offres d'emploi du secteur public

En collaboration avec Pôle emploi, un nouveau moteur de recherche spécialisé dans les offres d'emploi du secteur public est en ligne. Il propose des offres de stage, de CDD ou de CDI dans l'administration, les collectivités locales, l'enseignement, les entreprises publiques, etc.

Le site présente une courte description du poste et renvoie vers l’auteur pour, éventuellement, déposer sa candidature. 
Les offres apparaissent dès la page d'accueil par ordre chronologique sans pouvoir distinguer stage, CDD ou CDI. 

Pour cela, utilisez ces termes dans le moteur de recherche.
http://www.jobfonctionnaire.com/

Salaires revus à la baisse pour les diplômés des grandes écoles

Avec un taux net d'emploi de 81,5 % en 2013 pour la promotion de 2012, les diplômés des grandes écoles continuent à s'insérer facilement dans la vie active.

Le salaire annuel moyen brut à l'embauche, hors primes, est de 33 051 euros.
Mais l'étude annuelle de la conférence des grandes écoles (CGE) montre que, entre 2000 et 2013, les rémunérations moyennes (hors primes et en euros constants) des managers ont baissé de 15 % et celles des ingénieurs de 11 %. Par ailleurs, le salaire moyen des femmes reste inférieur de 1 672 euros à celui des hommes.

Consulter l'enquête 2013 de la CGE sur l'insertion des jeunes diplômés

Acheteur-vendeur de fruits et légumes : un fin négociateur

L'acheteur-vendeur de fruits et légumes assure ses approvisionnements auprès d'un réseau de producteurs et vend les produits proposés par son entreprise.
C'est un bon commercial, qui sait conseiller ses clients et négocier le plus souvent par téléphone.

Ce métier nécessite une bonne connaissance des produits, des compétences en techniques de vente, en hygiène et qualité, mais aussi en langues étrangères dans le cas d'une entreprise exportatrice.
Des talents d'organisateur, afin de suivre et évaluer l'activité, sont également indispensables.

Ce poste peut évoluer vers le métier de responsable des achats ou responsable commercial.

Consulter la fiche métier acheteur-vendeur de fruits et légumes

Recrutement : embauchez et fidélisez les meilleurs

Selon le cabinet de recrutement Robert Half, 82,5% des directeurs des ressources humaines se déclarent préoccupés par le départ des meilleurs collaborateurs. Cette préoccupation est particulièrement forte dans les petites et moyennes entreprises.

Le cabinet rappelle quelques conseils de management pour motiver ses collaborateurs : exprimer sa reconnaissance, proposer de nouvelles responsabilités ou encore alléger la charge de travail. Il suggère également, avant tout recrutement, d'évaluer les compétences internes, et en cas de recrutement externe, d'éviter la précipitation en recourant à l'intérim ou au CDD.

Enjeux actuels des PME : recruter et fidéliser les meilleurs

BAC STAV : Du nouveau pour la rentrée

Le Bac technologique sciences et technologies de l’agronomie et du vivant a changé à la rentrée 2013.

Au programme, l’introduction d’une LV2 et deux heures d’accompagnement personnalisé hebdomadaires.

Le détail du nouveau Bac STAV

Olivier Tournadre : Fabriquer des vaches

Olivier Tournadre travaille depuis plus de quinze ans au Herd Book Salers. Passionné par la race salers et la génétique, il parcourt chaque année près de 50 000 km pour rendre visite à la centaine d’éleveurs qu’il suit et conseille. Son truc, c’est de « fabriquer des vaches ».

Olivier Tournadre est un des trois techniciens du Herd Book Salers (HBS). Parmi ses missions, il conseille les éleveurs  sur le choix des génisses à garder ou non après sevrage.

Quel est son parcours ?

Formation : Un panel de formations riche et varié

Avec 9 établissements publics, 8 lycées privés et 11 maisons familiales et rurales, presque toutes les spécialités de l’enseignement agricole sont représentées en Auvergne, que ce soit par la voie de la formation initiale scolaire, celle de l’apprentissage ou celle de la formation continue.

Voici un panorama des différents établissements auvergnats et quelques-unes des formations qu’ils proposent.
Pour plus d’informations, n’hésitez pas à les contacter ou à visiter leur site Internet.

Panorama des établissement de formation en Auvergne

Technicien d'Elevage

Le technicien d’élevage peut exercer son activité dans des productions très variées (production laitière bovine ou caprine, production de viande bovine, production équine, porcine, ovine, avicole…).

Il intervient également sur tous les secteurs de l’élevage : alimentation, reproduction, santé, bâtiments, matériel.

Le métier de Technicien d'élevage en détail

Filière productions animales Les aléas du recrutement

Selon les filières et les spécificités des postes, le secteur des productions animales connaît plus ou moins de difficultés à recruter.

Des emplois variés pour tous les niveaux :
En 2012, 2 697 postes en productions animales ont été confiés à l’Apecita, et ce sur l’ensemble du territoire. 42 % des postes en productions animales concernent des fonctions de conseil (conseiller spécialisé en élevage, inséminateur, vétérinaire…), 23 % les fonctions de production (agent d’élevage, technicien d’élevage, vacher…), 22 % les fonctions commerciales (technicocommercial, responsable commercial achats bovins, collaborateur technico-commercial en fournitures d’élevage…), 16 % les fonctions de recherche et d’expérimentation (formulateur, technicien génétique…).
Si les employeurs mentionnent plusieurs niveaux de formation dans leurs offres d’emploi, les formations les plus recherchées sont bac + 2 (58 % des offres), bac + 3/+ 4 (45 %) et bac + 5 (44 %). 58 % des recrutements sont des contrats à durée indéterminée, 34 % à durée déterminée. 23 % des offres demandent une expérience de 1 à 3 ans.

Illustration avec ces deux témoignages contrastés.

Retour sur le job dating 2012 : Une formule efficace

« Sans cet outil, je ne suis pas sûr que nous serions parvenus à recruter la personne adéquate » : Sébastien Quet, chef de projet recrutement à la Banque populaire du Massif central, est particulièrement satisfait de l’édition 2012 du job dating. « On commençait à se poser des questions... » 
Avant le Sommet de l’élevage, Sébastien Quet avait déjà auditionné une demi-douzaine de candidats au poste de conseiller clientèle agricole. Puis huit autres en ouverture du job dating. 
Sans que ne se produise le déclic. « Des candidats trop jeunes, ou bien motivés mais inexpérimentés, ou encore des candidats à la présentation approximative, nous n’arrivions pas à nous déterminer, à tel point que nous nous sommes demandés si nous allions recruter ! », relate Sébastien Quet. C'est alors que Cyril Fabre s'est assis face à lui, et que le parcours du combattant recruteur a pris fin.

Bilan du job dating de l'Apecita en 2012

L’Inra en Auvergne : Bilan de 5 ans de recherche sur l’élevage

L’Inra dispose de 7 sites de recherche et d’expérimentation en Auvergne. Sur l’axe Territoire, élevage et environnement, les chercheurs travaillent sur le thème de la durabilité des exploitations face aux changements climatiques et économiques.

Un des objectifs de l’Inra en Auvergne est de développer des innovations liées à la conduite des troupeaux laitiers et allaitants afin de simplifier les pratiques des éleveurs, de favoriser le bien être animal, et de développer l’agriculture biologique. 
L’étude du fonctionnement des prairies et leur valorisation par les animaux est également étudiée, ainsi que l’évolution et la préservation de la biodiversité de l’écosystème prairial. Tour d’horizon des thématiques de recherche en élevage menées de 2008 à 2012.

L'Inra en Auvergne

Métiers liés aux fromages d’Auvergne : Des qualités humaines avant tout

Les fromages d’Auvergne sous AOP cachent un panel de métiers pour lesquels les recruteurs recherchent des qualités humaines et une passion pour les produits du terroir.
Bien sûr, des compétences en agroalimentaires sont nécessaires.

Les différents acteurs de l’aval de la filière laitière auvergnate ont su dynamiser l’économie locale. Mais quels sont les métiers possibles ? Et quelles sont les compétences et qualités recherchées par les recruteurs ?

Yves Laubert, directeur du comité interprofessionnel des fromages (Cif) cantal et salers nous donne son avis sur la question.

Le réseau de référents : L’expertise de l’Apecita au service du candidat

Dans le cadre de son nouveau bouquet de services, l’Apecita a mis en place, en interne, un réseau de référents sur les différentes filières et sur les problématiques transversales.

Pour les productions animales, deux personnes ressources ont été nommées : Fleur Dormoy, conseillère emploi formation en Bourgogne et Philippe Béaur, délégué Poitou Charente Limousin Auvergne.
Elles pourront ainsi apporter aux candidats leur connaissance de la filière, de l’état du marché, des formations, des débouchés mais aussi de la problématique dans le domaine des productions animales.
Grâce à un travail de veille continue sur la filière, elles alimenteront également une base documentaire accessible par l’ensemble des conseillers Apecita : un gain en expertise et en réactivité au service de l’ensemble des candidats.

Encore et toujours tourné vers l’international

Le Sommet de l’élevage accueille à chaque édition de nombreux visiteurs étrangers. Le Salon est l’occasion de promouvoir la génétique et le savoir made in France.

Le Sommet de l’élevage est un carrefour d’affaires très international, rappellent les organisateurs du Sommet de l’élevage. Cette année encore, ce sont plus de 3 000 visiteurs internationaux originaires de près de 70 pays qui sont attendus.

Aux côtés de l’Adepta, trois autres organismes présents sur le Club international apporteront leur appui à la mise en relation entre les acheteurs internationaux et les exposants : Groupement export France (Gef/Interbev), un organisme de promotion à l’export des produits de la filière viande bovine française, Auvergne Internationale, qui propose une aide et un accompagnement à l’export aux entreprises auvergnates des secteurs de l’élevage et de l’agroalimentaire et Ubifrance qui assure la promotion du Sommet de l’élevage dans 17 pays cibles et dont les experts agricoles accompagneront plusieurs dizaines d’acheteurs étrangers VIP sur le Salon. »

L'international aura une place importante au Sommet de l'Elevage 2013

L’Apecita au Sommet de l’élevage - Hall 1 Allée H Stand 247

Durant trois jours l’Apecita propose sur son stand, en plus de rencontres avec des conseillers :

- La bourse à l’emploi : affichage des offres d’emploi et de stage des entreprises qui recrutent et des CV des candidats ;
- Le job dating : les recruteurs des entreprises rencontrent les candidats directement sur le stand de l’Apecita.
Deux formules sont proposées. La formule « Express » consiste en un entretien de 15 min. Tous les candidats peuvent s’inscrire. Il n’y a pas de présélection.
Avec la formule « Plus », l’entretien dure entre 30 à 45 min. Les candidats sont présélectionnés par les services de l’Apecita. Quelle que soit la formule choisie, les personnes intéressées doivent faire parvenir un CV actualisé d’une page maxi par mail à clermont@apecita.com
Plus d’infos : www.apecita.com/Jobdating/index_SDE.htm
Liste des entreprises présentes et des postes à pourvoir www.apecita.com ou sur demande. Tél : 04 73 28 77 05
- Sur le stand VetAgroSup (Hall 1 - Allée F.G - Stand 193), l’Apecita en partenariat avec VetAgroSup propose : L’espace rencontre entreprises étudiants : des entreprises présenteront leurs activités et leurs métiers.
Les professionnels pourront rencontrer des candidats (ingénieur, licence pro, master) de manière conviviale et recueillir des candidatures pour de futurs postes à pourvoir. Pour les futurs diplômés, l’espace rencontre entreprises est l’occasion de tisser du réseau et de prendre des contacts. Si vous êtes intéressé(e) : contact : entreprises@vetagro-sup.fr. Tél : 04 73 98 13 47

L’Apecita sera aussi au Sitevi à Montpellier, du 26 au 28 novembre 2013.
Pour en savoir plus écrire un mail à : montpellier@apecita.com.

du 2 au 4 octobre 2013 Le Sommet de l'Elevage ouvre ses portes

Les 2,3 et 4 octobre se tiendra le 22e Sommet de l’élevage à Clermont-Ferrand.

Plus de 1 250 exposants professionnels sont attendus. Une occasion pour les recruteurs et les chercheurs d’emplois de créer du réseau dans un cadre convivial.

Pour la 22e édition 82 000 visiteurs sont attendus sur les 17 ha du parc-expo de la Grande Halle d’Auvergne. Tous pourront admirer le fleuron de l’élevage français représenté par 70 races de bovin lait, bovin viande, ovin et chevaux.
La part belle est encore donnée cette année aux races bovines laitières des zones agroclimatiques difficiles comme la montbéliarde, la brune, la simmental, l’abondance… Des races locales rares, comme le cheval d’Auvergne seront aussi présentes.

Le Sommet de l'Elevage en détail