En 2012, Agrica a enregistré, une hausse de 2 % des entreprises adhérentes aux institutions de retraite complémentaire, « signe du dynamisme du secteur agricole
dans un contexte économique pourtant défavorable », souligne le groupe de protection
sociale complémentaire des entreprises, salariés et retraités agricoles.
Parmi les 161 000 entreprises adhérentes, les organismes professionnels agricoles (coopératives agricoles, Groupama, Crédit Agricole, MSA, chambres d’agriculture…) représentent 6 % et pèsent 61 % du total des cotisations de retraite complémentaire versées.
Quant aux entreprises appartenant à la production agricole, elles représentent 94 % du nombre total d’entreprises agricoles et 39 % du total des cotisations.
Le nombre de salariés agricoles cotisants reste stable, autour de 1,4 million, dont 61 % d’hommes et 39 % de femmes.
Le nombre de salariés retraités du secteur agricole s’élève quant à lui à 746 891, en diminution de 2,45 % par rapport à 2011. « On compte 18 537 nouveaux retraités en 2012, chiffre qui a enregistré une baisse de 6,2 % en un an, précise Agrica. Cette évolution, conséquence directe du report de l’âge de retraite, a toutefois été atténuée par l’augmentation des ouvertures de droits au second semestre 2012, suite à l’application du décret sur la retraite à 60 ans pour carrière longue. L’âge moyen de départ en retraite est de 62 ans et 3 mois, ce qui représente un allongement de la carrière de 4 mois en un an. »
lundi 30 septembre 2013
Château Academy : un "serious game" sur les métiers de la vigne et du vin
Les professionnels du bordelais lancent "Château Academy", un jeu sur smartphone et tablette (iOS et Android) afin de sensibiliser les jeunes aux métiers de la vigne et du vin.
"Notre filière doit trouver des moyens pour intéresser les jeunes à nos métiers et tout particulièrement entre 14 et 20 ans, moment clef de l’orientation ou de la réorientation scolaire", explique le Conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux.
Ce "serious game" (ou jeu sérieux) consiste à gérer une exploitation viticole, depuis la plantation de la vigne jusqu’à la vente du vin. Les joueurs doivent s’intéresser à la conduite du vignoble, à la gestion du personnel, au maniement des machines, à l’élaboration du vin et à son mode commercialisation.
http://www.chateauacademy.fr/
"Notre filière doit trouver des moyens pour intéresser les jeunes à nos métiers et tout particulièrement entre 14 et 20 ans, moment clef de l’orientation ou de la réorientation scolaire", explique le Conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux.
Ce "serious game" (ou jeu sérieux) consiste à gérer une exploitation viticole, depuis la plantation de la vigne jusqu’à la vente du vin. Les joueurs doivent s’intéresser à la conduite du vignoble, à la gestion du personnel, au maniement des machines, à l’élaboration du vin et à son mode commercialisation.
http://www.chateauacademy.fr/
dimanche 29 septembre 2013
Un employeur sanctionné pour "violation de l'obligation de formation"
Dans un arrêt du 5 juin 2013, la Cour de cassation a sanctionné un employeur qui n'avait proposé aucune formation à un salarié durant seize ans.
La Cour rappelle que l'employeur doit assurer l'adaptation des salariés à leur poste de travail et veiller au maintien de leur capacité à occuper un emploi, y compris en dehors de l'entreprise.
Même si le salarié n'a fait aucune demande de formation, la Cour de cassation lui reconnaît le droit de percevoir des dommages et intérêts de son employeur pour "violation de son obligation de formation”.
En savoir plus sur le site "Pour se former"
La Cour rappelle que l'employeur doit assurer l'adaptation des salariés à leur poste de travail et veiller au maintien de leur capacité à occuper un emploi, y compris en dehors de l'entreprise.
Même si le salarié n'a fait aucune demande de formation, la Cour de cassation lui reconnaît le droit de percevoir des dommages et intérêts de son employeur pour "violation de son obligation de formation”.
En savoir plus sur le site "Pour se former"
Libellés :
2-Recrutement
vendredi 27 septembre 2013
L'enseignement agricole de plus en plus ouvert à l'international
Avec 83 sections européennes proposées dans les établissements, l'enseignement agricole poursuit son ouverture vers l'international.
Dans son dossier de la rentrée 2013, le Ministère de l'agriculture rappelle également l'entrée en vigueur le 1er janvier 2014 d'un nouveau programme, Erasmus+, qui englobera l'ensemble des programmes précédents et s'élargira hors de l'Union européenne.
Les 19 établissements d'enseignement supérieur et 96 établissements préparant au BTSA ont déjà déposé leur demande d'adhésion à la charte de ce nouveau programme.
Enfin, le partenariat avec le Brésil initié en 2005 se poursuit avec l'accueil de 138 étudiants de ce pays en France.
Consulter le dossier de la rentrée 2013 de l'enseignement agricole
Dans son dossier de la rentrée 2013, le Ministère de l'agriculture rappelle également l'entrée en vigueur le 1er janvier 2014 d'un nouveau programme, Erasmus+, qui englobera l'ensemble des programmes précédents et s'élargira hors de l'Union européenne.
Les 19 établissements d'enseignement supérieur et 96 établissements préparant au BTSA ont déjà déposé leur demande d'adhésion à la charte de ce nouveau programme.
Enfin, le partenariat avec le Brésil initié en 2005 se poursuit avec l'accueil de 138 étudiants de ce pays en France.
Consulter le dossier de la rentrée 2013 de l'enseignement agricole
Libellés :
4-Métiers et formation
jeudi 26 septembre 2013
L’Apecita accompagne 50 salariés licenciés
26 octobre 2012 : la société de production horticole Chantereine, située à Douchy dans l’est du Loiret, est mise en liquidation judiciaire.
Suite au licenciement économique des 50 salariés, l’Apecita met en place une mission d’accompagnement. Une démarche innovante et coordonnée.
« Un conseiller de la chambre d’agriculture du Loiret nous a fait part du dossier de la liquidation de la société Chantereine. À sa demande, nous décidons d’appeler le directeur de la structure afin d’élaborer un plan d’action », indique Jeannine Perier, délégué régionale Centre de l’Apecita.
Face à la volonté de leur interlocuteur de trouver une solution de reclassement à ses salariés, rendez-vous est pris à la délégation régionale d’Orléans.
L’objectif est de mettre en place une stratégie d’accompagnement adaptée à la situation.
Comment l'Apecita accompagne Chantereine pour reclasser ses salariés ?
Suite au licenciement économique des 50 salariés, l’Apecita met en place une mission d’accompagnement. Une démarche innovante et coordonnée.
« Un conseiller de la chambre d’agriculture du Loiret nous a fait part du dossier de la liquidation de la société Chantereine. À sa demande, nous décidons d’appeler le directeur de la structure afin d’élaborer un plan d’action », indique Jeannine Perier, délégué régionale Centre de l’Apecita.
Face à la volonté de leur interlocuteur de trouver une solution de reclassement à ses salariés, rendez-vous est pris à la délégation régionale d’Orléans.
L’objectif est de mettre en place une stratégie d’accompagnement adaptée à la situation.
Comment l'Apecita accompagne Chantereine pour reclasser ses salariés ?
Libellés :
1-Recherche d'emploi,
2-Recrutement,
7-Dans votre région
mercredi 25 septembre 2013
À la découverte du milieu rural
Alexandre Dumontier est le nouveau chef du service pôle développement-environnement de la chambre régionale d’agriculture du Centre.
Auparavant, il a participé à des projets de développement en milieu rural en France, mais aussi à l’étranger.
À 37 ans, Alexandre Dumontier fait partie de ces animateurs du monde rural au parcours hétéroclite.
Quel est le parcours d'Alexandre Dumontier ?
Auparavant, il a participé à des projets de développement en milieu rural en France, mais aussi à l’étranger.
À 37 ans, Alexandre Dumontier fait partie de ces animateurs du monde rural au parcours hétéroclite.
Quel est le parcours d'Alexandre Dumontier ?
Libellés :
4-Métiers et formation
mardi 24 septembre 2013
Les Cuma recherchent des salariés qualifiés.
Les Cuma emploient plus de 4 500 salariés permanents. Alors que le nombre d’exploitations et d’exploitants agricoles diminue, les Cuma maintiennent leurs positions.
Des perspectives d’embauche existent. Selon Florent Bouvard, les profils recherchés sont variés : du conducteur d’engins au manager d’équipe.
Florent Bouvard Vice-président de la FNCuma expliquent les besoins des Cuma
Des perspectives d’embauche existent. Selon Florent Bouvard, les profils recherchés sont variés : du conducteur d’engins au manager d’équipe.
Florent Bouvard Vice-président de la FNCuma expliquent les besoins des Cuma
Libellés :
3-Marché de l'emploi,
7-Dans votre région
samedi 21 septembre 2013
Enseignement agricole : les nouveautés de la rentrée 2013
Dans son dossier de la rentrée scolaire 2013, le Ministère de l'agriculture rappelle les innovations pédagogiques mises en place.
La rénovation du baccalauréat STAV ( Sciences et techniques de l'agronomie et du vivant ) s'applique dès cette année pour les classes de 1ère et se poursuivra en 2014 en Terminale.
La refonte des BTS engagée depuis 2009 concerne cette année les options "aquaculture" et "aménagements paysagers".
Enfin, les programmes des classes préparatoires et les concours d'accès aux écoles d'ingénieurs et aux écoles vétérinaires sont également rénovés.
Consulter le dossier de la rentrée 2013 de l'enseignement agricole
La rénovation du baccalauréat STAV ( Sciences et techniques de l'agronomie et du vivant ) s'applique dès cette année pour les classes de 1ère et se poursuivra en 2014 en Terminale.
La refonte des BTS engagée depuis 2009 concerne cette année les options "aquaculture" et "aménagements paysagers".
Enfin, les programmes des classes préparatoires et les concours d'accès aux écoles d'ingénieurs et aux écoles vétérinaires sont également rénovés.
Consulter le dossier de la rentrée 2013 de l'enseignement agricole
Libellés :
4-Métiers et formation,
7-Dans votre région
vendredi 20 septembre 2013
Les stages mieux encadrés
La loi du 22 juillet 2013 sur l'enseignement supérieur et la recherche prévoit plusieurs dispositions afin de mieux encadrer le régime des stages.
Outre les entreprises, les stages peuvent désormais être effectués dans les administrations publiques, les associations et plus généralement tous les organismes d’accueil.
En conséquence, la gratification obligatoire pour les stages de plus de deux mois, est étendue aux secteurs public et associatif.
A la fin du stage, l'étudiant devra également transmettre à son établissement un document dans lequel il évalue la qualité de l'accueil dont il a bénéficié. Les décrets d'application de cette loi sont attendus.
Les stages étudiants en milieu professionnel
Outre les entreprises, les stages peuvent désormais être effectués dans les administrations publiques, les associations et plus généralement tous les organismes d’accueil.
En conséquence, la gratification obligatoire pour les stages de plus de deux mois, est étendue aux secteurs public et associatif.
A la fin du stage, l'étudiant devra également transmettre à son établissement un document dans lequel il évalue la qualité de l'accueil dont il a bénéficié. Les décrets d'application de cette loi sont attendus.
Les stages étudiants en milieu professionnel
Libellés :
4-Métiers et formation
jeudi 19 septembre 2013
Recherche d'emploi : prospecter dans les salons professionnels
Contacter des recruteurs dans un salon professionnel ou un forum de l'emploi ne s'improvise pas.
A l'adresse ci-dessous, le site "cadres et dirigeants" donne quelques conseils pratiques.
Ciblez d'abord les entreprises que vous souhaitez contacter et renseignez-vous, notamment via Internet, sur leurs activités, leurs projets et les personnes chargées des recrutements.
Dans un forum, vous devez bien sûr proposer votre CV et préciser les postes qui vous intéressent.
Pour les salons professionnels, l’objectif est surtout de savoir si des besoins de recrutement existent et de connaître la personne à contacter.
Comment prospecter dans les salons professionnels ?
A l'adresse ci-dessous, le site "cadres et dirigeants" donne quelques conseils pratiques.
Ciblez d'abord les entreprises que vous souhaitez contacter et renseignez-vous, notamment via Internet, sur leurs activités, leurs projets et les personnes chargées des recrutements.
Dans un forum, vous devez bien sûr proposer votre CV et préciser les postes qui vous intéressent.
Pour les salons professionnels, l’objectif est surtout de savoir si des besoins de recrutement existent et de connaître la personne à contacter.
Comment prospecter dans les salons professionnels ?
Libellés :
1-Recherche d'emploi
Jérôme Androdias, directeur de la Fredon Paca : La force du réseau
Ingénieur de développement au Cameroun à ses débuts, Jérôme Androdias a su diversifier sa formation et son parcours professionnel. Il est aujourd’hui directeur de la Fredon Paca. Son art de vivre sonne comme un mantra : soigner son réseau et rester droit dans ses bottes.
Le parcours de Jérôme Androdias
Le parcours de Jérôme Androdias
Libellés :
7-Dans votre région
mercredi 18 septembre 2013
Licence pro ABCD : Une formation unique en France
La licence professionnelle agriculture biologique conseil et développement (ABCD) est une licence multi-site unique en France.
Créée en 2008, la licence professionnelle agriculture biologique conseil et développement, plus connue sous le nom « licence pro ABCD » est une formation innovante et unique en France, puisqu’elle est multi-site.
Si cette licence pro est en effet proposée sur pas moins de sept sites en France (six en France métropolitaine et un en Martinique), l’une de ses principales caractéristiques est que les enseignements théoriques y sont mutualisés.
Licence pro ABCD en détail
Créée en 2008, la licence professionnelle agriculture biologique conseil et développement, plus connue sous le nom « licence pro ABCD » est une formation innovante et unique en France, puisqu’elle est multi-site.
Si cette licence pro est en effet proposée sur pas moins de sept sites en France (six en France métropolitaine et un en Martinique), l’une de ses principales caractéristiques est que les enseignements théoriques y sont mutualisés.
Licence pro ABCD en détail
Libellés :
4-Métiers et formation,
7-Dans votre région
Bourg-Lès-Valence : Cap sur la performance durable
Les 18 et 19 septembre prochains se déroulera à Bourg-lès-Valence (Drôme) la 4e édition du Salon Tech&Bio, rendez-vous des techniques, des savoir-faire et des pratiques agricoles environnementales, organisé à l’initiative des chambres d’agriculture et soutenu par plus de quarante partenaires.
Près de 250 exposants et quelque 13 000 visiteurs sont attendus au lycée agricole le Valentin à Bourg-lès-Valence, dans la Drôme, premier département bio de France.
Rendez-vous européen désormais incontournable des techniques, des savoir-faire et des pratiques agricoles environnementales, le Salon Tech&Bio ne s’adresse pas seulement aux agriculteurs bio mais aussi aux agriculteurs conventionnels qui souhaitent appréhender des marchés en pleine évolution.
Tech&Bio en détail
Près de 250 exposants et quelque 13 000 visiteurs sont attendus au lycée agricole le Valentin à Bourg-lès-Valence, dans la Drôme, premier département bio de France.
Rendez-vous européen désormais incontournable des techniques, des savoir-faire et des pratiques agricoles environnementales, le Salon Tech&Bio ne s’adresse pas seulement aux agriculteurs bio mais aussi aux agriculteurs conventionnels qui souhaitent appréhender des marchés en pleine évolution.
Tech&Bio en détail
Libellés :
7-Dans votre région
mardi 17 septembre 2013
Mulot & Petitjean, Bourgogne Allier tradition et innovations
Labellisée Entreprise du patrimoine vivant l’an dernier, la maison Mulot & Petitjean, la plus ancienne fabrique de pain d’épices de Dijon veille à la tradition, tout en intégrant les innovations.
Mulot & Petitjean élabore du pain d’épices depuis 1796. Dernier fabricant de pain d’épices de la région dijonnaise, Mulot & Petitjean demeure garant de « la » recette composée entre autres d’épices, de miel, de sucre et de farine de froment.
Ce patrimoine artisanal et gastronomique a d’ailleurs été récemment récompensé, l’entreprise Mulot & Petitjean a été labellisée « Entreprise du patrimoine vivant » dans le domaine de la gastronomie en mars 2012 par le ministère des Finances, de l’Économie et de l’Industrie. Ce label distingue les entreprises aux savoir-faire artisanaux et d’excellence.
Mulot & Petitjean en détail
Mulot & Petitjean élabore du pain d’épices depuis 1796. Dernier fabricant de pain d’épices de la région dijonnaise, Mulot & Petitjean demeure garant de « la » recette composée entre autres d’épices, de miel, de sucre et de farine de froment.
Ce patrimoine artisanal et gastronomique a d’ailleurs été récemment récompensé, l’entreprise Mulot & Petitjean a été labellisée « Entreprise du patrimoine vivant » dans le domaine de la gastronomie en mars 2012 par le ministère des Finances, de l’Économie et de l’Industrie. Ce label distingue les entreprises aux savoir-faire artisanaux et d’excellence.
Mulot & Petitjean en détail
Libellés :
7-Dans votre région
Coopérative Les Paysans de Rougeline : Les écoserres de tomates débarquent en France
7 adhérents de la coopérative Rougeline ont entrepris deux projets de serres innovantes pour la culture de tomates dans les Landes. Leurs ambitions : gagner en productivité, préserver la qualité en réduisant l’utilisation des pesticides, et utiliser des énergies alternatives.
D’ici fin 2013, une serre unique en Europe, chauffée grâce à des plaquettes forestières landaises, devrait sortir de terre à Parentis-en-Born. Il s’agira d’une serre innovante, multichapelle en plastique, à double paroi gonflable. Dans un premier temps, 1,2 hectare d’écoserres seront bâtis pour un coût de 1,7 million d’euros qui inclut la construction d’une chaufferie à biomasse. À terme, 9,6 hectares de serres seront construits pour un coût total de 8 millions d’euros. Sur une durée de six ans, ce projet générera au minimum 50 emplois locaux et permettra de produire 5 000 tonnes de tomates.
Les écoserres en détail
D’ici fin 2013, une serre unique en Europe, chauffée grâce à des plaquettes forestières landaises, devrait sortir de terre à Parentis-en-Born. Il s’agira d’une serre innovante, multichapelle en plastique, à double paroi gonflable. Dans un premier temps, 1,2 hectare d’écoserres seront bâtis pour un coût de 1,7 million d’euros qui inclut la construction d’une chaufferie à biomasse. À terme, 9,6 hectares de serres seront construits pour un coût total de 8 millions d’euros. Sur une durée de six ans, ce projet générera au minimum 50 emplois locaux et permettra de produire 5 000 tonnes de tomates.
Les écoserres en détail
Libellés :
7-Dans votre région
lundi 16 septembre 2013
Pauline Woehrlé, conseillère à Eilyps – Îlle-et-Vilaine : Un premier CDI décroché au Space
Il y a un an, Pauline Woehrlé participait au job dating organisé au Space, quelques jours après l’obtention de son diplôme d’ingénieur. Résultat : un CDI au contrôle laitier Eilyps d’Ille-et-Vilaine !
Pauline Woehrlé, diplômée en 2012 de l’Ensaia de Nancy, peut en témoigner. Après son stage de fin d’étude à l’Adage 35, association sur l’« Agriculture durable par l’autonomie, la gestion et l’environnement », en Îlle-et-Vilaine, son souhait était de rester sur Rennes. La jeune ingénieure de 24 ans, spécialisée en développement durable des filières agricoles, se lance alors dans la recherche d’un premier emploi. « Je recherchais un métier de terrain pour commencer. Après mes études, j’avais besoin de plus de concret », argumente Pauline Woehrlé. Inscrite sur le site de l’Apecita, elle reçoit une invitation pour un job dating organisé sur le Space.
Comment a-t-elle décroché son 1er CDI ?
Pauline Woehrlé, diplômée en 2012 de l’Ensaia de Nancy, peut en témoigner. Après son stage de fin d’étude à l’Adage 35, association sur l’« Agriculture durable par l’autonomie, la gestion et l’environnement », en Îlle-et-Vilaine, son souhait était de rester sur Rennes. La jeune ingénieure de 24 ans, spécialisée en développement durable des filières agricoles, se lance alors dans la recherche d’un premier emploi. « Je recherchais un métier de terrain pour commencer. Après mes études, j’avais besoin de plus de concret », argumente Pauline Woehrlé. Inscrite sur le site de l’Apecita, elle reçoit une invitation pour un job dating organisé sur le Space.
Comment a-t-elle décroché son 1er CDI ?
Libellés :
1-Recherche d'emploi,
7-Dans votre région
Sébastien Caudal : Expert en machines à traire
Après avoir suivi une formation technique, Sébastien Caudal a découvert le milieu agricole, et plus particulièrement l’élevage laitier, en commençant à travailler sur des machines bien connues des éleveurs : les machines à traire.
Alors qu’il vient d’intégrer l’équipe de contrôleurs du Crocit Bretagne, il nous explique son parcours.
Alors qu’il vient d’intégrer l’équipe de contrôleurs du Crocit Bretagne, il nous explique son parcours.
Libellés :
4-Métiers et formation
dimanche 15 septembre 2013
Génétique bovine : Des innovations qui se complètent
Une véritable « révolution » a eu lieu au cours des dernières années dans le domaine de la sélection bovine.
En particulier, la sélection génomique et les semences sexées offrent de nombreuses possibilités aux éleveurs pour renouveler leurs troupeaux, d’autant plus que les deux techniques peuvent être couplées.
La génétique bovine, c'est quoi ?
En particulier, la sélection génomique et les semences sexées offrent de nombreuses possibilités aux éleveurs pour renouveler leurs troupeaux, d’autant plus que les deux techniques peuvent être couplées.
La génétique bovine, c'est quoi ?
Libellés :
7-Dans votre région
François Derot, directeur de Keenan France : Recruter des candidats autonomes
Pour François Derot, directeur de Keenan France, les métiers du service agricole sont en mutation.
Les entreprises doivent miser sur l’innovation, afin d’apporter une réelle valeur ajoutée aux agriculteurs.
Cela passe aussi par l’identification du profil des candidats lors du recrutement.
Comment les métiers agricoles ont évolué ?
Les entreprises doivent miser sur l’innovation, afin d’apporter une réelle valeur ajoutée aux agriculteurs.
Cela passe aussi par l’identification du profil des candidats lors du recrutement.
Comment les métiers agricoles ont évolué ?
Libellés :
1-Recherche d'emploi,
2-Recrutement
samedi 14 septembre 2013
Plateforme Recherche & Développement : Les bâtiments et métriels du futur
La plateforme « recherche et développement » du Space 2013 est consacrée aux bâtiments et matériels du futur en élevages de porcs et volailles avec pour ambition d’apporter des réponses sur les choix d’investissements d’avenir. Un pôle « matériel d’épandage » illustrera l’impact technique de l’arrivée de la certification Éco-épandage ouverte à tous les constructeurs.
sur la partie centrale de la plateforme R&D, l’espace consacré à l’épandage et à la valorisation des déjections illustrera les moyens mis à disposition des agriculteurs pour la certification de leur matériel.
Comment seront les bâtiments de demain ?
sur la partie centrale de la plateforme R&D, l’espace consacré à l’épandage et à la valorisation des déjections illustrera les moyens mis à disposition des agriculteurs pour la certification de leur matériel.
Comment seront les bâtiments de demain ?
Libellés :
7-Dans votre région
Entrepreneurs des territoires du Nord – Pas-de-Calais - Picardie : Former les futurs repreneurs des ETA
Dans la grande région Nord, le secteur des travaux agricoles emploie près de 6 300 salariés. Les cadres ne représentent que 1,7 %. Or les Entrepreneurs des territoires du Nord – Pas-de-Calais – Picardie ont exprimé le besoin d’être secondés dans leur quotidien.
Une nouvelle formation va débuter à la rentrée : elle s’adresse aux futurs cadres-assistants.
L’évolution de l’agriculture et des prestations de services demandent aux ETA de développer leurs entreprises », explique Samuel Leroye, vice-président des Entrepreneurs des territoires du Nord – Pas-de-Calais.
Les contraintes réglementaires relatives aux traitements phyto et au transport imposent davantage de professionnalisme aux ETA.
Comment former les futurs repreneurs des ETA ?
Une nouvelle formation va débuter à la rentrée : elle s’adresse aux futurs cadres-assistants.
L’évolution de l’agriculture et des prestations de services demandent aux ETA de développer leurs entreprises », explique Samuel Leroye, vice-président des Entrepreneurs des territoires du Nord – Pas-de-Calais.
Les contraintes réglementaires relatives aux traitements phyto et au transport imposent davantage de professionnalisme aux ETA.
Comment former les futurs repreneurs des ETA ?
Libellés :
7-Dans votre région
vendredi 13 septembre 2013
L’international de l’élevage avec un S !
Le Space est résolument tourné vers l’international pour son édition 2013. Une volonté de ses fondateurs certes, mais aussi une demande des exposants voulant rencontrer les acteurs des filières d’élevage de pays où le potentiel de marché est important.
Tout est mis en place au Space pour inciter les visiteurs étrangers à venir sillonner les allées du salon. De la promotion de l’événement dans les différents pays aux animations mises en place à Rennes.
L'international au Space 2013
Tout est mis en place au Space pour inciter les visiteurs étrangers à venir sillonner les allées du salon. De la promotion de l’événement dans les différents pays aux animations mises en place à Rennes.
L'international au Space 2013
Libellés :
7-Dans votre région
Vivea dévoile son nouveau site
Vivea, le fonds pour la formation des entrepreneurs du vivant, a mis en ligne son nouveau site Internet, www.vivea.fr, pour orienter, informer et documenter l’ensemble de ses publics et notamment ses plus de 630 000 contributrices.
« Par ce nouvel outil, l’ambition de Vivea est de créer un site de référence dans le secteur de la formation agricole continue, explique le fonds de formation. www.vivea.fr vise à mieux faire connaître Vivea, à offrir un accès facilité à la liste des formations financées, aux appels d’offres et aux études. »
Au programme de ce nouveau site, 4 espaces sont dédiés aux 4 différents publics de Vivea : chefs d’exploitation agricole, organismes de formation et partenaires, élus Vivea et presse.
L’internaute y trouvera des informations essentielles et la personne ressource compétente.
Enfin, comme le précise un récent communiqué, « www.vivea.fr, ce sont aussi des actualités régulières, des témoignages vidéos d’agriculteurs et de professionnels de l’agriculture et de la formation, un espace pour mieux nous connaître, des pages régionales, la possibilité de choisir une formation et de demander un financement en ligne… »
www.vivea.fr
« Par ce nouvel outil, l’ambition de Vivea est de créer un site de référence dans le secteur de la formation agricole continue, explique le fonds de formation. www.vivea.fr vise à mieux faire connaître Vivea, à offrir un accès facilité à la liste des formations financées, aux appels d’offres et aux études. »
Au programme de ce nouveau site, 4 espaces sont dédiés aux 4 différents publics de Vivea : chefs d’exploitation agricole, organismes de formation et partenaires, élus Vivea et presse.
L’internaute y trouvera des informations essentielles et la personne ressource compétente.
Enfin, comme le précise un récent communiqué, « www.vivea.fr, ce sont aussi des actualités régulières, des témoignages vidéos d’agriculteurs et de professionnels de l’agriculture et de la formation, un espace pour mieux nous connaître, des pages régionales, la possibilité de choisir une formation et de demander un financement en ligne… »
www.vivea.fr
Libellés :
6-Sur Internet
mercredi 11 septembre 2013
BPJEPS spécialité « éducation à l’environnement vers un développement durable » : Enseigner la nature
Envie d’un métier proche de la nature et de la relation à autrui ?
Le BPJEPS spécialité « éducation à l’environnement vers un développement durable » est peut-être fait pour vous. Cette formation professionnelle en alternance forme aux métiers d’animation nature.
En 2013, les amoureux de la nature qui souhaitent faire partager leur passion peuvent le faire grâce à une formation en alternance. Différents établissements proposent en effet un brevet professionnel de la jeunesse de l’éducation populaire et des sports, le « BPJEPS », spécialité « EEDD » : éducation à l’environnement vers un développement durable.
Cette formation, d’une durée de 11 mois, et qui comprend 14 semaines en entreprises, conduit au titre d’éducateur en environnement.
« BPJEPS », spécialité « EEDD » en détail
Le BPJEPS spécialité « éducation à l’environnement vers un développement durable » est peut-être fait pour vous. Cette formation professionnelle en alternance forme aux métiers d’animation nature.
En 2013, les amoureux de la nature qui souhaitent faire partager leur passion peuvent le faire grâce à une formation en alternance. Différents établissements proposent en effet un brevet professionnel de la jeunesse de l’éducation populaire et des sports, le « BPJEPS », spécialité « EEDD » : éducation à l’environnement vers un développement durable.
Cette formation, d’une durée de 11 mois, et qui comprend 14 semaines en entreprises, conduit au titre d’éducateur en environnement.
« BPJEPS », spécialité « EEDD » en détail
Libellés :
4-Métiers et formation,
7-Dans votre région
mardi 10 septembre 2013
Novagrain : De l’absence de fusion naît l’union
Par nécessité ou volonté de répondre aux attentes de leurs adhérents, les coopératives agricoles font fréquemment le choix de fusionner ou de mutualiser leurs moyens. C’est le cas de trois coopératives du sud-ouest de la Marne.
Avant, on distinguait la coopérative d’Anglure (Efigrain), la coopérative de Sézanne et la coopérative La Champagne Coligny. Trois structures qui collectaient un peu moins de 250 000 tonnes de céréales.
Aujourd’hui, on retrouve la coopérative Efigrain-Sézanne, la coopérative La Champagne Coligny et Novagrain (une union de commercialisation des collectes et des approvisionnements des deux coopératives).
Cette organisation nouvelle est le fruit d’une volonté de travailler ensemble afin de préparer l’avenir. Aucune des trois coopératives initiatrices du projet n’était en difficulté financière. C’était bien un souhait de répondre à l’évolution de l’agriculture et de leurs adhérents.
Novagrain en détail
Avant, on distinguait la coopérative d’Anglure (Efigrain), la coopérative de Sézanne et la coopérative La Champagne Coligny. Trois structures qui collectaient un peu moins de 250 000 tonnes de céréales.
Aujourd’hui, on retrouve la coopérative Efigrain-Sézanne, la coopérative La Champagne Coligny et Novagrain (une union de commercialisation des collectes et des approvisionnements des deux coopératives).
Cette organisation nouvelle est le fruit d’une volonté de travailler ensemble afin de préparer l’avenir. Aucune des trois coopératives initiatrices du projet n’était en difficulté financière. C’était bien un souhait de répondre à l’évolution de l’agriculture et de leurs adhérents.
Novagrain en détail
Libellés :
7-Dans votre région
Pôle de compétitivité IAR : La formation au coeur de la biomasse
L’objectif : lier les besoins actuels et futurs des entreprises avec les outils de formations.
Le 4 juillet, Jean-Marie Blin et Dominique Dutartre, respectivement président de l’Apecita et du pôle de compétitivité Industries et agro-ressources (IAR) ont signé une convention. « Elle officialise le travail réalisé depuis neuf mois entre les deux organismes », précise Guillaume Jolly, responsable animation territoriale et formation au pôle IAR.
La convention Apecita - IAR en détail
Libellés :
7-Dans votre région
lundi 9 septembre 2013
Philippe Lemey : Adapter chaque jour son métier d’agriculteur
L’évolution des techniques agricoles métamorphose les hommes qui les pratiquent. Philippe Lemey fait partie de ces agriculteurs qui ont mis la main dans l’engrenage de l’innovation. Sa ferme en est l’illustration.
Producteur céréalier dans le sud de la Meuse, Philippe Lemey pratique le semis direct sous couvert végétal ainsi que la pulvérisation à bas volume afin de limiter au maximum le recours aux produits phytosanitaires.
Le métier de Philippe Lemey en détail
Producteur céréalier dans le sud de la Meuse, Philippe Lemey pratique le semis direct sous couvert végétal ainsi que la pulvérisation à bas volume afin de limiter au maximum le recours aux produits phytosanitaires.
Le métier de Philippe Lemey en détail
Libellés :
4-Métiers et formation
L'Apec recense les "métiers en émergence"
Quels métiers exercerons-nous demain ?
Pour répondre à cette question, l'association pour l'emploi des cadres (Apec) publie un référentiel qui recense une soixantaine de métiers nouveaux ou en transformation.
"L'objectif est d'apporter des repères descriptifs et qualitatifs sur les métiers émergents offrant de réelles opportunités professionnelles pour les cadres et les jeunes issus de l’enseignement supérieur" indique l'Apec.
Pour chaque métier, le référentiel présente une description rapide, les responsabilités confiées, les compétences et profils requis, et les expériences nécessaires.
Télécharger le référentiel "métiers en émergence"
Pour répondre à cette question, l'association pour l'emploi des cadres (Apec) publie un référentiel qui recense une soixantaine de métiers nouveaux ou en transformation.
"L'objectif est d'apporter des repères descriptifs et qualitatifs sur les métiers émergents offrant de réelles opportunités professionnelles pour les cadres et les jeunes issus de l’enseignement supérieur" indique l'Apec.
Pour chaque métier, le référentiel présente une description rapide, les responsabilités confiées, les compétences et profils requis, et les expériences nécessaires.
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dimanche 8 septembre 2013
CDD de courte durée : la contribution patronale chômage augmente
Depuis le 1er juillet 2013, la contribution patronale d’assurance chômage pour les contrats à durée déterminée (CDD) de courte durée (maximum 3 mois) est majorée.
Elle passe de 4 à 7 % pour un CDD inférieur ou égal à 1 mois, et 5,5 % pour un CDD de 1 à 3 mois.
Cette mesure ne s'applique pas si le salarié est embauché en CDI (contrat à durée indéterminée) à l'issue de son contrat court.
Elle ne concerne pas non plus les CDD de remplacement, les saisonniers et l'intérim.
Pour en savoir plus : Consulter le site Service-Public
Elle passe de 4 à 7 % pour un CDD inférieur ou égal à 1 mois, et 5,5 % pour un CDD de 1 à 3 mois.
Cette mesure ne s'applique pas si le salarié est embauché en CDI (contrat à durée indéterminée) à l'issue de son contrat court.
Elle ne concerne pas non plus les CDD de remplacement, les saisonniers et l'intérim.
Pour en savoir plus : Consulter le site Service-Public
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1-Recherche d'emploi,
2-Recrutement
vendredi 6 septembre 2013
Vendée : Géo et la Cavac créent Bovinéo
La nouvelle union de coopératives Bovinéo en Vendée a l’ambition d’être incontournable auprès des abattoirs de la région, et d’être considérée comme un partenaire par l’aval de la production.
Bovinéo, la nouvelle union entre le Groupement des producteurs de viande bovine (GPVB) de la coopérative Cavac et le Groupement des éleveurs de l’Ouest (Géo) est opérationnelle depuis le 1er juillet. Elle représente 2 500 éleveurs et 130 000 bovins (dont 85 000 animaux finis), principalement sur la Vendée et ses quatre départements limitrophes, les deux structures agissant sur des territoires presque superposés.
Bovinéo en détail
Bovinéo, la nouvelle union entre le Groupement des producteurs de viande bovine (GPVB) de la coopérative Cavac et le Groupement des éleveurs de l’Ouest (Géo) est opérationnelle depuis le 1er juillet. Elle représente 2 500 éleveurs et 130 000 bovins (dont 85 000 animaux finis), principalement sur la Vendée et ses quatre départements limitrophes, les deux structures agissant sur des territoires presque superposés.
Bovinéo en détail
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7-Dans votre région
Recherche d'emploi : les fautes d'orthographe les plus courantes
En cette période de rentrée scolaire, le blog "questions d'emploi" propose une leçon d'orthographe ! Son auteur, Gilles Payet, coach en recherche d'emploi, a recensé les 77 fautes les plus courantes dans les CV et lettres de motivation : "je peux constater qu'il est toujours difficile d'écrire sans faute ! Cela n'est pas forcément rédhibitoire pour certains postes, mais pour d'autres cela est évidemment éliminatoire !".
Un conseil : relisez-vous et faites-vous relire !
Consulter le blog "Questions d'emploi"
Un conseil : relisez-vous et faites-vous relire !
Consulter le blog "Questions d'emploi"
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1-Recherche d'emploi
jeudi 5 septembre 2013
Service de remplacement du Puy-de-Dôme : Un recrutement rapide et sûr
Le service de remplacement du Puy-de-Dôme a fait appel à l’Apecita à qui il a confié le recrutement de son animateur-responsable administratif.
Pour ce poste clé dans la structure, le président et le vice-président du service de remplacement, tous deux agriculteurs, ne voulaient pas se tromper.
«Nous avons eu affaire à des professionnels, grâce à eux nous avons eu les bons tuyaux et nous avons choisi la bonne personne », affirme Jean- Luc Tourreix, président du service
de remplacement du Puy-de-Dôme.
Comment s'est déroulé ce recrutement ?
Pour ce poste clé dans la structure, le président et le vice-président du service de remplacement, tous deux agriculteurs, ne voulaient pas se tromper.
«Nous avons eu affaire à des professionnels, grâce à eux nous avons eu les bons tuyaux et nous avons choisi la bonne personne », affirme Jean- Luc Tourreix, président du service
de remplacement du Puy-de-Dôme.
Comment s'est déroulé ce recrutement ?
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7-Dans votre région
Un nouveau portail pour l'emploi
Le gouvernement a mis en place un portail dédié aux mesures prises pour favoriser l'emploi et la croissance : emplois d’avenir, contrats de génération, pacte de compétitivité, loi pour la sécurisation de l’emploi.
Il s'adresse à la fois aux candidats et aux recruteurs, et leur permet d’accéder à une information complète sur ces dispositifs.
Des liens renvoient vers les sites des ministères et un numéro de téléphone, le 39 39, est également disponible.
Enfin, des témoignages de jeunes et de chefs d’entreprise illustrent les expériences déjà lancées.
http://www.gouvernement.fr/pourlemploi
Il s'adresse à la fois aux candidats et aux recruteurs, et leur permet d’accéder à une information complète sur ces dispositifs.
Des liens renvoient vers les sites des ministères et un numéro de téléphone, le 39 39, est également disponible.
Enfin, des témoignages de jeunes et de chefs d’entreprise illustrent les expériences déjà lancées.
http://www.gouvernement.fr/pourlemploi
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6-Sur Internet
mercredi 4 septembre 2013
Emploi agricole : Dix millions d’UTA en Europe
Selon une étude de la Commission européenne, 25 millions de personnes auraient travaillé, en 2010, dans les quelque 12 millions d’exploitations agricoles recensées dans l’Union européenne. Mais pour seulement 14,3 % d’entre elles l’agriculture est une activité à temps plein. Ainsi, convertis en emplois équivalents temps plein, ces 25 millions de personnes ne représentent que 9,8 millions UTA (unités de travail annuelles).
L’étude révèle également que la main-d’oeuvre dans les exploitations agricoles européennes reste essentiellement familiale : elle représente 77,5 % de ces près de 10 millions d’UTA.
La main d’oeuvre reste majoritairement masculine, les hommes représentant environ 60 % de l’emploi total dans l’agriculture contre 54 % dans l’économie totale. La main d’oeuvre dans l’agriculture est également plus âgée que dans le reste de l’économie : en 2010, 33 % de la main d’oeuvre agricole a moins de 40 ans (44 % pour l’emploi total), 57 % a entre 40 et 65 ans (54 % pour l’emploi total) et 10 % étaient âgés de 65 ans et plus (contre seulement 2 % pour l’emploi total).
Enfin, l’étude de la Commission européenne souligne que, durant la période 2000-2012, 4,8 millions d’emplois à temps plein dans l’agriculture de l’UE ont disparu, 70 % d’entre eux dans les nouveaux États membres et 93 % correspondant à des travailleurs non-salariés.
L’étude révèle également que la main-d’oeuvre dans les exploitations agricoles européennes reste essentiellement familiale : elle représente 77,5 % de ces près de 10 millions d’UTA.
La main d’oeuvre reste majoritairement masculine, les hommes représentant environ 60 % de l’emploi total dans l’agriculture contre 54 % dans l’économie totale. La main d’oeuvre dans l’agriculture est également plus âgée que dans le reste de l’économie : en 2010, 33 % de la main d’oeuvre agricole a moins de 40 ans (44 % pour l’emploi total), 57 % a entre 40 et 65 ans (54 % pour l’emploi total) et 10 % étaient âgés de 65 ans et plus (contre seulement 2 % pour l’emploi total).
Enfin, l’étude de la Commission européenne souligne que, durant la période 2000-2012, 4,8 millions d’emplois à temps plein dans l’agriculture de l’UE ont disparu, 70 % d’entre eux dans les nouveaux États membres et 93 % correspondant à des travailleurs non-salariés.
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7-Dans votre région
Inséminateur : technicien et conseiller de la reproduction
Employé par une coopérative d’insémination artificielle, l’inséminateur est aussi un conseiller en matière de génétique et d’accouplement.
Ce métier nécessite des connaissances pointues en reproduction et le sens du contact avec les éleveurs.
La formation le plus souvent demandée est le BTS (brevet de technicien supérieur) complété par le certificat d'aptitude aux fonctions de technicien d'insémination (CAFTI).
Pour en savoir plus sur ce certificat, consultez le site de l’association nationale de formation professionnelle en élevage et insémination animale (ANFEIA).
Consulter la fiche métier inséminateur
Consulter les formations préparant à ce métier
http://www.anfeia.fr/
Ce métier nécessite des connaissances pointues en reproduction et le sens du contact avec les éleveurs.
La formation le plus souvent demandée est le BTS (brevet de technicien supérieur) complété par le certificat d'aptitude aux fonctions de technicien d'insémination (CAFTI).
Pour en savoir plus sur ce certificat, consultez le site de l’association nationale de formation professionnelle en élevage et insémination animale (ANFEIA).
Consulter la fiche métier inséminateur
Consulter les formations préparant à ce métier
http://www.anfeia.fr/
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mardi 3 septembre 2013
Six bonnes raisons de ne pas perdre un candidat
Votre recrutement est presque terminé. Vous avez détecté un bon candidat, mais finalement il décline votre offre.
A l'adresse ci-dessous, Laurent Brouat, consultant en recrutement, analyse les causes d'une telle situation : mauvaise compréhension du projet professionnel, offre mal formulée, questions non posées, manque de clarté dans la rémunération ou contre proposition plus attractive.
Le consultant conclut que la grande question est aussi la plus simple : « Est-ce que vous vous voyez travailler ici ? ».
Six bonnes raisons de ne pas perdre un candidat
A l'adresse ci-dessous, Laurent Brouat, consultant en recrutement, analyse les causes d'une telle situation : mauvaise compréhension du projet professionnel, offre mal formulée, questions non posées, manque de clarté dans la rémunération ou contre proposition plus attractive.
Le consultant conclut que la grande question est aussi la plus simple : « Est-ce que vous vous voyez travailler ici ? ».
Six bonnes raisons de ne pas perdre un candidat
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