Jean-Philippe Desmaret : Le goût du challenge

Après avoir occupé notamment un poste de technicien en bovin viande, Jean-Philippe Desmaret décide de repartir en formation à l’âge de 31 ans.

De nouvelles portes se sont ouvertes à lui : il est actuellement directeur commercial régional chez Agronutrition.

Quel est son parcours ?

Meilleur Apprenti de France : « L ’excellence » de l’apprentissage

En 2012, 4 500 jeunes ont participé au concours « Un des Meilleurs Apprentis de France ». 

Les 288 lauréats ont été récompensés le 6 mars dernier au sénat.
Une belle carte de visite pour entrer dans la vie active.

Le palmarès du meilleur apprenti de France

Passion céréales : Faire connaître l'agriculture à travers le TGV

Passion Céréales annonce que, « pour la première fois, les agriculteurs céréaliers de France s’associent à SNCF pour une opération inédite qui transformera les fenêtres de TGV en formidables “écrans du savoir“ agricole et rural ». Cette opération se déroulera durant les vacances de Pâques.

Ainsi, grâce à un carnet d’observation illustré, et avec l’aide de leurs accompagnants, les enfants apprendront à repérer dans les territoires traversés, les fermes, cultures et autres éléments de la biodiversité. 50 000 carnets seront offerts en gares parisiennes via le Pack famille, un petit sac ludique contenant des jeux pour agrémenter le voyage.
Ces carnets seront également distribués à bord des TGV Family.
Un jeu concours accessible sur Internet et à bord, proposera aussi aux enfants de dessiner les paysages traversés.

Passion céréales précise que des TGV événements circuleront dans toute la France avec à leur bord des agriculteurs céréaliers guidant les voyageurs.

Maître d’apprentissage : mode d’emploi

Choisir d’être maître d’apprentissage en agriculture n’est pas toujours évident.

Pour mieux accompagner les exploitants dans l’accueil et l’encadrement de leurs apprentis, le CFA des chambres d’agriculture des Pays de Loire propose des formations.

Mode d'emploi du maître d'apprentissage

Chefs d'exploitation et d'entreprises agricoles : La baisse démographique se ralentit

Pour l’année 2012, la MSA relève que la baisse démographique des chefs d'exploitation ou d'entreprise agricoles se ralentir. 

Ils étaient 483 815 au 1er janvier 2012, en baisse de 1,1 % par rapport au 1er janvier 2011. « Cette baisse est plus faible que celle enregistrée l'année précédente, qui avait également connu une décélération du recul démographique, note la MSA. 

Elle s'inscrit dans une tendance au ralentissement du rythme de la baisse démographique de la population des chefs d'exploitation ou d'entreprise agricoles observée depuis 2005. » En 2012, les MSA ont enregistré 17 197 entrées de chefs d'exploitation ou d'entreprise dans le régime des non-salariés agricoles pour 22 600 sorties, soit un taux de remplacement des départs de 76 %, nettement supérieur à celui de 2011 (71 %). 

La baisse démographique est générale dans les secteurs d'activité traditionnelle de l'agriculture. Les effectifs de chefs d'exploitation reculent de - 0,4 % pour le secteur « élevage horssol » à - 2,3 %, dans le secteur des « cultures spécialisées ». 

À l'inverse, les secteurs des entreprises de service, et particulièrement les centres équestres et les paysagistes voient leurs effectifs continuer de croître. À noter également que le secteur « élevage bovin lait et mixtes » demeure la catégorie d'activité dominante avec 103 000 chefs d'exploitation (21 %), suivie par celle des « cultures céréalières et industrielles » avec 83 000 chefs (17 %), et celle des « élevages de viande » : 80 000 chefs (16,5 %).

Formation initiale : Les deux visages de l’alternance

Alterner enseignement théorique et pratique et se doter ainsi d’une expérience professionnelle, c’est possible grâce à l’enseignement par alternance et ce, pour un grand nombre de diplômes. Mais attention, entre le stagiaire en MFR ou l’apprenti sous statut salarié, les conditions diffèrent.

Alternance… Apprentissage… Deux mots couramment utilisés quand on parle de formation initiale, mais souvent source de confusion.
Alors mettons les choses au clair ! La formation par alternance consiste à associer des périodes complémentaires, en entreprise pour la pratique, et en centre de formation pour l’enseignement théorique.

L'alternance en détail

BTS : Choisir entre formation initiale et apprentissage

Entre la voie scolaire et celle par alternance, chacun peut trouver un BTS adapté à son profil et à son ambition. 

Au final, les deux formations mènent aux mêmes examens et délivrent le même diplôme, alors laquelle choisir ? 

Décryptage au Groupe ESA d’Angers, où les deux formules sont proposées.

Agro-Transfert Ressources et Territoires Protection intégrée en légumes, six années de travail

Agro-Transfert, une association de recherche et de développement en Picardie, oriente ses travaux sur les nouveaux enjeux de l’agriculture, de l’agro-industrie et des territoires.

Le sujet sur la protection intégrée des légumes industriels de plein champ arrive bientôt à terme après six années de travail.

Détails sur ce projet.

Lionel Valley : « L’enseignement : un concours de circonstances »

Une carrière toute tracée de responsable de production aquacole en Espagne, puis une crise économique qui stoppe tout et enfin un poste au Legta de la Canourgue : voici le parcours de Lionel Valley, un enseignant heureux.

Quel est son parcours ?

Une nouvelle version pour le portail de l’enseignement agricole

Auparavant baptisé Portea, le portail web de l’enseignement agricole est désormais rattaché au site du Ministère de l'agriculture, mais il conserve ses objectifs : accompagner les jeunes et les adultes dans leurs projets d'orientation.

Le portail présente d'abord des fiches métiers avec une recherche par secteur ou par thème. Ces fiches s'accompagnent de nombreux témoignages vidéo.
Deux moteurs de recherche permettent également de découvrir l'ensemble des formations et des établissements publics et privés. Vous pouvez également suive l'actualité de l'enseignement agricole dans l'espace Pro du site du Ministère de l'agriculture et sur Facebook.

http://enseignement-agricole.agriculture.gouv.fr/

http://agriculture.gouv.fr/Enseignementagricole

http://www.facebook.com/ensnature?filter=2

L'Apecita sur les réseaux sociaux

Outre cette lettre envoyée chaque mois à plus de 110 000 destinataires, vous pouvez suivre l'actualité de l'emploi et de la formation en agriculture, agroalimentaire et environnement sur les réseaux sociaux. En plus du site apecita.com, l'Apecita est présente sur les réseaux sociaux avec un blog (Tribune verte), Twitter et Facebook. A travers ces nouveaux moyens de communication, vous pouvez échanger et poser vos questions. Enfin, rappelons que nos offres d'emploi sont désormais consultables sur smartphone avec deux applications pour iOS (iPhone) et Android.

Télécharger les applications pour smartphone

La page Facebook de l'Apecita

Le fil Twitter de l'Apecita

Réseau des Cuma : Les Cuma diversifient leurs activités

Le réseau des Cuma (coopératives d’utilisation du matériel agricole) vient de publier l’édition 2013 de ces derniers chiffres clés (données 2011). Ainsi, les 11 545 Cuma en France regroupent environ 40 % des exploitations agricoles françaises et jusqu’à 75 % dans certaines régions.

Chacune d’entre elles compte en moyenne 20 adhérents mais le réseau des Cuma relève une grande diversité des structures : « du groupe restreint de quatre exploitations à la Cuma départementale de plus de 100 adhérents ».
Le chiffre d’affaires total des Cuma est de 495 millions d’euros en 2011. Il a augmenté de 7 % depuis 2009. Au cours des dernières années et pour répondre aux nouveaux enjeux de la profession, les Cuma ont su diversifier leurs activités.
Si le transport (bennes, remorques…) et l’épandage de fumier (près de 50 % des Cuma concernées) restent leurs activités principales, de nouvelles ont tendance à se développer : le désherbage mécanique (+ 15 %), le déchiquetage de bois (+ 6 %), le compostage (+ 2 %) ou la distribution d’aliments (+ 27 %).
« Les Cuma impliquées dans les circuits courts sont également plus nombreuses qu’en 2009 (+ 41 %), constate le réseau. La mise en commun de l’assolement se développe au sein des Cuma (+ 10 %) pour optimiser encore et partager les risques. » 

Côté emploi, 1 563 Cuma emploient environ 4 600 salariés en 2011 selon les chiffres de la MSA. Chacune compte en moyenne 2,80 salariés, saisonniers ou permanents en CDI (1,34 équivalent temps plein). « Le développement de l’emploi est au coeur des orientations
du mouvement », assure le réseau des Cuma.

Salariés agricoles : un guide de la formation continue

La fédération régionale des Asavpa de Midi-Pyrénées (Associations des salariés de l'agriculture pour la vulgarisation du progrès agricole) a réalisé un guide de la formation continue pour les salariés agricoles. 

Le document téléchargeable à l'adresse ci-dessous apporte des réponses aux candidats à la formation : quels sont mes besoins? Qui peut m'informer? Où trouver des formations? Comment les financer ? Et comment convaincre mon employeur qui reste le décideur? Sur ce dernier point, le guide aide à élaborer un argumentaire. Enfin, il fournit des adresses utiles pour la région Midi-Pyrénées. 

Mais n'hésitez pas à contacter votre délégation régionale de l'Apecita si vous êtes dans une autre région.

Consulter le guide de la formation continue des salariés agricoles

http://www.apecita.com/delegations.aspx

Fafsea : 1 chômeur sur 2 prêt à se reconvertir dans l'agriculture

A l'occasion du salon international de l'agriculture, le Fafsea (Fonds d'assurance formation des salariés des entreprises agricoles) publie un sondage sur les demandeurs d'emploi et la formation professionnelle agricole. 
Il révèle que 51 % des chômeurs sont prêts à travailler dans l'agriculture, et pour 82%, une formation professionnelle dans ce secteur leur permettrait de trouver plus facilement un emploi. 

Plus des deux tiers des demandeurs d'emploi habitant en zone rurale ou péri-urbaine se disent prêts à suivre cette formation. Quant à ceux situés en milieu urbain, 79 % sont d'accord pour déménager à la campagne afin de trouver du travail.

Consulter les résultats du sondage Fafsea-OpinionWay

Accord national interprofessionnel entre patronat et syndicats

Après trois mois de négociations, trois organisations syndicales (CFDT,CFTC et CGC) et le patronat ont abouti le 11 janvier dernier à un accord national interprofessionnel intitulé « pour un nouveau modèle économique et social au service de la compétitivité des entreprises et de la sécurisation de l’emploi et des parcours professionnels des salariés ».

Cet accord a été transformé en projet de loi présenté en Conseil des ministres le 6 mars. Il sera examiné par les députés en avril afin de permettre son entrée en vigueur dès le mois de mai. Il prévoit notamment la création d'un compte personnel de formation et l'assouplissement des conditions d'accès des salariés de moins de 30 ans en CDD au CIF (Congé individuel de formation).

Consulter l'accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013

Sondage BVA /Crédit Agricole : Des agricultrices confiantes

Les femmes représentent aujourd’hui environ un tiers des actifs agricoles et constituent le quart des chefs d’exploitation en France, alors qu’elles n’étaient que 8 % en 1970. 

Le Crédit Agricole a souhaité dresser leur portrait et les interroger sur leurs parcours, leurs motivations et la perception de leur place dans la société. Ainsi, dans un récent sondage BVA/Crédit Agricole, il en ressort que les agricultrices d’aujourd’hui sont bien dans leurs bottes puisqu’elles sont à 59 % plutôt confiantes en leur avenir et à 86 % confiantes
pour les moins de 40 ans.
63 % des moins de 40 ans aimeraient d’ailleurs que leur fille devienne agricultrice. « Être une femme aujourd’hui n’est pas un inconvénient pour diriger ou codiriger une exploitation, note le Crédit Agricole.
Les agricultrices ont réussi à s’affirmer dans un monde où leur rôle n’était pas reconnu. Les mentalités ont fortement évolué puisque 77 % s’attachent même à dire qu’être une femme en agriculture ne constitue pas un obstacle. » En revanche, alors qu’elles se sentent reconnues dans leur milieu, elles avouent l’être beaucoup moins par les pouvoirs publics et les consommateurs.

Retrouvez tous les résultats de ce sondage sur le site www.credit-agricole.com à la rubrique
actualités et décryptage.

TéléRC : demande d'homologation de rupture conventionnelle en ligne

La rupture conventionnelle permet à l’employeur et au salarié de rompre le contrat de travail d’un commun accord. Elle doit être préalablement validée par la Direccte (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi).


Cette demande d'homologation peut désormais être réalisée sur un nouveau site Internet du Ministère du travail. Une fois rempli en ligne, le formulaire doit être téléchargé, signé par l'employeur et le salarié, puis envoyé à la Direccte à l'issue du délai légal de rétractation de 15 jours calendaires.

https://www.telerc.travail.gouv.fr/

Le gouvernement veut doubler le nombre d'étudiants à l'étranger

Le premier ministre a présenté le 6 novembre dernier les 35 mesures du pacte national pour la croissance, la compétitivité et l'emploi. Parmi les annonces, figure la volonté de doubler le nombre d'étudiants français à l'étranger, en particulier ceux des filières professionnelles et technologiques, via le programme "Mobilité Internationale 2020". 

Le gouvernement compte s'appuyer sur les programmes Erasmus pour les étudiants post-bac, Leonardo pour les élèves en CAP et BEP, et Agefa-mobilité pour la formation en alternance dans les petites et moyennes entreprises. Le volontariat international en entreprise (VIE) devrait également augmenter de 25% en 3 ans et devenir accessible à une plus grande diversité de profils.


Consulter le blog de l'orientation

Recrutement : les discriminations n'ont pas disparu

D'après une enquête réalisée en 2012 par l'Apec (Association pour l'emploi des cadres) auprès des recruteurs et des cadres, les discriminations n'ont pas complètement disparu lors des recrutements. 

L'âge arrive au premier rang, mais les candidat(e)s citent également la grossesse, l'apparence physique ou l'origine ethnique. 
D'autres critères sans rapport avec les compétences sont également évoqués : un temps de transport supérieur à 2 heures par jour, être au chômage depuis plus d'un an ou venir d'une autre fonction que celle du poste à pourvoir. 

Entre 2005 et 2012, la part des cadres ayant ressenti une discrimination lors d'un entretien est passée de 28 % à 34 %.

Recruter un cadre : entre sélection et risque de discrimination

Intégrer les BTS au système LMD : licence-master-doctorat

Mis en place dans les universités, le système LMD a pour objectif d'harmoniser l'enseignement supérieur au niveau européen. 

En France, 17 établissements du Ministère de l'agriculture expérimentent durant trois ans ce système pour les BTS. Contrairement au Deug (diplôme d'études universitaires générales), le BTS ne sera pas supprimé. Mais les deux années d'études sont réorganisées en quatre semestres avec une évaluation à la fin de chacun d'eux, comme à l'université. Les étudiants pourront ainsi accéder plus facilement à la licence en France ou dans un autre pays européen. Le document ci-dessous présente le cas du BTS viticulture-oenologie au lycée de Bordeaux-Blanquefort.

Le système LMD au lycée de Bordeaux-Blanquefort

Réussir son profil Viadeo

La recherche d'emploi passe désormais par le web et les réseaux sociaux professionnels. 

Avec 5 millions de membres, Viadeo est la plate-forme la plus utilisée en France. Elle constitue un bon moyen pour vous présenter et nouer des contacts. 

A l'adresse ci-dessous, trois spécialistes du recrutement donnent des conseils pour réussir votre profil : photo, mise en avant de votre expérience, choix des mots-clés, adhésion à des groupes, etc. Viadeo permet de constituer un réseau de contacts professionnels et de vous faire connaître. Mais attention de ne pas solliciter n'importe qui. Avoir plusieurs centaines de contacts ne fait pas forcément bonne impression !

Comment réussir son profil Viadeo

Application mobile apecita vite, des offres !

Dans un monde où tout va toujours plus vite, la recherche d’emploi ne doit pas prendre de retard. Les offres doivent être acheminées aux candidats le plus rapidement possible.

C’est ce que prévoit l’Apecita en proposant aux candidats une application mobile destinée à recevoir les offres d’emploi en temps réel.

L'Appli de l'Apecita en détail

Aquitaine Spécialités, Gironde : Spécialiste du canelé de Bordeaux

Aquitaine Spécialités élabore des canelés de Bordeaux dans le respect de la recette originale, sans conservateur, ni additifs. 

L’entreprise girondine, leader sur le créneau industriel, n’a cessé de croître depuis sa création en 1993, grâce à son savoir-faire et à sa capacité d’adaptation.

Aquitaine Spécialités en détail

Didier Cadiou : De maraîcher à chef d'entreprise

De l’exploitation familiale spécialisée en maraîchage, Didier Cadiou n'a conservé que l'atelier de production de plants. 

À 52 ans, il dirige la société Emeraude Plants, l’un des quatre plus gros faiseurs de plants potagers en France.

Quel est son parcours ?

L’agriculture : des emplois méconnus

Contrairement à ce que pensent 90 % des Français, l’agriculture n’est pas constituée que de chefs d’exploitation ! Avec 355 000 salariés permanents et près de 860 000 saisonniers recrutés chaque année, les perspectives d’emploi sont nombreuses.
Sans oublier que l’agriculture offre une diversité de métiers dans ses différents secteurs. Agent de culture, maître de chai, paysagiste d’intérieur, conducteur d’engin, contrôleur laitier… la liste est longue.
Il est vrai que certains secteurs attirent plus que les autres. Ainsi, d’après le récent sondage Anefa – Apecita  / OpinionWay, un Français sur quatre serait prêt à travailler dans la filière « paysage et espaces verts » et celle de la « vitiviniculture ». La bonne image générée par le bio tire aussi son épingle du jeu puisqu’un Français sur cinq se verrait bien travailler dans ce domaine.
De plus, les Français ont aujourd’hui une image plus positive des emplois agricoles qu’ils qualifient de plus technologiques qu’archaïques, tournés davantage vers le futur que le passé, passionnants et pas ennuyeux ou encre « aménageurs » du territoire.
Cependant, seulement 40 % des personnes interrogées seraient prêtes à inciter leurs enfants à suivre des études agricoles et ce, notamment en raison de la difficulté qu’ils imaginent à trouver un métier !
Pourtant, les titulaires d’un Bac pro agricole sont 2 fois moins touchés par le chômage que les autres bacheliers : 1 à 4 ans après leur sortie de formation, ils sont seulement 6 % contre 12 % dans l’enseignement général.
Quant aux diplômés de l’enseignement supérieur agricole, 73 % d’entre eux travaillent 6 mois seulement après la fin de leurs études. « Si elle veut attirer les bras et les cerveaux dont elle a besoin, l’agriculture doit mobiliser toutes ses ressources pour promouvoir ses métiers, ses nombreux débouchés et ses possibilités d’évolution », confient l’Anefa et l’Apecita.

Secteur du paysage : Des métiers et des formations pour tous

Conception de jardins, entretien, gestion de l’arrosage automatique, élagage, reboisement… Le secteur du paysage offre des métiers nombreux et variés. 

Mais la majorité d’entre eux requiert des connaissances techniques importantes. D’où la nécessité d’être bien formé pour réussir dans cette filière !

Quelles sont les formations pour le paysage ?

Pérenniser l’emploi précaire agricole

Afin de fidéliser le salariat agricole dans les exploitations, Pluralis, un groupement d’employeurs agricole, a donné naissance à un second groupement d’employeurs multisectoriel cette fois-ci. 

Ce dernier permet d’ajouter des activités rurales aux activités agricoles.

Jean-Marie Fortin est le président d’un groupement d’employeurs multisectoriel qui permet de transformer des emplois précaires agricoles en emplois stables.

Pluralis en détail

Forum de l’Emploi à l’ATRIA de Belfort le 14 mars 2013

L’APECITA sera présente le 14 mars 2013 au Forum de l’Emploi à l’ATRIA de Belfort de 9h à 16h.

Venez découvrir les métiers du vivant !

Cette manifestation a pour objectif la promotion des métiers de l’agriculture et de l’agroalimentaire.

3 pôles sont identifiés :

Présentation des métiers par des professionnels de Franche-Comté.
Présentation des formations par les établissements de Franche-Comté.
Présentation des organismes spécialisés de l’emploi où vous pourrez rencontrer un conseiller APECITA.

Infos pratiques :

Accès libre et gratuit. Pour tous les publics.

Localisation :

Centre ATRIA (centre ville) – Avenue de l’Espérance 90000 BELFORT

Lilian Balanche, céréalier et futur responsable agricole « Je n’envisage pas d’activité sans formation ! »

Attiré par le terrain plutôt que par les bancs de l’école, Lilian Balanche est vite revenu sur la ferme familiale. 

Maintenant qu’il est installé, il ressent le besoin de retourner régulièrement derrière les pupitres pour se former de nouveau.

Se former pour la technique et l'humain...

L’emploi salarié agricole en restructuration

La MSA vient de dévoiler les chiffres de l’emploi du régime agricole au premier trimestre 2012. Des chiffres qui confirment ceux du trimestre précédent et qui montrent que l’emploi semble entamer une phase de récession, rejoignant dans la crise d’emploi le reste de l’économie française.

Ainsi, le nombre de contrats actifs au cours du 1er trimestre 2012 est en recul de 1,1 % par rapport au 1er trimestre 2011, une évolution globale «toutefois à nuancer par grand secteur», précise la MSA.
Le secteur de la production agricole connaît un repli de 1,1 %, un recul occasionné par des pertes d’emploi en CDI (-2,3 %), le nombre d’emplois en CDD restant équivalent. 
L’emploi dans le secteur de la transformation s’est stabilisé après 4 trimestres consécutifs de hausse, une augmentation du nombre d’emplois en CDD compensant un léger tassement du nombre d’emplois en CDI. 
Dans le secteur tertiaire, l’emploi poursuit son repli (- 1,5 % au 1er trimestre 2012), soit un 4e trimestre de baisse consécutif, « confirmant que sa conjoncture s’inscrit dans celle de l’ensemble de l’économie français », selon la MSA. 

Enfin, la baisse observée le trimestre précédent dans le secteur « autres activités » se confirme avec un taux de – 1,8 % au premier trimestre 2012. 

La MSA a également remarqué que « l’emploi agricole permanent change de nature, les embauches en CDD se substituant aux embauches en CDI.» Alors que, traditionnellement, le premier trimestre est marqué par un très important turnover, un volume important de créations et de fins d’emploi, ainsi que des passages de CDD en CDI, en 2012, cela n’a pas été le cas. Les créations d’emploi en CDI et les passages de CDD en CDI affichent des baisses allant de - 15 à - 45 % par rapport au premier trimestre 2011. Ce qui expliquerait d’ailleurs que, quel que soit le secteur d’activité, les créations d’emplois en CDD sont en hausse de 4 à 9 % sur cette même période. Les cessations de contrats, sont quant à elles en recul, entre - 8 et - 10 %.