lundi 31 octobre 2016

"On ne naît pas entrepreneur, on le devient !"

L’enseignement supérieur ne sensibilise que trop rarement les futurs diplômés au monde de l’entrepreneuriat. Et pourtant, ils sont nombreux à en avoir l’envie et les capacités, souvent insoupçonnées. C’est face à ce constat que Catherine Derousseaux a créé, voilà plus de 12 ans, Les Entrepreneuriales, un programme professionnel d’entraînement terrain à la création d’entreprise et d’activité, ouvert à tout étudiant d’un territoire économique, hors les murs et gratuit.

Catherine Derousseaux, fondatrice du concept et déléguée générale "Les Entrepreneuriales"

dimanche 30 octobre 2016

La CVthèque qui permet de recruter d’anciens alternants.

Créé en 2014 par une vingtaine de grands groupes de tous secteurs, le site engagements-jeunes.com permet aux entreprises adhérentes de partager les jeunes qu’elles ont formés en alternance mais qu’elles n’ont pas embauchés. On estime en effet à 20 % le pourcentage des jeunes alternants qui se retrouvent sur le marché du travail, soit parce qu’il n’y avait pas de poste pour eux, soit parce que le jeune souhaite travailler dans une autre entreprise. Aujourd’hui, 8500 jeunes diplômés, dont 50 % justifiant d’un diplôme Bac +5, y sont inscrits, CV à l’appui. Plus de 3200 offres d’emploi y sont proposées par les 50 grandes entreprises et 300 PME adhérentes. L’intérêt de cette CVthèque interentreprises est de pouvoir capter des anciens alternants très qualifiés et opérationnels. Depuis avril dernier, le site propose également au grand public des offres de contrats en alternance, des stages et des VIE.

http://www.engagement-jeunes.com/

Certificat Voltaire : Attester d’un niveau de français

Créé en 2010, le certificat Voltaire est un moyen d’estimer son niveau en français. Si l’examen est avant tout passé à titre privé, il peut ensuite être valorisé sur un CV.*

« Un curriculum vitae qui contient une ou plusieurs fautes a trois fois moins de chances de passer la présélection, certifie Pascal Hostachy, responsable du Projet Voltaire. C’est un véritable critère de sélection, notamment pour les postes de cadre. D’autant plus que 82 % des recruteurs sont sensibles à l’orthographe des candidats postulant dans leur entreprise. »

Découvrez le certificat voltaire

samedi 29 octobre 2016

« www.mon-cep.org »

Réalisé par le Fonds Paritaire de Sécurisation des Parcours Professionnels (FPSPP) et placé sous la haute autorité du Ministère du Travail, de l’Emploi, de la Formation Professionnelle et du Dialogue Social, ce site a pour objectif de promouvoir et d’informer sur le Conseil en Evolution Professionnelle (CEP). Rappelons que ce nouveau dispositif d’accompagnement, entièrement gratuit et personnalisé, est proposé depuis le 1er janvier 2015 à toute personne souhaitant faire le point sur sa situation ou établir un projet d’évolution professionnelle (reconversion, création d’activité,…). Pour l’instant le site se contente de présenter les principales caractéristiques du CEP et d’indiquer, en fonction de son secteur professionnel, l’organisme à contacter pour rencontrer un conseiller. Probablement s’enrichira-t-il d’autres informations en même temps que le dispositif se développera.

http://www.mon-cep.org/

Open agrifood : Promouvoir l’alimentation citoyenne

« Alimentation et innovation responsables », telle est la thématique de l’Open agrifood 2016, qui se tiendra les 16 et 17 novembre à Orléans. L’occasion pour Xavier Beulin et les organisateurs de rappeler le contexte de cette troisième édition et d’en présenter le programme. 

Pour la troisième année consécutive, l’Open agrifood réunira l’ensemble des acteurs économiques, du champ à l’assiette, autour des enjeux de l’agriculture, de l’industrie agroalimentaire et de la distribution de demain...

Open agrifood en détail

vendredi 28 octobre 2016

Jobdating à Terres en Fête : Plus de 15 candidats recontactés par des entreprises

20 minutes pour convaincre et marquer les esprits ! C’est le challenge des jobdatings organisés par l’Apecita lors du Salon Terres en fête dans le Pas-de-Calais. L’occasion de rencontrer des recruteurs pour leur présenter sa motivation et ses qualités.

Pour sa deuxième édition sur le Salon Terres en fêtes, le jobdating de l’Apecita Hauts-de-France a fait le plein de candidats et d’offres d’emploi. Plus de 50 aspirants étaient présents afin de rencontrer dix petites et grandes entreprises en recherche de nouveaux talents. « Les entreprises étaient là pour de réels besoins, et non pas pour compléter leur vivier », explique Charline Laroze, conseillère emploi formation de la délégation Hauts-de-France de l’Apecita. Plus de 15 candidats ont été recontactés par des entreprises et, à ce jour, un recrutement a été finalisé à la suite de l’évènement

Le jobdating de Terres en fête en détail

Emploi cadres : l’Apec toujours optimiste.

C’est l’embellie sur le marché de l’emploi des cadres : l’Apec, qui a réactualisé ses prévisions en juillet, tablait sur 200 000 recrutements en 2016, soit 10 000 de plus que ce qu’elle envisageait au début de l’année, et 10 % de plus qu’en 2015. Les fonctions informatiques, commerciales et R & D continuent de tirer les besoins, de même que les départs à la retraite libèrent de nombreux postes. 

Si cette tendance se confirme, le niveau d’embauches des cadres pourrait être l’équivalent de celui de 2008. À condition, souligne l’Apec, que le Brexit ne vienne pas trop contrarier les investissements des entreprises.

jeudi 27 octobre 2016

Emploi : ce que les étudiants attendent de leur futur job.

Les attentes des jeunes générations d’aujourd’hui vis-à-vis de leur travail ne sont certainement pas les mêmes que celles de leurs ainées. Alors qu’il y a un demi-siècle, la rémunération, les avantages en nature, les responsabilités et les possibilités d’évolution occupaient les premières places, une étude récente d’Ipsos montre que tout cela a bien changé. 

Un travail utile, qui a du sens, conforme à ses valeurs, au service des autres, voilà les aspirations des étudiants de XXI siècle. L’intérêt du poste est également primordial, sans oublier l’ambiance de travail qui compte beaucoup. C’est probablement pour toutes ces raisons que beaucoup (50 %) aimeraient travailler dans l’Economie Sociale et Solidaire. Un attrait qui d’ailleurs ne faiblit pas chez les jeunes diplômés entrés dans la vie active, puisqu’ils sont alors 2 sur 3 à vouloir y travailler.

L'étude Ipsos (synthèse)

mercredi 26 octobre 2016

La clause de mobilité : quelles conditions pour sa mise en oeuvre ?

Pour s’imposer au salarié, la clause de mobilité doit être indispensable à la protection des intérêts de l’entreprise, être proportionnée au but recherché compte tenu de l’emploi occupé, avoir un périmètre d’application géographique précis et ne pas porter atteinte au droit du salarié à une vie personnelle et familiale. Par exemple, le salarié peut refuser une mutation pour des raisons liées à la garde d’enfants. 

Par ailleurs la mise en œuvre de la clause ne doit être ni abusive ni déloyale et doit respecter un délai de prévenance et de réflexion suffisant. Elle doit être dictée par l’intérêt légitime de l’entreprise, et si ce n’est pas le cas, il appartient au salarié de démontrer que la décision de l’employeur n’est qu’une sanction déguisée.

mardi 25 octobre 2016

Stages en entreprises : le point sur les droits et les devoirs.

L’accueil de stagiaires au sein de l’entreprise est soumis à un certain nombre d’obligations fixées par la loi et auxquelles il est difficile de se soustraire. Que doit prévoir la convention de stage ? Le stagiaire perçoit-il une rémunération, et si oui comment est-elle calculée ? Des jours de congés sont-ils prévus ? Quelles tâches l’entreprise peut-elle confier ? Des horaires peuvent-ils être imposés ? Telles sont les principales questions que ne manquent pas de se poser à la fois le futur stagiaire mais aussi l’entreprise au moment de se mettre d’accord.

Les 5 questions-réponse sur les stages en entreprise

lundi 24 octobre 2016

Réseaux sociaux professionnels : qu’en pensent les recruteurs ?

Cette étude conduite par Viadeo auprès d’un panel de 2260 DRH et consultants en recrutement permet de mieux connaitre l’usage que font les professionnels des réseaux sociaux. On y apprend que 88 % y sont présents, 40 % d’entre eux depuis plus de 5 ans. Que 90 % des utilisateurs s’y connectent au moins une fois par semaine. Que le principal intérêt de ces réseaux est d’élargir les viviers de candidats, notamment en touchant des profils présents nulle part ailleurs. Enfin, 1 recruteur sur 2 leur promet un grand avenir, certains les voyant supplanter les jobboards traditionnels à la première place des canaux de recrutement.

La synthèse de l'étude de Viadeo

dimanche 23 octobre 2016

Agent de chai

Egalement appelé caviste ou agent vinicole, l’agent de chai travaille dans une exploitation viticole, dans un groupement d’exploitations, pour une coopérative ou pour une société de négoce. 

Il prépare le chai, réceptionne la vendange, suit les fermentations, effectue les opérations nécessaires à l’élevage et au conditionnement du vin ainsi que tous les travaux liés à l’activité courante du chai. Placé sous la responsabilité du maître de chai, il travaille en équipe et son activité est particulièrement intense les 4 derniers mois de l’année. Il doit faire preuve de disponibilité, d’une bonne capacité d’adaptation mais aussi de rigueur et de méthode. 

Titulaire d’un CAP, voire d’un Bac Pro, option « Vigne et Vin », il peut espérer accéder au poste de maitre de chai en complétant sa formation sur les techniques de la cave et en montrant de réelles capacités d’autonomie et d’encadrement.

Découvrez la fiche métier Agent de chai

samedi 22 octobre 2016

Formation : premier bilan du plan 500 000 formations.

Partant du principe qu’il est plus facile de s’insérer sur un marché de l’emploi en pleine mutation quand on a une formation répondant aux besoins de son bassin d’emploi, les pouvoirs publics ont lancé en février dernier le plan « 500 000 formations supplémentaires ». 

Ce projet vise à sortir les chômeurs de longue durée de l’impasse dans laquelle ils se trouvent. 
L’objectif est d’inscrire en formation un million de demandeurs d’emploi d’ici la fin de l’année. Un milliard d’euros ont été débloqués, répartis entre les régions en fonction de leur nombre de chômeurs. Celles-ci sont mobilisées avec Pôle Emploi pour choisir les bonnes formations. Les candidats potentiels, notamment ceux qui ont émis par le passé le souhait d’intégrer une formation sans y parvenir, sont appelés par les agents de Pôle Emploi.

Fin juillet, 380 000 personnes étaient inscrites en formation contre 227 000 l’an passé. Ces premiers résultats sont encourageants mais doivent être confirmés.

vendredi 21 octobre 2016

Alternance : se faire embaucher et rester

Dans cette série d’articles publiée par Keljob, on trouvera toutes les informations pour réussir pleinement son parcours de formation en alternance. 

Comment choisir son entreprise ? Quelles sont les bonnes questions à se poser ? Quels arguments déployer pour convaincre un recruteur ? Comment réussir son intégration dans l’entreprise ? Quelles erreurs à ne pas commettre pour se faire embaucher en CDI en fin de formation ? 

Autant de questions essentielles, souvent traitées à partir de l’expérience de recruteurs ou d’anciens alternants.

Réussir son alternance

jeudi 20 octobre 2016

Des services et conseils aux candidats et recruteurs

L’objectif principal de l’APECITA est de favoriser la rencontre des employeurs avec des personnes à la recherche d’un emploi. 

À cette fin, l’association accompagne les entreprises dans leur recrutement, conseille et oriente les candidats. Parmi ses services, l’APECITA propose aux employeurs un service d’accompagnement à la carte, qui varie en fonction des besoins de l’entreprise et des spécificités de chaque délégation.

Gros plan sur les services proposés…

Un secteur où on peut « se régaler » !

De l’emballage de pet food à la fabrication de pizzas au feu de bois, jusqu’à l’embouteillage du Get 27, Benoît Diez a tracé sa voie d’ingénieur en automatisme dans plusieurs entreprises agroalimentaires. Un secteur qu’il apprécie pour sa proximité avec le produit.

Découvrez le parcours de Benoît Diez

mercredi 19 octobre 2016

une multitude de métiers dans l’agroalimentaire

Quels sont les principaux métiers de la filière agroalimentaire, et quels sont les principaux diplômes pour y arriver ?

Annie Jestin : La filière agroalimentaire propose une très grande diversité de métiers. Les métiers de la production représentent environ 60 % des postes, Brigitte Diez, Annie jestin et Isabelle Guyon nous apportent leur éclairage sur cette filière qui, avec plus de 415 000 salariés et près de 150 milliards d’euros de chiffre d’affaires, représente le premier secteur industriel français. de l’agent de production au directeur d’usine, en passant par le conducteur de ligne, le chef de fabrication, le responsable de planning-ordonnancement, le responsable de production… Des postes qui font appel à des niveaux de formation allant du CAP jusqu’au bac + 8. On y trouve également les métiers de l’innovation et de la R&D (technicien, ingénieur R&D, formulateur…), qui recrutent du bac + 2 (BTS, DUT) au bac + 5 (master, ingénieur), voire bac + 8. L’automatisation des processus de production implique de forts besoins en maintenance industrielle (technicien, électromécanicien, responsable maintenance…). La qualité, l’hygiène, la sécurité et l’environnement sont aussi des problématiques centrales au sein des industries agroalimentaires (IAA), et on trouve donc logiquement des postes tels qu’animateur qualité, technicien qualité, technicien de laboratoire, animateur QHSE, responsable qualité…

Découvrez les métiers dans l'agroalimentaire

mardi 18 octobre 2016

Des métiers diversifiés ouverts à tous

Les industries agroalimentaires proposent une large palette de métiers. La production, qui regroupe la fabrication et le conditionnement, reste évidemment le secteur qui offre le maximum d’emplois. L’entretien et la maintenance, fonctions qui reposent sur des compétences techniques, assurent pour leur part le bon fonctionnement des installations de production et leur optimisation, cela dans le respect des normes réglementaires.

Autres métiers phares dans l’industrie agroalimentaire : les fonctions d’achat et logistique, qui ont la particularité d’être en lien avec tous les services de l’entreprise. La commercialisation et le marketing regroupent eux aussi une grande diversité de métiers, dont l’objectif commun est la vente des produits, la fidélisation de la clientèle et le développement des parts de marché de l’entreprise.

Quant à la qualité, fonction transversale qui concerne toutes les activités de l’entreprise, elle intègre les contrôles en cours de fabrication, maîtrise la traçabilité et la sécurité sanitaire des aliments ainsi que la certification.

Le département recherche et développement est axé sur l’innovation et travaille en relation avec l’ensemble des fonctions, notamment le marketing afin de répondre aux besoins des consommateurs. Il consiste également à faire évoluer le niveau technologique de l’entreprise. On peut enfin citer toutes les fonctions transversales qui concernent la direction, la gestion et administration, les ressources humaines, l’informatique…, fonctions indispensables au bon fonctionnement d’une entreprise.

Quels sont les métiers dans le secteur agroalimentaire ?

Signature d’une Convention : Apecita et Aria main dans la main pour accompagner les IAA

L’Apecita et le réseau des Aria de France signent une convention durant le Sial 2016. L’objectif ? Faire travailler leurs réseaux ensemble pour être plus pertinents et plus visibles, au service des entreprises agroalimentaires.

Ensemble, on est plus fort : c’est l’idée que les réseaux des Aria (associations régionales des industries alimentaires) de France et de l’Apecita* ont commencé à mettre en pratique. Des partenariats régionaux existent déjà entre ces deux associations (en Bourgogne, Centre et Île-de-France, par exemple), mais une convention nationale vient de donner un cadre plus formel à cet engagement réciproque. Un moyen de donner envie aux autres régions de décliner ensuite cette charte selon leurs propres spécificités. L’objectif de cette convention ? Promouvoir les métiers de l’agroalimentaire, apporter des services aux entreprises, mieux communiquer et faire collaborer les réseaux. En bref, être plus pertinents et plus visibles.

Convention ARIA et APECITA

lundi 17 octobre 2016

Jobagroalimentaire.com : Le site de référence pour l’emploi en agroalimentaire

Créer un espace emploi dédié au secteur agroalimentaire : c’était l’objectif de l’Apecita lorsque l’association a créé le site jobagroalimentaire.com.

Deux ans après son démarrage, les chiffres de fréquentation sont là pour montrer que l’idée était pertinente et que le site répond bel et bien à une demande. Avec plus de 8 000 offres diffusées, jobagroalimentaire. com enregistre actuellement 40 000 connexions chaque mois. 10 000 candidats y ont créé leur profil, et 1 500 entreprises utilisent ses services. Des chiffres qui ont fortement progressé en deux ans de fonctionnement.

Comment fonctionne jobagroalimentaire.com ?

lundi 10 octobre 2016

Certificat Cléa : des compétences validées et donc reconnues

Si chacun utilise connaissances et compétences au quotidien, il est parfois difficile de les expliciter face à un employeur. En l’absence de diplômes, notamment, il était jusqu’alors souvent difficile de les faire admettre. C’est désormais plus aisé avec le certificat CléA. 

À la fin du mois de juin, plus de 6 000 candidats avaient déjà été évalués et 628 attendaient que leur dossier passe devant le jury composé de professionnels pour valider leur certificat CléA. Un peu plus de 10 % des candidats décrocheront donc ce tout nouveau certificat sans avoir besoin de formation. Le premier certificat a été délivré le 21 janvier 2016. Après six mois, on note un engouement important pour ce dispositif qui devrait compter 10 000 à 15 000 candidats inscrits à la fi n de l’année 2016. 
Des chiffres conséquents dès la première année de lancement pour une raison assez simple, au final : « Le certificat CléA peut potentiellement concerner un public de 3 à 4 millions de salariés, souligne Christian Janin, président du Comité paritaire interprofessionnel national pour l’emploi et la formation (Copanef). Il s’agit de tous ceux qui sont souvent employés à des tâches non “vitales” d’une entreprise, et donc peu incités à se former. » Ils seront identifiables grâce à l’obligation qui incombe désormais aux entreprises d’évolution professionnelle de chacun de ses salariés tous les six ans. Une photographie plus précise des potentiels candidats au certificat sera donc connue à l’horizon 2020. C’est sans compter les chercheurs d’emploi, concernés eux aussi par ce certificat. « Comme ils sont plus facilement identifiables et qu’il est plus facile de communiquer vers eux, ils représentent pour l’instant 80 % des candidats au certificat CléA », précise le président du Copanef.

CléA c'est quoi

Délégation régionale APECITA Languedoc-Roussillon : Pleins phares sur les interventions en milieu scolaire

Interventions dans les établissements de formation, accompagnement des entreprises dans leurs recrutements, conseils aux candidats et salariés dans leur recherche d’emploi ou leur orientation… Comme toutes les délégations régionales de l’Apecita, le programme est pour le moins chargé en Languedoc-Roussillon. Et pour mener toutes ces missions de front, Sylvie Meloni, déléguée régionale de l’Apecita depuis l’année 2000, peut compter sur Morgane Prost, qui l’a rejointe en 2015 en tant que conseillère emploi-formation. 

« L’arrivée de Morgane Prost m’a permis de me concentrer sur l’accompagnement au long cours des candidats, pour des bilans professionnels par exemple, explique Sylvie Meloni, déléguée régionale de l’Apecita en Languedoc-Roussillon. J’ai été la troisième du réseau à me former aux bilans de compétences. Depuis 2013, j’en ai réalisé près d’une douzaine par an, sur la région mais aussi en Paca et en Rhône-Alpes. »

Découvrez le marché de l'emploi en Languedoc Roussillon

Chambres d’agriculture : L’échelon régional pour des services optimisés

Avec la fusion des régions, les chambres régionales d’agriculture ont dû se réorganiser, sur l’interne comme sur des thématiques « coeur de métier » liées au développement agricole et aux missions consulaires. 

Anticiper et non subir. Voilà le choix des chambres d’agriculture d’Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes – désormais Nouvelle-Aquitaine –, dans le cadre de la réforme territoriale. « Dès novembre 2014, nous commencions nos travaux de réflexion pour coller à la nouvelle grande région administrative. Nous avons eu un fonctionnement à douze départements dès 2015, pour aboutir à la création d’une nouvelle chambre régionale au 1er janvier 2016 », rappelle Bernard Rebière, directeur général adjoint de la nouvelle chambre régionale d’agriculture (CRA). Cette nouvelle structure, dont le siège est à Limoges, est organisée en multisite (Bordeaux et Mignaloux-Beauvoir près de Poitiers). Elle est présidée par Dominique Graciet (président de la chambre d’agriculture des Landes, ex-président CRA Aquitaine), secondé par Luc Servant et Jean-Philippe Viollet (respectivement exprésident CRA Poitou-Charentes et ex-président CRA Limousin). Pierre-Henri Bousquet en est le directeur général (ancien directeur CRA Poitou- Charentes) ; Bruno Millet (ex directeur CRA Aquitaine) et Bernard Rebière (ex-directeur CRA Limousin) sont les deux directeurs généraux adjoints...

Exemple avec la région Nouvelle-Aquitaine.

dimanche 9 octobre 2016

Stéphane Bée, SCAEL : Une coopérative, plusieurs métiers

Stéphanie Bée travaille à la Scael depuis 18 ans. Au fil des postes, il découvre les différentes facettes de la coopérative. 

En janvier dernier, il a rejoint l’équipe services récemment créée notamment pour mieux diffuser les outils d’aide à la décision.

Découvrez le parcours de Stéphane Bée

Enseignement : Réfléchir à des cursus plus connectés

À l’ESA d’Angers, l’intégration du « smart farming » dans les formations est en pleine réflexion, notamment à la demande des entreprises. Si des modules sont déjà proposés sur la gestion de données, l’enjeu est d’aller plus loin sur leur valorisation en élevage, en y préparant les étudiants. La recherche s’y attelle aussi.

Faut-il former davantage de profils mixtes développeur- technicien en élevage ? Quelle valorisation des données, de plus en plus nombreuses au sein des exploitations, et quel modèle économique construire ? L’enseignement agricole se questionne aujourd’hui, comme en témoigne Sébastien Couvreur, enseignant-chercheur en productions animales à l’École supérieure d’agriculture (ESA) d’Angers : « Nous sommes fortement interpellés par ce sujet. Les choses bougent très vite, avec l’arrivée de robots et capteurs dans les exploitations, le développement de start-up valorisant les bases de données, de nouvelles applications smartphone proposées aux éleveurs… » Le secteur de l’élevage doit faire sa mutation, évoque l’enseignant- chercheur : « Après les productions végétales, qui ont amorcé l’agriculture de précision, les productions animales sont en pleine réflexion sur le big data. » 

ESA d'Angers en détail

samedi 8 octobre 2016

Sébastien Fritz, Allice « avec la sélection génomique, le conseil s’enrichit »

Sébastien Fritz est ingénieur R&D pour Allice, union de coopératives d’élevage 1 fédérant des entreprises de sélection et de reproduction animales. Le généticien offre son éclairage sur la sélection génomique d’aujourd’hui et de demain.

La sélection génétique en détail

DeLaval Un groupe international affiche son désir de recrutement

Dans un contexte difficile en matière d’emploi, rares sont les entreprises, voire même les grands groupes internationaux, à afficher une dynamique d’embauche. C’est pourtant le cas du leader mondial en équipements destinés à la production laitière et son élevage.

Pour en savoir plus sur Delaval

vendredi 7 octobre 2016

Adventiel : L’innovation numérique au service de l’Élevage

Tanks à lait connectés, système de saisie gestuelle des données basé sur la Kinect, lunettes intelligentes… L’entreprise bretonne Adventiel conçoit et produit des projets numériques innovants pour le secteur de l’élevage.

Le point avec Vincent Jamet, directeur du développement

Gestion de troupeau : Des logiciels qui recrutent

De l’enregistrement réglementaire des animaux au suivi pointu de l’élevage, les logiciels de gestion de troupeau se développent. Leur diffusion comme l’accompagnement à leur utilisation demandent des compétences, associant parfois agriculture et informatique, mais pas systématiquement.

Découvrez les logiciels de gestion de troupeau

jeudi 6 octobre 2016

Serge Bazin, France Conseil Elevage « les nouvelles technologies rÉvolutionnent l’apport du conseil »

Les nouvelles technologies de recueil de données sont utilisées au quotidien dans les élevages. Elles révolutionnent l’apport du conseil et le rôle du conseiller en élevage, qui doit désormais aider à valoriser l’ensemble des indicateurs fournis par les équipements.

Le point avec SergeBazin, directeur de France conseil élevage.

Élevage connecté L’agriculteur est-il vraiment gagnant ?

Gain de temps, réduction des tâches physiques et répétitives, meilleure gestion du troupeau… Autant d’atouts vantés pour les nouvelles technologies en élevage. Mais l’agriculteur est-il vraiment gagnant au final ?

Nathalie Hostiou, spécialiste du sujet à l’Inra de Clermont-Ferrand, nous répond.

mercredi 5 octobre 2016

"Il faudra des conseillers techniques à l’aise avec les nouvelles technologies"

Quels sont les principaux débouchés qu’offre la filière de l’élevage et quels niveaux de diplôme sont accessibles pour ces différents métiers ?

Fleur Dormoy : Les filières d’élevage représentent un fort potentiel d’emplois et offrent une très large palette de métiers. On peut distinguer les métiers directement liés à la production, comme les responsables d’élevage, les agents d’élevage, les gaveurs, les bergers… On trouve ensuite les métiers annexes, notamment en lien avec la santé des animaux (soigneur, pédicure, vétérinaire…) ou avec l’encadrement et le conseil (inséminateur, conseiller en productions animales, contrôleur de performances…). Sans oublier les postes à vocation commerciale comme le technico-commercial en aliments du bétail, ou le métier de formateur...

Marché de l'emploi dans la production animale

25E édition du Sommet de L’Elevage : Positiver et progresser

Le Sommet de l’élevage se tiendra du 5 au 7 octobre à Clermont-Ferrand. Dans un contexte socioéconomique difficile, les organisateurs de la 25e édition du Salon souhaitent promouvoir l’excellence de l’élevage français et mobiliser les politiques qui feront le déplacement La grand-messe de l’élevage français est de retour.

Entre les stands d’exposants, du 5 au 7 octobre à Clermont-Ferrand, les visiteurs du Sommet de l’élevage pourront admirer les bêtes présentées aux nombreux concours nationaux et régionaux organisés. L’un des plus attendus est le concours national de la race bovine charolaise, la première race allaitante en France et en Europe : plus de 400 reproducteurs seront en compétition. Autre concours national d’envergure, celui des prim’holstein, pour lequel 116 animaux seront mis en compétition. Le Sommet de l’élevage est aussi l’occasion de mettre en avant des races bovines plus confidentielles en France. C’est le cas notamment de la simmental : 37 000 vaches simmental sont aujourd’hui recensées en France quand nos voisins allemands en élèvent près de 2 millions ! Concours et exhibitions sont l’occasion « de faire connaître les races et de les valoriser grâce à la présence d’animaux de haute valeur génétique », expliquent les organisateurs du Sommet de l’élevage.

https://drive.google.com/open?id=0B2telEOjdDFWYng0UG01dzhKUzQ

dimanche 2 octobre 2016

Décrocher un CDI grâce aux groupements d’employeurs

Créés il y a plus de 30 ans par et pour le secteur agricole, les groupements d’employeurs sont aujourd’hui souvent multisectoriels. La France en compte plus de 5000, regroupant 35 500 salariés. Le principe est simple : le groupement recrute et emploie le salarié et le met à la disposition de 2 ou plusieurs entreprises dont les besoins en compétences ne justifiaient pas l’embauche d’une personne à temps plein. Ainsi différents employeurs se partagent les compétences d’un même collaborateur. 

Quelles sont les particularités du processus de recrutement ? Comment s’établissent les relations entre le groupement, les entreprises et le salarié ? Quelles qualités particulières sont nécessaires pour travailler en temps partagé ? Quelles chances d’obtenir un CDI à temps complet ? Cet article de Keljob apporte quelques éclairages.

L'article de Keljob