Derrière "conseiller agricole", se cache un métier aux multiples facettes dans les organisations professionnelles. Le conseiller d'entreprise accompagne l'exploitant dans la gestion globale de son exploitation. Le conseiller technique est spécialisé dans une production (élevage, grandes cultures). Il peut également élaborer des références, réaliser des études technico-économiques et former les agriculteurs. Enfin, le conseiller peut être chargé du développement local en participant à l'émergence de projets. Ce métier nécessite de bonnes connaissances techniques, des qualités d’écoute et le sens du contact. La formation d'ingénieur est le plus souvent demandée.
Consulter la fiche métier conseiller agricole
Chambres d'agriculture : être conseiller agricole aujourd'hui
mardi 31 mars 2015
lundi 30 mars 2015
Recrutement : élargissez la diffusion de vos offres avec l’Apecita
Selon une étude publiée l'an dernier par l'association pour l'emploi des cadres (Apec), 82% des recrutements réalisés en 2013 ont donné lieu à la publication d’une offre. Ce moyen progresse même de 1 point par rapport à l'année précédente. Mais encore faut-il atteindre le maximum de candidats potentiels.
Grâce à son partenariat avec de nombreux sites d’offres d’emploi, l’Apecita vous permet d’élargir votre recherche et de gagner du temps avec un interlocuteur unique. Parlez-en à votre délégation régionale qui établira un plan de diffusion de votre offre d’emploi en fonction du profil souhaité.
http://www.apecita.com/delegations.aspx
Grâce à son partenariat avec de nombreux sites d’offres d’emploi, l’Apecita vous permet d’élargir votre recherche et de gagner du temps avec un interlocuteur unique. Parlez-en à votre délégation régionale qui établira un plan de diffusion de votre offre d’emploi en fonction du profil souhaité.
http://www.apecita.com/delegations.aspx
Services aux personnes et aux territoires : L’autre voie en milieu rural
Pour ceux qui souhaitent travailler en milieu rural, en contact avec les personnes fragiles ou pour l’animation des territoires, il existe la formation service à la personne et aux territoires. Cette formation se destine aux candidats qui aiment le contact avec les autres et qui ont des facilités à communiquer.
Découvrez la formation Services aux personnes et aux territoires
Découvrez la formation Services aux personnes et aux territoires
Chantal De Noni, apprentie cuisinière De Staps aux fourneaux, en passant par la R&D
Après un master innovation-alimentation, Chantal De Noni opére un virage à 180° pour revenir à sa première passion, la cuisine. Aujourd’hui en apprentissage avec le chef dijonnais Vincent Bourdon, elle ambitionne à terme, si possible, d’ouvrir son propre restaurant.
Sa devise aurait pu fournir le slogan d’une campagne du ministère de la Santé. « J’aime faire la cuisine, manger et bouger », nous confie Chantal De Noni. Le troisième terme du triptyque a indiqué la direction de ses études à l’issue du bac S, puisqu’elle s’inscrit en Staps. « J’y étais comme un poisson dans l’eau. Hélas, j’ai été contrainte d’abandonner au bout d’un an pour raisons médicales », déclare la jeune femme.
Découvrez le parcours de Chantal De Noni
Sa devise aurait pu fournir le slogan d’une campagne du ministère de la Santé. « J’aime faire la cuisine, manger et bouger », nous confie Chantal De Noni. Le troisième terme du triptyque a indiqué la direction de ses études à l’issue du bac S, puisqu’elle s’inscrit en Staps. « J’y étais comme un poisson dans l’eau. Hélas, j’ai été contrainte d’abandonner au bout d’un an pour raisons médicales », déclare la jeune femme.
Découvrez le parcours de Chantal De Noni
dimanche 29 mars 2015
Mastère spécialisé MIP d’Agrosup Dijon et de l’ENSAIA de Nancy : Une formation pour les cadres du secteur laitier
Vingt modules par session de quatre jours pendant treize mois : c’est ce que propose le mastère MIP pour former les cadres des entreprises du secteur laitier.
Le point avec Éliane Cases, la responsable de la formation à Agrosup Dijon, Emmanuel Vasseneix, directeur de l’entreprise LSDH et Christophe Pillon, directeur d’unité de production à la fromagerie Guilloteau.
Mastère spécialisé MIP
Le point avec Éliane Cases, la responsable de la formation à Agrosup Dijon, Emmanuel Vasseneix, directeur de l’entreprise LSDH et Christophe Pillon, directeur d’unité de production à la fromagerie Guilloteau.
Mastère spécialisé MIP
Formations ouvertes et à distance : Apprendre où je veux, quand je veux
Depuis 50 ans, Eduter-CNPR propose des formations à distance dans les domaines de l’agriculture et de la nature. Liberté de s’organiser,
de prendre le temps qu’il faut et de choisir sa voie : la formation professionnelle pour tous et toutes, partout.
Chaque année à Eduter-CNPR, près de 2 500 personnes de tout âge s’inscrivent en formation ouverte et à distance ou FOAD. Cette unité de formation, composante d’AgroSup Dijon, sous double tutelle du ministère de l’Agriculture et du ministère de l’Enseignement supérieur, aiguille ses apprenants du bac pro ou techno aux BTS dans les domaines de l’agriculture ou de la protection de l’environnement. Ses apprenants sont d’horizons très variés : du jeune sorti du système scolaire à la personne en reconversion, c’est une large palette de personnalités et d’expériences qui s’inscrit à Eduter-CNPR.
Comment fonctionne la formation ouverte à distance ?
de prendre le temps qu’il faut et de choisir sa voie : la formation professionnelle pour tous et toutes, partout.
Chaque année à Eduter-CNPR, près de 2 500 personnes de tout âge s’inscrivent en formation ouverte et à distance ou FOAD. Cette unité de formation, composante d’AgroSup Dijon, sous double tutelle du ministère de l’Agriculture et du ministère de l’Enseignement supérieur, aiguille ses apprenants du bac pro ou techno aux BTS dans les domaines de l’agriculture ou de la protection de l’environnement. Ses apprenants sont d’horizons très variés : du jeune sorti du système scolaire à la personne en reconversion, c’est une large palette de personnalités et d’expériences qui s’inscrit à Eduter-CNPR.
Comment fonctionne la formation ouverte à distance ?
samedi 28 mars 2015
Les périodes de mise en situation Un « Vis ma vie » pour choisir sa voie
La période de mise en situation en milieu professionnel dans le cadre d’une réorientation professionnelle ou d’un parcours d’insertion peut aider à faire un choix. Le bénéficiaire se rend compte si le métier qu’il vise lui correspond et s’il en a les capacités.
La loi du 5 mars 2014 relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale a ouvert la possibilité à toute personne accompagnée dans une démarche d’insertion professionnelle de réaliser des périodes de mise en situation en milieu professionnel ou PMSMP. Ce dispositif peut être mobilisé au cours d’un parcours d’insertion quels que soient le statut, l’âge ou le support d’accompagnement du candidat.
Comment fonctionne la période de mise en situation ?
La loi du 5 mars 2014 relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale a ouvert la possibilité à toute personne accompagnée dans une démarche d’insertion professionnelle de réaliser des périodes de mise en situation en milieu professionnel ou PMSMP. Ce dispositif peut être mobilisé au cours d’un parcours d’insertion quels que soient le statut, l’âge ou le support d’accompagnement du candidat.
Comment fonctionne la période de mise en situation ?
L’avis des OPCA « Une réforme ambitieuse »
La réforme de la formation pro se recentre sur l’individu.
Avec elle, les entreprises passent d’une obligation de financement à une obligation de former. Elle entraîne de nombreux enjeux pour les organismes paritaires collecteurs agréés des secteurs de l’agriculture et l’agroalimentaire.
Deux organismes paritaires collecteurs agréés (ou Opca) rassemblent les organisations professionnelles du monde de l’agriculture et de l’agroalimentaire : Opcalim, l’Opca des branches de l’industrie alimentaire, de la coopération agricole et de l’alimentation en détail et le Fafsea, l’Opca des entreprises et exploitations agricoles, des secteurs annexes et du monde rural. Leur rôle premier consiste à collecter les cotisations de la formation professionnelle dans les secteurs relevant de leur champ de compétences, décidé par l’État
La réforme de la formation professionnelle vu par les OPCA
Avec elle, les entreprises passent d’une obligation de financement à une obligation de former. Elle entraîne de nombreux enjeux pour les organismes paritaires collecteurs agréés des secteurs de l’agriculture et l’agroalimentaire.
Deux organismes paritaires collecteurs agréés (ou Opca) rassemblent les organisations professionnelles du monde de l’agriculture et de l’agroalimentaire : Opcalim, l’Opca des branches de l’industrie alimentaire, de la coopération agricole et de l’alimentation en détail et le Fafsea, l’Opca des entreprises et exploitations agricoles, des secteurs annexes et du monde rural. Leur rôle premier consiste à collecter les cotisations de la formation professionnelle dans les secteurs relevant de leur champ de compétences, décidé par l’État
La réforme de la formation professionnelle vu par les OPCA
vendredi 27 mars 2015
Le guide des formations "agriculture et environnement"
Le magazine "'campagnes et environnement" vient de publier un numéro hors-série consacré aux cursus orientés agriculture et environnement au sein de l'enseignement agricole. Après avoir rappelé la volonté de "produire autrement", le guide présente les formations diplômantes de Bac+2 à Bac+6 (BTS, DUT, licence, master, ingénieur) ainsi que les formations continues. Chaque établissement fait l'objet d'une fiche avec le cursus concerné. Le guide est également illustré par des témoignages de formateurs et d'anciens élèves.
Consulter le guide des formations "agriculture et environnement"
Consulter le guide des formations "agriculture et environnement"
Conseils pratiques : le Compte personnel de formation
Depuis le début de l’année, le compte personnel de formation (CPF) a remplacé le droit à la formation individuel (Dif).
Désormais, les droits à la formation seront liés au salarié. Les heures acquises ne sont jamais perdues, même si la situation professionnelle change.
Comment fonctionne le CPF ?
Désormais, les droits à la formation seront liés au salarié. Les heures acquises ne sont jamais perdues, même si la situation professionnelle change.
Comment fonctionne le CPF ?
Fomation professionnelle : loi du 5 mars 2014 Comprendre la réforme
La réforme de la formation professionnelle est issue de la loi du 5 mars 2014 relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale. Les lignes ont bougé pour l’entreprise mais aussi pour le salarié.
Selon le gouvernement, avec ces changements « chaque salarié devient acteur de l’évolution de ses compétences, en partenariat avec son employeur ».
La réforme de la professionnelle en détail
Selon le gouvernement, avec ces changements « chaque salarié devient acteur de l’évolution de ses compétences, en partenariat avec son employeur ».
La réforme de la professionnelle en détail
jeudi 26 mars 2015
Dares : plus d'un tiers des CDI rompus avant un an
"36,1 % des CDI (contrats à durée indéterminée) conclus en 2011 ont été rompus avant leur premier anniversaire, proportion en hausse de 2,5 points par rapport aux recrutements en CDI de 2007" constate le Ministère du travail (direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques) dans une étude publiée en janvier dernier.
Ce taux atteint même 36,4 % pour l'industrie agroalimentaire. Dans ce secteur, le premier motif de rupture est la démission (16,5 %) suivi par la fin de la période d’essai (12,1 %). La Dares relève aussi des variations selon l’âge : chez les salariés de 15 à 24 ans, 45,6 % des CDI sont rompus avant un an, contre moins de 35 % pour les autres classes d’âge.
Consulter l'étude du Ministère du travail sur les CDI
Ce taux atteint même 36,4 % pour l'industrie agroalimentaire. Dans ce secteur, le premier motif de rupture est la démission (16,5 %) suivi par la fin de la période d’essai (12,1 %). La Dares relève aussi des variations selon l’âge : chez les salariés de 15 à 24 ans, 45,6 % des CDI sont rompus avant un an, contre moins de 35 % pour les autres classes d’âge.
Consulter l'étude du Ministère du travail sur les CDI
Midi-Pyrénées CFPPA : l’école des grands
Réalisation d’un rêve, reconversion professionnelle, nouveau départ… Avec douze centres de formations professionnelles et de promotions agricoles (CFPPA), en région Midi-Pyrénées, il est toujours possible de revenir sur les bancs de l’école.
Les centres de formations professionnelles et de promotions agricoles (CFPPA) sont nombreux en France. « On ne compte pas moins de 139 établissements agricoles intégrant un CFPPA en France, dont douze en Midi- Pyrénées », note David Gardelle, directeur du centre de formation professionnelle et de promotion agricole Ariège-Comminges. « En 2014-2015, sur la région Midi-Pyrénées, l’enseignement agricole dans toute sa globalité représente 11 000 élèves, étudiants et apprentis. On compte près de 1 800 adultes à intégrer un CFPPA sur ce territoire chaque année. »
Tous les CFPPA en Midi-Pyrénées
Les centres de formations professionnelles et de promotions agricoles (CFPPA) sont nombreux en France. « On ne compte pas moins de 139 établissements agricoles intégrant un CFPPA en France, dont douze en Midi- Pyrénées », note David Gardelle, directeur du centre de formation professionnelle et de promotion agricole Ariège-Comminges. « En 2014-2015, sur la région Midi-Pyrénées, l’enseignement agricole dans toute sa globalité représente 11 000 élèves, étudiants et apprentis. On compte près de 1 800 adultes à intégrer un CFPPA sur ce territoire chaque année. »
Tous les CFPPA en Midi-Pyrénées
Coopérative Cerepy : La production de semences se développe
Le coeur de métier de Cerepy est constitué par la collecte et l’approvisionnement, mais aussi par de la production de semences, activité en développement depuis deux ans.
La coopérative agricole Cerepy est implantée à Saint-Julien-du Sault (Yonne) en Bourgogne. Le coeur de métier de la coopérative est constitué par la collecte de céréales et d’oléoprotéagineux et l’approvisionnement (produits phytosanitaires, semences, engrais) auprès de ses adhérents agriculteurs, mais aussi par de la production de semences. Cette activité est en développement depuis deux ans. « Nous produisions déjà des semences (15 000 quintaux/an) auparavant. La station de semences a été modernisée et la production augmentée, puisqu’elle atteint depuis deux campagnes 35 000 qx. Nous sommes désormais le principal producteur de semences dans l’Yonne », explique Germain Bour, le directeur de Cerepy. Les trois cultures majeures dans la région sont le blé, le colza et l’orge de brasserie. Elles représentent 125 000 t de la collecte de la coopérative sur un total de 150 000 t.
Découvrez la Coopérative Cerepy
La coopérative agricole Cerepy est implantée à Saint-Julien-du Sault (Yonne) en Bourgogne. Le coeur de métier de la coopérative est constitué par la collecte de céréales et d’oléoprotéagineux et l’approvisionnement (produits phytosanitaires, semences, engrais) auprès de ses adhérents agriculteurs, mais aussi par de la production de semences. Cette activité est en développement depuis deux ans. « Nous produisions déjà des semences (15 000 quintaux/an) auparavant. La station de semences a été modernisée et la production augmentée, puisqu’elle atteint depuis deux campagnes 35 000 qx. Nous sommes désormais le principal producteur de semences dans l’Yonne », explique Germain Bour, le directeur de Cerepy. Les trois cultures majeures dans la région sont le blé, le colza et l’orge de brasserie. Elles représentent 125 000 t de la collecte de la coopérative sur un total de 150 000 t.
Découvrez la Coopérative Cerepy
mercredi 25 mars 2015
Benjamin Piccoli : Nouveau pari pour les vins de Fronton
Fort d’une expérience d’événementiel dans le parapublic et d’un poste de communicant auprès d’une filière AOP en Auvergne, Benjamin Piccoli a pris les rênes de la maison des vins de Fronton en pleine période faste.
La fin des vendanges est sereine grâce à l’été indien, la production est à la hausse, soit 70 000 hectolitres, et surtout, récompense suprême, le guide Hachette des vins 2015 gratifie les vignerons : vingt-cinq références y sont citées, dont trois coups de coeur et douze vins dits remarquables.
Pour en savoir sur le parcours de Benjamin Piccoli
Agriculture biologique : La bio poursuit son développement
D’après le nouveau Baromètre Agence Bio / CSA de janvier 2015, les Français sont plus nombreux à consommer des produits bio et de plus en plus souvent.
En 2014, près de 9 Français sur 10 en ont consommé au moins occasionnellement (88 % contre 75 % en 2013) et 6 sur 10 régulièrement, c’est-à-dire au moins un produit bio une fois par mois (62 % contre 49 % en 2013). La bio fait désormais partie des habitudes des Français, qui ne sont plus que 12 % à déclarer ne jamais en consommer, alors qu’ils étaient 46 % en 2003.
Cette hausse de la consommation bio est confirmée par les premières estimations du marché des produits bio qui devrait atteindre 5 milliards d’euros en 2014 (y compris en restauration hors domicile), soit une croissance globale estimée à 10 % tous circuits confondus.
En réponse à cette demande des consommateurs, la production bio augmente en France. Le nombre d’opérateurs bio a progressé de + 4 % entre 2013 et 2014 pour atteindre plus de 39 400 opérateurs bio (dont plus de 26 000 exploitations agricoles) et les surfaces cultivées en bio représentent désormais plus d’1,1 million d’hectares.
En 2014, près de 9 Français sur 10 en ont consommé au moins occasionnellement (88 % contre 75 % en 2013) et 6 sur 10 régulièrement, c’est-à-dire au moins un produit bio une fois par mois (62 % contre 49 % en 2013). La bio fait désormais partie des habitudes des Français, qui ne sont plus que 12 % à déclarer ne jamais en consommer, alors qu’ils étaient 46 % en 2003.
Cette hausse de la consommation bio est confirmée par les premières estimations du marché des produits bio qui devrait atteindre 5 milliards d’euros en 2014 (y compris en restauration hors domicile), soit une croissance globale estimée à 10 % tous circuits confondus.
En réponse à cette demande des consommateurs, la production bio augmente en France. Le nombre d’opérateurs bio a progressé de + 4 % entre 2013 et 2014 pour atteindre plus de 39 400 opérateurs bio (dont plus de 26 000 exploitations agricoles) et les surfaces cultivées en bio représentent désormais plus d’1,1 million d’hectares.
mardi 24 mars 2015
Commissions régionales Languedoc-Roussillon / Paca-Corse Les offres en production restent majoritaires
Le 10 décembre dernier, la délégation de l’Apecita Paca-Corse organisait sa commission régionale. « Le marché a tendance à se tendre de plus en plus », tel est le constat de Brigitte Diez responsable de la délégation.
En 2013 : 656 offres déposées à l’Apecita Paca Corse pour 881 candidats. Et si on parle de situation tendue, c’est parce qu’il y a eu 29 % d’offres d’emploi en moins pour 31 % d’inscrits en plus, par rapport à 2012. Les chiffres qui se dessinent pour 2014 montrent tout de même une progression nettement plus faible du nombre de demandeurs d’emploi : entre 8 et 10 % selon la déléguée régionale.
Quels profils recensés pour ces candidats de la délégation Paca-Corse ?
33 % d’entre eux sont en activité professionnelle et en veille sur le marché de l’emploi. 13 % sont en formation et 54 %, sans emploi. Les candidats se situent surtout dans les Bouches du Rhône (42 %), en Vaucluse (27 %) et dans le Var (16 %). Les moins de 35 ans représentent plus de 50 %, ce qui est légèrement supérieur au niveau national pour cette tranche d’âge.
Concernant les niveaux de formation, les candidats niveau 1, bac + 5 à bac + 8, sont sur-représentés sur le territoire (40 %) contrairement aux niveaux 2, 3 et 4 plutôt sous-représentés : plus d’offres que de candidats !
Découvrez le marché de l'emploi en Languedoc-Roussillon / Paca Corse
En 2013 : 656 offres déposées à l’Apecita Paca Corse pour 881 candidats. Et si on parle de situation tendue, c’est parce qu’il y a eu 29 % d’offres d’emploi en moins pour 31 % d’inscrits en plus, par rapport à 2012. Les chiffres qui se dessinent pour 2014 montrent tout de même une progression nettement plus faible du nombre de demandeurs d’emploi : entre 8 et 10 % selon la déléguée régionale.
Quels profils recensés pour ces candidats de la délégation Paca-Corse ?
33 % d’entre eux sont en activité professionnelle et en veille sur le marché de l’emploi. 13 % sont en formation et 54 %, sans emploi. Les candidats se situent surtout dans les Bouches du Rhône (42 %), en Vaucluse (27 %) et dans le Var (16 %). Les moins de 35 ans représentent plus de 50 %, ce qui est légèrement supérieur au niveau national pour cette tranche d’âge.
Concernant les niveaux de formation, les candidats niveau 1, bac + 5 à bac + 8, sont sur-représentés sur le territoire (40 %) contrairement aux niveaux 2, 3 et 4 plutôt sous-représentés : plus d’offres que de candidats !
Découvrez le marché de l'emploi en Languedoc-Roussillon / Paca Corse
lundi 23 mars 2015
Commission régionale Apecita Rhône-Alpes : Une croissance des offres en 2014
L’Apecita Rhône-Alpes note une croissance des offres d’emploi de 4 % dans la région en 2014.
Outre une présentation des tendances du marché, la première commission régionale a été l’occasion d’échanger sur l’attractivité des métiers du secteur agricole et l’innovation managériale.
« Dans un pays où il y a 5 millions de chômeurs, ne pas arriver à trouver de la main-d’oeuvre est une faute professionnelle ! » C’est par cette formule choc que Jean-Marc Fragnoud, président de la commission régionale de l’Apecita Rhône-Alpes, a interpellé les participants de la première session, le 5 décembre dernier.
Il est vrai que « les métiers de l’agriculture, qui recrutaient dans le rural, puis le rurbain, doivent actuellement puiser dans l’urbain. C’est une richesse, ne nous en privons pas », estime Gilbert Keromnes, président de l’Apecita. Toutefois, « comment orienter les jeunes qui ont une sensibilité à l’environnement vers des métiers où ils pourront travailler ? L’orientation est un dossier majeur, de même que l’apprentissage et la formation professionnelle », souligne Jean-Marc Fragnoud.
Découvrez le marché de l'emploi en Rhône Alpes
Outre une présentation des tendances du marché, la première commission régionale a été l’occasion d’échanger sur l’attractivité des métiers du secteur agricole et l’innovation managériale.
« Dans un pays où il y a 5 millions de chômeurs, ne pas arriver à trouver de la main-d’oeuvre est une faute professionnelle ! » C’est par cette formule choc que Jean-Marc Fragnoud, président de la commission régionale de l’Apecita Rhône-Alpes, a interpellé les participants de la première session, le 5 décembre dernier.
Il est vrai que « les métiers de l’agriculture, qui recrutaient dans le rural, puis le rurbain, doivent actuellement puiser dans l’urbain. C’est une richesse, ne nous en privons pas », estime Gilbert Keromnes, président de l’Apecita. Toutefois, « comment orienter les jeunes qui ont une sensibilité à l’environnement vers des métiers où ils pourront travailler ? L’orientation est un dossier majeur, de même que l’apprentissage et la formation professionnelle », souligne Jean-Marc Fragnoud.
Découvrez le marché de l'emploi en Rhône Alpes
dimanche 22 mars 2015
Un nouveau diplôme d'état de paysagiste
A la rentrée 2015, le diplôme de paysagiste DPLG (diplômé par le gouvernement) disparaît au profit d'une nouvelle formation et du diplôme d’Etat de paysagiste. De niveau Bac+5 (Master), ce nouveau diplôme respecte les standards européens de l’enseignement supérieur. Il est délivré par les écoles nationales supérieures de Versailles, Bordeaux, Lille , Blois, ainsi que par les établissements publics d’enseignement supérieur et les écoles d’architecture autorisés. Le décret du 24 novembre 2014 précise les conditions de recrutement par concours des étudiants selon deux voies, externe et interne.
Consulter le décret sur le diplôme d'Etat de paysagiste
Consulter le décret sur le diplôme d'Etat de paysagiste
samedi 21 mars 2015
Recherche d'emploi : une photo de qualité sur votre CV
"Dans 8 cas sur 10, les personnes qui ont placé une photo sur leur CV auraient mieux fait de s'abstenir" affirme Gilles Payet, coach en recherche d'emploi. A l'adresse ci-dessous, il rappelle les cinq erreurs à ne pas commettre : un regard qui ne regarde pas, une mine patibulaire, le flash dans les lunettes, une photo non compressée qui alourdit le poids informatique du CV, une image pixellisée ou étirée. Pour Gilles Payet, la photo doit tout simplement attirer la sympathie avec un regard qui regarde et un sourire, et donner envie de vous rencontrer.
Photo de CV : 5 erreurs à ne pas commettre
Photo de CV : 5 erreurs à ne pas commettre
mardi 17 mars 2015
BTSA ACSE : Une voie plébiscitée par les jeunes et les entreprises
Le BTSA analyse et conduite de système d’exploitation « est la voie royale d’apprentissage pour s’installer en agriculture », selon Véronique Lombard, coordinatrice de la formation au lycée Jean Monnet, à Vic-en-Bigorre, dans les Hautes-Pyrénées.
Mais pas seulement. Les entreprises agricoles seraient aussi friandes de ces jeunes diplômés.
Le BTSA ACSE en détail
Mais pas seulement. Les entreprises agricoles seraient aussi friandes de ces jeunes diplômés.
Le BTSA ACSE en détail
Dynamiser sa carrière avec les réseaux
Pourtant, « ils sont primordiaux, tant pour l’entrée dans la vie active que pour optimiser sa vie professionnelle », explique Amanda Ramirez, consultante emploi carrière à Uniagro.
Amanda Ramirez explique l'importance du réseau
lundi 16 mars 2015
Commission régionale Apecita Nord - Pas-de-Calais - Picardie : L’innovation, enjeu créatif des entreprises
Pour rester compétitives, les entreprises doivent sans cesse innover. Cependant, l’innovation n’intervient pas que dans les processus mais aussi dans la gestion des collaborateurs. Les entreprises doivent apprendre à la manager.
« La créativité est fonctionnelle : elle répond au cahier des charges de celui qui a un problème et qui veut le résoudre », explique Sylvie Courcelle Labrousse, consultante en créativité et innovation. Invitée lors de la commission régionale de l’Apecita Nord - Pas-de-Calais - Picardie, l’experte en créativité a abordé les thèmes de l’innovation et du management de l’innovation en entreprise.
Selon elle, la créativité est une capacité individuelle qui consiste à générer des idées qui soient à la fois originales, nouvelles et adaptées au contexte dans lequel elles vont être déployées.
L'innovation des entreprises... à découvrir
« La créativité est fonctionnelle : elle répond au cahier des charges de celui qui a un problème et qui veut le résoudre », explique Sylvie Courcelle Labrousse, consultante en créativité et innovation. Invitée lors de la commission régionale de l’Apecita Nord - Pas-de-Calais - Picardie, l’experte en créativité a abordé les thèmes de l’innovation et du management de l’innovation en entreprise.
Selon elle, la créativité est une capacité individuelle qui consiste à générer des idées qui soient à la fois originales, nouvelles et adaptées au contexte dans lequel elles vont être déployées.
L'innovation des entreprises... à découvrir
vendredi 13 mars 2015
La Journée des Jobs d'Eté
La ville d’Avignon et le Centre social & culturel l’Espelido de Montfavet organisent
la journée des jobs d’été le Mercredi 15 avril 2015 de 10 h à 17 h en Salle des Fêtes de l’Hôtel de Ville – Place de l’Horloge à AVIGNON.
Cette manifestation permet de proposer des emplois d’été (juin à septembre) aux jeunes, voire des contrats à l’année (étudiants par ex.) .
Les structures qui recrutent (une vingtaine de secteurs d’activité variés) peuvent ainsi rencontrer directement les jeunes intéressés, munis de leur CV.
Venez rencontrer l'APECITA MEDITERRANEE présente à ce forum
la journée des jobs d’été le Mercredi 15 avril 2015 de 10 h à 17 h en Salle des Fêtes de l’Hôtel de Ville – Place de l’Horloge à AVIGNON.
Cette manifestation permet de proposer des emplois d’été (juin à septembre) aux jeunes, voire des contrats à l’année (étudiants par ex.) .
Les structures qui recrutent (une vingtaine de secteurs d’activité variés) peuvent ainsi rencontrer directement les jeunes intéressés, munis de leur CV.
Venez rencontrer l'APECITA MEDITERRANEE présente à ce forum
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